Oregon : le lobby homosexuel s’acharne sur un couple de pâtissiers chrétiens

Oregon (États-Unis). Aaron et Melissa Klein (photo) sont chrétiens. Ensemble, ils tenaient la pâtisserie Sweet Cakes Melissa. Le 17 janvier 2013, une mère et sa fille se sont présentées afin de commander un gâteau pour le “mariage” de cette dernière. En discutant, elles ont été amenées à préciser qu’il s’agissait en fait d’une parodie lesbienne de l’union d’un homme et d’une femme. Aaron a alors expliqué très courtoisement qu’il ne pouvait participer à cette cérémonie contraire à sa foi et à ses valeurs, allant jusqu’à présenter ses excuses.

Les deux femmes ont alors quitté le magasin, avant que la maman revienne, très énervée que tout le monde ne pense pas comme elle et ne se plie pas aux revendications homosexuelles. Toujours courtois, Aaron est resté sur sa position, citant la Bible. Elle a alors quitté la boutique en claquant la porte et une plainte a été déposée pour discrimination. Interrogé par la presse, le couple n’a pas cherché à ruser, expliquant qu’il ne pouvait pas participer à des “mariages” entre personnes du même sexe : “Évidemment, avec mes valeurs chrétiennes, je crois que le mariage ne peut avoir qu’entre un homme et une femme », justifie Aaron, “Dieu l’a ordonné”.

Terrorisme économique. Suite à cette médiatisation, le couple a reçu des centaines de coups de téléphone et de courriels haineux dont certains (montrés à notre confrère TheBlaze.com ou à The Washington Times) les injuriant et les menaçant directement ainsi que leurs cinq enfants heureusement scolarisés à domicile. Leurs fournisseurs ont été harcelés par des activistes LGBT pour qu’ils cessent de faire affaire avec eux, au point que l’avocat du couple n’hésite pas à parler de “terrorisme économique”. Certains fidèles clients sont effrayés par tant de violence et demandent à Aaron et Melissa de ne plus apposer l’étiquette de l’entreprise sur les gâteau afin de ne pas être à leur tour stigmatisés. Aujourd’hui, l’entreprise familiale est en grosse difficulté.

“Dieu nous porte dans ces épreuves”, tempère toutefois Melissa. Qui met les points sur les “i” : « Je ferais n’importe quoi pour un homosexuel. Je donnerais ma chemise”. Bref, celle qui a « des amis gays” n’a rien contre les personnes homosexuelles. Mais, pour le gâteau, elle ne regrette rien : « J’ai fait ce que j’ai fait parce que je ne souhaite pas soutenir quelqu’un dans quelque chose qui serait une mauvaise décision.” Melissa explique par exemple qu’elle ne fournirait pas non plus de gâteau pour des cérémonies de divorce ou de gâteau avec un message blasphématoire, contrairement à ce qu’a pu affirmer un média local désireux de les couper de leurs soutiens. Avec les mois, le harcèlement n’a pas cessé et les Klein ont fermé leur boutique au début du mois de septembre. Ils espèrent pouvoir continuer à travailler à domicile.

Foi. Rachel Cryer et Laurel Bowmann, les deux lesbiennes plaignantes, ont quant à elle maintenu leur plainte. La famille Klein pourrait être condamnée à leur verser 50 000 dollars en raison du “dommage émotionnel” causé à ces dernières par le refus de leur fournir un gâteau… C’est un peu partout le même racket. Sans parler des 1 000 dollars d’amendes civiles par infraction, qui empêcherait les Klein de continuer leur métier. En attendant, Aaron et Melissa expliquent que ces épreuves ont fait grandir leur foi chrétienne et nous offre un magnifique exemple de résistance pacifique au lobby homosexualiste.

Lire aussi :
> Nouveau-Mexique : la face liberticide du lobby LGBT éclate au grand jour
> Oregon : des transsexuels militants rackettent un gérant de bar à hauteur de 400 000 dollars

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69 Comments

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  • mariedefrance , 10 septembre 2013 @ 13 h 04 min

    Certains -selon d’autres- seraient homophobes.

    Ces cas relatés ici relèvent d’escrocs, la justice étant complice.

  • Guillaume , 10 septembre 2013 @ 13 h 54 min

    Encore un “article” dont le seul objectif est de distiler et attiser la haine.

  • Eric Martin , 10 septembre 2013 @ 14 h 07 min

    C’est donc l’article et pas l’acharnement militant des deux lesbiennes sur une famille nombreuse qui est le problème… A part ça, tout va bien dans le meilleur des mondes.

  • François Desvignes , 10 septembre 2013 @ 14 h 33 min

    Vous avez sans doute raison.

    ¨Pour le vérifier, retournons à nos ennemis leurs prorpes armes.

    Disons :

    1/ la viande hallal et kasher sont des viandes sacrifiées considérées par ma religion comme des rites sataniques.

    Je refuse qu’on me les impose

    Et j’exige d’avoir du porc tous les jours à l’école sauf le vendredi du poisson si vous y faites rentrer du hallal et du kascher.

    J’interdis qu’un distributeur soit spécialisé kasher ou hallal (fast food).

    Nous sommes minoritaires et persécutés : nous demandons le bénéfice de la discrimination positive à notre communauté persécutée.

    Bien sûr/ Bien sûr.

    J’ai encore sous le coude des textes de Saint Jude m’interdisant de seulement serrer la main , encore plus converser ou servir, ceux qui font du péché une revendication : je me demande à ce que ma foi soit respectée.

    J’en ai assez de voir cette inversion des valeurs, les innocents condamnés les dégénérés et avocats du diable portés aux nues. .

    Dans nos commerces ce sera marqué : interdit aux chiens et aux cerbères.

    Ou nous les fermerons : comme les chrétiens de l’oregon ont fermé le leur.

    Qui n’ont pas une tête de Breivik.
    Et moi non plus : je ne suis pas FM.

    Et depuis Lacan, je refuse l’inversion accusatoire.

  • François Desvignes , 10 septembre 2013 @ 14 h 37 min

    Un chrétien ne fera jamais cela guigui ;

    Il témoignera de Dieu ici afin que le Christ témoigne de lui auprès de Son Père là haut.

    Donc à étendart déployé

  • François Desvignes , 10 septembre 2013 @ 14 h 42 min

    c’est cela nos trois points de discorde :

    1/ Allah est le sobriquet de Satan
    Mahomet est don prophète
    Tous les musulmans leurs victimes.

    2/ La religion talmudique est satanique

    3/ Les homosexualistes sont les cerbères (inconscients) de l’enfer.

  • monhugo , 10 septembre 2013 @ 15 h 34 min

    Cette affaire rejoint celles du Nouveau-Mexique (photographes – NdF du 09/09/13) et de l’Oregon déjà (gérant de bar – NdF du 05/09/13). Lesbiennes allant se marier (ou “s’engager” – Nouveau-Mexique), ou transsexuels. Militantisme LGBT.
    Tout cela s’analyse comme des “refus de vente”.
    En France, on applique ceci : “il est interdit de refuser à un consommateur la vente d’un produit ou la prestation d’un service, sauf motif légitime” (article L.122-1 du Code de la consommation). La jurisprudence retient comme “motif légitime” : l’indisponibilité du produit ou l’impossibilité d’exécuter le service (ex : le pharmacien refusant de vendre un médicament pour lequel une ordonnance est nécessaire), la demande anormale (ex : l’épicier à qui l’on demande 500 boîtes de petits pois) ou la mauvaise foi du consommateur.
    Les convictions personnelles (religieuses par exemple) ne sont pas considérées comme un motif légitime, de même que les raisons d’ordre racial, politique ou syndical. Tout ceci est de plus considéré comme “discriminatoire”.
    Dans ce cas, il sera fait application des articles 225-1 à 225-4 du Code pénal : l’auteur du refus de vente encourt 45.000€ d’amende et 3 ans d’emprisonnement….
    Sans “discrimination”, un refus de vente est sanctionnable par une amende de 1.500 euros – contravention de 5e classe (article R 113-1 du Code de la consommation).

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