Écotaxe : scènes de guerre civile en Bretagne

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  • mariedefrance , 27 octobre 2013 @ 11 h 07 min

    Comme pour la taxe de 15% sur lӎpargne, le gouvernement devra reculer.
    (depuis hier seule l’assurance.vie sera taxée à 15% + effet rétroactif)

    La paix sociale a toujours eu un coup jusqu’au jour où l’Etat ne pourra plus se LA payer !

    Toute notre survie alimentaire est en danger.
    Avec le marché transatlantique, ce sera pire !

    Nous venons d’accepter d’importer de la bidoche canadienne qui n’aura pas de contrôle sanitaire !
    Bravo l’UE.

  • LUC+ , 27 octobre 2013 @ 12 h 51 min

    Ce n’est que l’apéritif ! Attendez de voir le menu que préparent les Français ! Des bons plats du terroir sans hormones ! Bien made in FRANCE !

  • François Desvignes , 27 octobre 2013 @ 13 h 15 min

    La confiance a été rompue en 2005.

    Jamais rétablie depuis.

    Au contraire.

    Maintenant, n’importe quel gouvernement UMPS pourra bien dire ou faire ce qu’il veut, quoi qu’il fasse, ce sera la bronca.

    Ca s’étend, ça s’aggrave.

    En Bratagne, un péage à sel appelé écotax va bientôt sauter sous le coup d’une jacquerie.

    Au même moment, la Garde des sots se fait traiter de guenon par des enfants de souche de 12 ans qui lui promettent un régime de bananes.

    Violence de rue et violence verbale de la part des “polis”

    La délinquence “politique” change ainsi de quartier, de race, et de milieux sociaux : hier privilège de la plèbe de la république du 9-3 et des zones de non droit, elle s’étend aujourd’hui à la France entière, aux desouchiens, blancs, solvables, intégrés, de tous les âges, de tous les milieux.

    C’est le Tiers-Etat de la France ligué contre la noblesse (la classe politique) et le clergé (les medias) de la république.

    Marianne ferait bien de faire attention à son bonnet.

    Cet épisode que l’on voit ajourd’hui n’est pas le fond du problème et n’est que l’amuse gueule des festivités.

    Tout le monde le sait, le sait trop bien et comprend parfaitement que le régime n’a rien à répondre qu’un immense refus.

    Plus quelques lacrymogènes dans des poussettes ou sur des chômeurs fraichement licenciés et définitivement condamnés.

    L’autisme et la provoc sont ses deux mamelles.

    Alors le monde , de l’ouvrier “qui n’avait pas que ça à faire” aux électeurs de Brignoles, tout le monde ,consterné, se tait

    Le monde a raison : avant la mise à mort inéluctable du régime, le silence est de rigueur.

  • ranguin , 27 octobre 2013 @ 13 h 17 min

    Comme cela on verra des rondelles de calamar n’être que de l’anus de porc.
    Amis islamistes si vous avez mangé du calamar congelé, vous avez mangé du porc. Quand on sait pas on mange tout.

  • ranguin , 27 octobre 2013 @ 13 h 20 min

    L’Etat, peu rassuré, recule.
    En revanche preuve en est que la loi est à géométrie variable. Celui qui dit rien l’aura dans le fion. Ce sera dure surtout que le préservatif sera en papier émeri.

  • esprit libre , 27 octobre 2013 @ 14 h 59 min

    Pas d’accord avec le titre : parler de “guerre civile” laisse entendre qu’il y a des soutiens au régime, alors que François Hollande n’a aucun soutien populaire et que, lorsqu’il y a accueil de ministres par des défenseurs de la famille, les préfets sont réduits à organiser la venue d’une quinzaine de vieux adhérents du parti socialiste et quelques conseillers municipaux.
    Le régime ne tient qu’à un fil et n’aura bientôt plus d’argent pour acheter le calme dans les banlieues ou éteindre quelques revendications.
    Quelques Femen ou quelques militants antifascistes ne suffiront bientôt plus à François Hollande qui est nu.
    Les tempêtes viennent toujours de l’Ouest et la France a tout à en attendre si elle veut survivre.

  • Ralph , 27 octobre 2013 @ 15 h 01 min

    On comprend que les paysans en question ne soient pas contents, mais bon… l’agriculture bretonne, c’est des hangars qui défigurent le paysage, où des poulets ou des porcs s’entassent dans des surfaces minuscules, bouffent de la m… et sont gavés d’antibiotiques, tout en déversant du lisier qui tuent les rivières avant d’asphyxier les plages d’algues vertes. Le tout nécessitant bien sûr une noria incessante de camions.
    Désolé, moi, j’achète du poulet de Loué.

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