Grèce : l’origine des problèmes est sa dette, l’austérité n’est que la conséquence

L’origine des problèmes de la Grèce est sa dette et son train de vie au dessus de ses moyens, l’austérité qu’elle subit n’en est que la conséquence. Et ceci est valable pour la France :

Related Articles

18 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • champar , 4 juillet 2015 @ 11 h 31 min

    L’information est vraie à l’origine, l’état grec a effectivement vécu au dessus de ses moyens (comme en France les dépenses publiques de gaspillage nous font vivre au delà de nos possibilités) mais le mécanisme prêt de la banque centrale européenne à taux réduit aux banques pour qu’elles prêtent à taux usuraire à la Grèce ont amplifié de façon démesurée cette dette ce qui a amené la situation actuelle.

    De façon légitime la Grèce doit rembourser le capital prêté mais pas les taux d’intérêt pratiqués par les usuriers. Il faudra aussi mettre en prison les escrocs de Goldman Sachs, même “le monde” s’en est aperçu http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2011/10/31/la-grece-dossier-noir-de-l-ancien-vrp-du-hors-bilan-chez-goldman-sachs_1596412_1581613.html

    Regardez bien le scénario grec en particulier la saisie des comptes bancaires comme à Chypre, car cela va bientôt arriver en France, les limitations de retrait d’argent ont déjà commencé, si vous ne me croyez pas : essayez de retirer plus de 1000 euros auprès de votre agence bancaire et vous verrez que j’ai raison.

  • Pascal , 4 juillet 2015 @ 12 h 07 min

    Faux. La dette était bien moins importante avant les mesures d’austérité qui ont très grandement augmenté la dette en ralentissant l’économie, ralentissement qui a réduit les recettes fiscales.

    la vraie question est celle de la souveraineté de la Grèce, très surveillée depuis 1945. On laisse à la Grèce un semblant de démocratie et d’indépendance tant qu’elle demeure soumise. Mais comme le peuple grec est un peuple courageux – il l’a montré à plusieurs reprises dans son histoire : dans sa guerre d’indépendance puis, en 1940, face à l’Italie fasciste qu’il a fait reculer et face à l’invasion nazie en 1941 – l’Hégémon s’en méfie.

    Le salopard Alain Minc vient de lâcher le morceaux: « Je pense qu’il faut empiéter sur leur souveraineté. »

    http://www.fdesouche.com/623913-alain-minc-si-les-grecs-votent-non-va-avoir-une-espece-de-lybie-de-religion-chretienne-orthodoxe

  • eric-p , 4 juillet 2015 @ 20 h 02 min

    L’origine de l’austérité , c’est la dette ???

    Non, l’origine des problèmes de la Grèce, c’est la corruption et la mentalité des grecs.

  • Marino , 5 juillet 2015 @ 7 h 31 min

    Les électeurs grecs se prononcent pour ou contre l’offre des créanciers (Union européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) formulée lors de l’Eurogroupe du 25 juin, qui propose des mesures d’économies en échange d’argent frais.

    La question est technique mais la consultation s’est muée en plébiscite pour ou contre le maintien du pays dans l’euro.

    Sans retenue, les créanciers de la Grèce ont multiplié les interventions, vues d’Athènes comme autant de tentatives de pression.

    En tête, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a affirmé que le non affaiblirait «considérablement»la position de négociation d’Alexis Tsipras.

    L’intéressé fait le pari inverse. Et n’a pas hésité à réclamer, dans une adresse à la télévision, «une décote de 30 % de la dette grecque» et «une période de grâce de vingt ans» pour assurer la viabilité financière du pays.

    Toutes les chaînes de TV (privées) ont pilonné le gouvernement. On voit où sont les intérêts en jeu et qui les détient.
    En France Sarkozy est celui qui critique le plus durement la Grèce. Les chaînes comme BFM TV emboîtent le pas.
    90% des médias sont acquis à la position de la droite européenne et du FMI

  • lors , 5 juillet 2015 @ 8 h 07 min

    par desertine leche bottes du systeme , la desinformation incarnee

  • jeanluc , 5 juillet 2015 @ 8 h 49 min

    Les pressions de Tsipras, le communiste non repenti (qui croit toujours que le PC a le pouvoir à Moscou), sur la population et surtout sur les fonctionnaires (ainsi en va-t-il des pouvoirs potentiellement totalitaires) ne sont pas rien non plus. Ce type et son équipe sont incompétents à tous les niveaux (et sont pro-immigrationistes : Tsipras a libéré les bandes d’immigrants sauvages et a instauré le droit du sol, histoire d’avoir des faux grecs qui réclameront le ratachement à la Turquie islamiste). Tsipras vague sur l’orgueil national grec pour s’atirer les faveurs de l’électorat mais est aussi anti-grec que la bande à Hollande et leurs amis écolo-trotskystes sont anti-français.

  • jeanluc , 5 juillet 2015 @ 8 h 50 min

    Vous oubliez que Tsipras est gauchiste avant tout. Son nationalisme n’est qu’un marche-pied électoral. Tsipras c’est Besancenot…

Comments are closed.