Incompréhension des boulangers condamnés pour avoir ouvert 7 jours sur 7

Le verdict est tombé : quatre boulangers des Landes qui ouvraient leurs commerces tous les jours de la semaine ont été condamnés à des amendes avec sursis. Les professionnels comme les clients ne comprennent pas cette décision de justice. “C’est démoralisant de se voir monter les marches d’un tribunal pour avoir fait du pain”, déplore Stéphane Moreau, boulanger à Dax, dans les Landes :

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18 Comments

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  • jpr , 8 octobre 2015 @ 9 h 11 min

    Ils doivent avoir des concurrents jaloux, membres de la secte franc-maçonne, qui n’ont trouvé que ce moyen, avec la complicité de leurs frères magistrats, pour contrecarrer le succès de ceux qui, eux, ont du talent et le courage de travailler.

  • HuGo , 8 octobre 2015 @ 9 h 30 min

    Faut pas travailler….faut être fous de croire que travailler est important, …faut glander, attendre les allocs…Il y en a qui l’ont compris loin de nos frontières !

  • Alam , 8 octobre 2015 @ 9 h 42 min

    C’est plus facile de condamner des artisans honnêtes et travailleurs pour l’avoir trop été que des branleurs de banlieue, graines de djihadistes, pour n’avoir jamais rien foutu dans leur vie que des crapuleries et des coups tordus. Ainsi va et ira la justice en France, jusqu’à ce qu’on se mette enfin à juger les juges.

  • peripathos , 8 octobre 2015 @ 10 h 19 min

    Les épiceries tenues par des arabes pas clairs sont ouvertes tout les jours jusqu’à 22H ….

    Les kebabs viennent enlaidir les places de beaucoup de petites villes de France souvent pas loin de l’église ( cf entre autre le Puy en Velay )

  • eric-p , 8 octobre 2015 @ 12 h 12 min

    Je suis favorable au respect de la loi, ce que les boulangers n’ont pas fait.
    Ceci dit, la loi devrait être modifiée car les époiceries arabes/Pakistanaises ouvrent le dimanche dans le cadre manifeste d’une concurrence déloyale.
    Deux deux mesures dans cette société ?

  • borphi , 8 octobre 2015 @ 12 h 57 min

    Feue ma très chère grand-mère me racontait qu’alors boulangère en 1937 , elle allait faire piquet de grève avec d’autres boulangères devant des magasins qui refusaient de prendre leur quinze jours de congés d’été.

    Ceci afin de préserver une concurrence loyale entre confrères.

    Mais c’était un autre temps , un temps où les syndicats professionnels et ouvriers , bien que parfois rugueux ,avaient des principes aux antipodes du libéralisme.

  • ras le bol , 8 octobre 2015 @ 14 h 09 min

    “principes aux antipodes du libéralisme”

    Vous avez tout dit. Au nom du libéralisme dans de nombreuses villes, des travaux de réfection tant des chaussées, des canalisations, des trottoirs… furent effectués, durant souvent deux années, pour contraindre les commerçants à céder à moindre prix les fonds de commerce dans le viseur de certains capitaux !!!!

    Chez moi, il n’y a pratiquement plus que des franchises !!!

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