Chantal Delsol : “Le but que nous nous proposons aujourd’hui est le même que celui que se proposaient les communistes, c’est-à-dire l’émancipation sans limite (…) La dérision a remplacé la terreur”

Entretien éclair proposé par l’Institut Clisthène :

Chantal Delsol explique "La Haine du monde"

Regardez et partagez ce court entretien avec Chantal Delsol !

Posted by Institut Clisthène on Monday, February 15, 2016

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4 Comments

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  • Trucker , 16 février 2016 @ 12 h 32 min

    ……C’est le monde de ceux qui prennent leurs désirs pour des réalités….Mais n’était-ce pas déjà en germe dans le slogan de mai 68… “l’utopie d’aujourd’hui sera la réalité de demain” laissant à croire que tout ce que l’on peut souhaiter adviendra forcément pour peu que l’on y croit aveuglement ?….. invitant l’individu à ne plus prendre acte du réel comme fondement de sa réflexion…..l’incitant à ne plus faire de différence entre chimère et réalité ?

  • AUSTRAL98 , 17 février 2016 @ 9 h 04 min

    Nous assistons aujourd’hui à l’alliance que l’on pouvait penser antinomique entre de grands groupes financiers ou industriels et les socialistes pour la mise en place de l’utopie marxiste.
    Ces grands groupes ne font plus partie du monde libéral car ils voient dans cette association le moyen de controller le monde.
    Lorsqu’une multinationale devient très puissante son but est de supprimer ses concurents pour devenir monopolistique donc totalitaire.
    il me semble que le défaut de la société libérale est de permettre que naisse en son sein des structures qui peuvent devenir hégémoniques.
    Il n’y aura plus de place pour les pme. C’est ce qu’il faut corriger.
    Un autre point concerne les dirigeants de ces monstres financiers, le pouvoir rend dément, de quelle mission ces oligarques se croient ils investis pour décider de l’évolution du monde.

  • AUSTRAL98 , 17 février 2016 @ 9 h 11 min

    Ces mégalomanes se sont auto investis de la mission de nous montrer le chemin à suivre, comme tout bon socialiste ils se prennent pour des dieux. Les sois disant politiciens de droite n’ont jamais compris qu’il fallait combattre ces idées par l’affirmation de valeurs morales non relatives.

  • Bayard , 17 février 2016 @ 10 h 23 min

    Excellente analyse. Il existe donc encore des penseurs qui raisonnent juste et qui s’expriment avec conviction. L’espérance de “survie” n’est donc pas morte

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