« Une femme nommée Marie » : pari gagné pour Robert Hossein !

25 000 personnes, dont beaucoup de malades installés aux premiers rangs, ont assisté lundi soir à l’unique représentation d’« Une femme nommée Marie », le dernier spectacle de Robert Hossein qui relate le récit des Évangiles fait par la Vierge Marie, nichée dans une copie de la Grotte de Massabielle, à Bernadette Soubirous. A l’orage qui avait, deux heures auparavant, donné des sueurs froides au réalisateur et au producteur, a succédé “une pluie de grâce” selon un hospitalier cité par La Dépêche du Midi.

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12 Comments

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  • Pierre Variant , 16 août 2011 @ 13 h 48 min

    âme, diras-tu que tu ne savais pas ?
    Marie doit être l’objet de vos hommages ; elle est aussi celle à qui vous devez recourir dans les tentations, les besoins de votre âme, vos malheurs et vos peines, et elle vous accordera secours, grâces et consolations. Je vous dis cela non pour vous faire supposer que Marie est plus puissante que Dieu, mais pour vous apprendre que Dieu ne veut rien accorder que par Marie. Voici tout le plan et toute l’économie de la Providence sur les hommes :
    Je suis entre Dieu et les hommes. Nul ne peut rien obtenir de Mon Père, s’il ne l’obtient par Moi. Or J’ai placé Ma Mère entre les hommes et Moi, et Je n’accorde rien aux hommes que par Ma Mère et en sa considération. Que le pécheur s’adresse à Marie, qu’il obtienne sa protection et il sera pardonné. Celui qui est en paix avec Moi est aussi en paix avec Mon Père ; de même celui qui a l’amitié de Ma Mère possède aussi mon amitié. Demandez à Marie toutes les grâces qui vous sont nécessaires, elle vous les obtiendra ; reconnaissant votre indignité, adressez–vous à Marie, et Marie priera pour vous. Toutes les grâces que Dieu distribue sont en Moi comme dans un immense réservoir. Je les fais couler dans Marie comme dans un réservoir nouveau, et c’est là qu’il faut venir les puiser. On demande une grâce, Mon Père consent, Je l’accorde et Marie la donne.
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    Le miracle est une altération des choses qui sont fixées, un désordre bénéfique par conséquent, que Dieu accorde pour consentir à la prière de l’homme, pour lui montrer qu’Il l’aime ou le persuader qu’Il est celui qui est.
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    Pour les bons, le miracle est une juste récompense. Pour les moins bons, c’est pour les amener à une bonté véritable. Pour les mauvais, aussi parfois, c’est pour les secouer, pour les persuader que J’existe et que Dieu est avec Moi. Le miracle est un don, et ce don est pour les bons. Mais Celui qui est Miséricorde et qui voit combien les hommes sont lourds et que seul un événement prodigieux peut les secouer, y recourt aussi pour pouvoir dire : « J’ai tout fait pour vous, et cela n’a servi à rien. Dites-Moi donc vous-mêmes ce que je dois faire de plus ? ».
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    … N’ai-Je pas ressuscité les morts, guéri les fous, soigné les épileptiques, ouvert la bouche aux muets, les yeux aux aveugles, l’ouïe aux sourds, l’intelligence à des êtres diminués ? N’ai-Je pas de même chassé les démons, commandé aux poissons de se jeter dans le filet, aux pains de se multiplier, à l’eau de devenir du vin, à la tempête de se calmer, à l’eau de devenir solide comme une surface pavée ?
    Même avant que Dieu, le Christ Fils de Dieu, fût parmi vous, est-ce que Dieu n’a pas opéré des miracles par le moyen de ses serviteurs qui agissaient en son nom ? Ne sont-elles pas devenues fécondes, les entrailles de Saraï d’Abraham pour qu’elle devienne Sara et enfante dans sa vieillesse Isaac, destiné à être celui avec lequel Je concluerais le pacte ? Ne se sont-elles pas changées en sang, les eaux du Nil, et remplies d’animaux immondes au commandement de Moïse ? Et toujours par sa parole , ne sont-ils pas mort de la peste les animaux, et tombées ulcérées les chairs des hommes, et n’ont-ils pas été fauchés, hachés les blés par une grêle dévastatrice et dépouillés les arbres par les sauterelles, et éteinte pendant trois jours la lumière, et frappés de mort les premiers-nés, et entr’ouverte la mer pour le passage d’Israël, et adoucies les eaux amères et ne sont-elles pas tombées en abondance les cailles et la manne, et l’eau n’est-elle pas jaillie du rocher aride ? Et Josué n’at-il pas arrêté la course du soleil ? Et le jeune David n’a-t-il pas terrassé le géant ? Est-ce qu’Elie n’a pas multiplié la farine et l’huile et ressuscité le fils de la veuve de Sorepta ? Est-ce qu’à son commandement la pluie n’est pas tombée sur la terre desséchée et le feu du ciel sur l’holocauste ?
    Et le Nouveau Testament n’est-il pas un bosquet fleuri dont chaque fleur est un miracle ? Qui a donc pouvoir sur le miracle ? Qu’est-ce qui est donc impossible à Dieu ? Qui est comme Dieu ?
    Courbez le front et adorez ! Le temps arrive de la grande moisson, et tout doit être révélé avant que l’homme cesse d’exister, tout : les prophéties postérieures au Christ et celles d’avant le Christ, et le symbolisme biblique qui a commencé dès les premiers mots de la Genèse, et si Moi Je vous instruis sur un point jusqu’à présent inexpliqué, accueillez ce don et tirez-en le fruit et non la condamnation. Ne faites pas comme les juifs du temps de ma vie mortelle qui voulurent fermer leur cœur à mes enseignements et, ne pouvant m’égaler dans la compréhension des mystères et des vérités surnaturelles, me traitèrent de possédé et de blasphémateur.

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  • VANUXEM Véronique , 17 août 2011 @ 6 h 47 min

    Voici une critique objective du spectacle, pour qui connaît et respecte sa religion…
    (elle provient d’un forum catholique)
    Extraits :

    <>

    A chacun de tirer se conclusions…

  • Pierre Variant , 17 août 2011 @ 10 h 27 min

    Les athées
    Insensé qui ne reconnaît pas Dieu dans ses œuvres du ciel et de la terre ! Insensé qui a sous ses yeux le grand livre de la création et n’y trouve point à chaque page ce nom : Dieu !
    Ils sont insensés, ils son aveugles aussi, et leur folie et leur aveuglement les détournent de Dieu pour qu’ils ne pensent qu’aux choses de la terre.
    Ils sont aveugles et insensés et ne voient et ne cherchent point Dieu, parce qu’ils sont séparés de Dieu, parce qu’ils sont révoltés contre Lui, parce que le péché règne dans leur cœur.
    S’ils étaient justes et saints, ils pénétreraient jusqu’à Dieu, jusque dans Son cœur ; ils verraient avec admiration ses œuvres et ne cesseraient de louer Sa puissance, Sa bonté, Sa miséricorde, Sa providence. Ils comprendraient que rien ne marche par l’effet du hasard, et que Dieu est partout, que Dieu dirige tout. La création serait pour eux le premier livre où ils apprendraient la science véritable de la dépendance universelle de toutes choses à l’égard de De Dieu, parce que tout a été fait par Dieu.

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    La foi est l’état permanent et nécessaire de l’homme. Son imagination a besoin de croire et ce besoin est plus impérieux que celui de respirer. Même celui qui affirme qu’il ne croit pas, a une croyance. Il croit en quelque chose. Le seul fait de dire « Je ne crois pas en Dieu » présuppose une autre foi : en soi-même, peut-être, en son propre esprit orgueilleux. Mais, pour ce qui est de croire, on croit toujours. C’est comme la pensée. Si vous dites « je ne veux pas penser » ou bien « je ne crois pas en Dieu », rien que par ces deux phrases que vous dites, vous montrez que vous pensez et que vous ne voulez pas croire en Celui dont vous savez qu’il existe et auquel en vérité vous ne voulez pas penser.

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    … et en quoi croient-elles alors, ces pauvres âmes, si elles ne croient pas en Moi, l’Eternel ? Il est impossible de vivre sans croire. Celui qui ne croit pas en Dieu, croira forcément en d’autres dieux. Celui qui ne croit en aucun dieu croira aux idoles, il croira à la chair, il croira à l’argent, il aura foi en la force des armes. Bref, on ne peut ne croire en rien. Les ténèbres de l’âme qui ne croit en rien d’humain ou de surhumain sont pires que les ténèbres où est plongé l’aveugle. Il ne lui reste qu’à tuer corps et âme dans une mort violente.

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    Quand Judas a cessé de croire en Moi, à la satisfaction de l’argent ou à la protection de la loi humaine, il s’est tué. Remords pour son crime ? Non. S’il s’était agi de cela, il se serait tué tout de suite après avoir compris que je savais . Mais il ne le fit pas, pas alors, ni après l’infâme baiser et mon salut affectueux, ni lorsqu’il me vit couvert de crachats, lié, traîné au milieu de mille insultes. Seulement après avoir compris que la loi ne le protégeait pas – la pauvre loi humaine qui souvent suscite le crime ou y pousse, et puis se désintéresse de ses auteurs et des complices, comme alors, ou se retourne contre eux et, après s’être servi d’eux les réduit au silence pour toujours en les supprimant – et après avoir compris qu’il ne tirerait de sa trahison ni pouvoir ni argent, ou trop peu pour être heureux, alors seulement Judas s’enleva la vie. Il était dans les ténèbres du néant, il se jeta dans les ténèbres de l’enfer.

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    Le remords aurait pu sauver Judas, s’il avait fait du remords un repenti. Mais lui n’a pas voulu se repentir. Au premier crime de trahison, encore pardonnable à cause de la grande miséricorde qu’est Mon affecteuse faiblesse, il a joint les blasphèmes, les résistances aux voix de la grâce qui voulaient encore lui parler à travers les souvenirs, à travers les terreurs, à travers mon Sang et mon manteau, à travers Mon regard, à travers les traces de l’institution de l’Eucharistie, à travers les paroles de ma Mère. Il a résisté à tout. Il a voulu résister comme il avait voulu trahir. Comme il a voulu maudire. C’est la volonté qui compte dans les choses, dans le bien comme dans le mal.

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  • Georges Carrier , 17 août 2011 @ 13 h 08 min

    Il me semble qu’il a été évalué que 80% de tous les juifs actuels se donnaient comme athées.

  • Pierre Lavoix , 18 août 2011 @ 9 h 02 min

    Darwinisme et évolution

    Un des points qui fait sombrer votre orgueil dans l’erreur – un point qui avilit par-dessus tout précisément votre orgueil en vous donnant une origine que vous répudieriez comme étant dégradante si vous étiez moins dévoyés – est celui de la théorie darwinienne.
    Pour ne pas admettre l’existence de Dieu, qui dans sa puissance peut très bien avoir créé l’univers du néant et l’homme de la boue déjà créée, vous endossez la paternité d’une bête.
    Ne vous rendez-vous pas compte que vous vous diminuez, parce que, pensez-y, quelque sélectionnée, améliorée, perfectionnée qu’elle soit dans sa forme et son instinct et même, si vous voulez, dans sa fonction mentale, une bête sera toujours une bête ? Cela ne témoigne pas en votre faveur pour ce qui est de votre orgueil de surhommes.
    Mais si vous ne vous en rendez pas compte, je ne vous contraindrai pas à devenir conscients de cette erreur. Je ne vous demande qu’une chose que, nombreux pourtant comme vous êtes, vous ne vous êtes jamais demandé. Et si vous pouvez me répondre par des faits, je ne combattrai plus cette avilissante théorie.
    Si l’humain descend du singe, lequel serait devenu humain par une évolution progressive, comment se fait-il que, depuis le temps que vous soutenez cette théorie, vous n’ayez jamais réussi à faire un humain d’un singe, même pas avec les méthodes et les instruments perfectionnés d’aujourd’hui ? Vous auriez pu prendre les petits les plus intelligents d’un couple de singes intelligents, et puis les petits intelligents de ceux-ci et ainsi de suite. Vous auriez désormais plusieurs générations de singes sélectionnés, instruits, dont la plus patiente, ingénieuse et tenace méthode scientifique prendrait soin. Mais ils ne seraient toujours que des singes. Si jamais il y avait une modification, ce serait que ces bêtes seraient moins fortes physiquement que les premières, et plus vicieuses sur le plan moral, puisque par toutes vos méthodes et vos instruments, vous auriez détruit la perfection simiesque que mon Père créa en ces quadrumanes.
    Une autre question : si l’humain est venu du singe, comment se fait-il que maintenant, même par des greffes et des croisements répugnants, l’humain ne redevienne pas singe ? Vous seriez capables de tenter de pareilles horreurs si vous saviez que cela pourrait sanctionner favorablement votre théorie. Mais vous ne le faites pas, car vous savez que vous ne réussiriez pas à faire un singe d’un humain. Vous en feriez un enfant humain laid, un dégénéré, un délinquant peut-être. Mais jamais un vrai singe. Vous ne tentez pas de le faire, parce que vous savez à l’avance que l’expérience serait un échec et votre réputation en serait ruinée.
    C’est pour cela que vous ne le faites pas. Pour aucune autre raison. Car de rabaisser un humain au niveau d’une brute dans le but de soutenir une de vos thèses ne vous fait pas horreur et ne vous cause aucun remord. Vous êtes capables de cela et de bien d’autres choses. Vous êtes vous-mêmes déjà des brutes, car vous niez Dieu et tuez l’esprit qui vous distingue des brutes.
    Votre science me fait horreur. Vous avilissez l’intellect et, comme des fous, vous ne vous en rendez même pas compte. En vérité, je vous dis que beaucoup de primitifs sont plus humains que vous.

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    La beauté est une bonne chose si on sait en faire bon usage. La beauté est l’un des dons que Dieu a accordé à vos premiers parents. Ils reflétaient la perfection qui les avait créés. Or celle-ci était l’Esprit très pur. Même si l’homme ne pouvait être tout esprit comme son créateur, il pouvait – et Dieu voulut qu’il en soit ainsi – témoigner de son origine par la perfection d’un corps harmonieux et très beau, tel un vase vivant destiné à contenir un esprit sans la tache du péché. Que cela détruise la théorie honteuse selon laquelle vous descendriez d’un singe.
    C’est de Dieu que vous provenez, et non d’un animal que l’ancienne loi mosaïque qualifiait d’ « immonde ». Souvenez-vous : « Ceux des animaux à quatre pattes qui marchent sur la plante des pieds, vous les tiendrez pour impurs ».
    Quand vous admirez la beauté de l’un de vos semblables, vous devez donc en rendre gloire à celui qui a donné à l’homme une telle suprématie de formes sur tous les animaux, et l’utiliser pour le bien, et non pour votre vanité.

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    L’ignorance très répandue chez les croyants engendre des idées erronées sur l’image de Dieu. Non pas l’image physique : Dieu, en tant qu’Esprit, n’a ni visage, ni taille ni structure. Mais l’homme a l ‘image que Dieu créateur a conçue pour l’homme.
    Le Puissant et l’Infini n’avait certainement pas besoin d’obtenir l’homme d’une évolution séculaire de singes. Le singe fut ce qu’il est dès l’instant où il fut créé et fit ses premiers bonds sur les arbres du paradis terrestre. L’homme fut ce qu’il est dès l’instant où Dieu le créa à partir de la boue et où il lui insuffla l’esprit, ce qu’il n’avait fait à aucune autre créature.
    Sa ressemblance à Dieu se situe dans cet esprit éternel, incorporel, surnaturel que vous possédez en vous.

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    L’homme, l’homme contemporain, délire sur les signes somatiques et les angles zygomatiques ; il refuse d’admettre un Créateur parce qu’il est trop orgueilleux pour reconnaître qu’il a été créé, mais il admet descendre de brutes ! Il peut ainsi se dire « C’est tout seuls que nous avons évolué de l’état d’animal à celui d’homme ». Il se dégrade lui-même par refus de s’humilier devant Dieu. Et il s’abaisse. Ah, comme il s’abaisse !

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    Le génie humain n’est que le moyen qui permet de manifester la puissance de Dieu qui l’a créé, certes avec une âme et fait de chair et de sang, mais aussi doué d’intelligence et de raison. Le génie humain est seulement la réponse donnée aux tenants des théories de l’évolution selon lesquelles l‘homme actuel n’est qu’un animal qui a évolué par une lente ascension de l’état bestial à l’état humain. Le génie humain est seulement la réponse donnée à ceux qui nient la création, et par suite le Dieu créateur, comme aux hérétiques qui soutiennent l’autogenèse de l’univers. Il est seulement la réponse donnée aux athées. Il est la reconnaissance que Dieu est et que tout existe parce qu’il le veut : lumière, vie, éléments, intelligence, tout.

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    … or qu’y a-t-il de plus injuste que de prétendre que Dieu, le Tout-Puissant, a dû attendre l’évolution naturelle spontanée pour créer son chef-d’œuvre, l’homme ? Qu’y a-t-il de plus insensé que de croire que Dieu a été impuissant à créer directement la plus belle œuvre de sa création ?

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    Comment ceux qui veulent expliquer la création et la vie par une autogenèse et une polygenèse peuvent-ils nier que le Tout-Puissant puisse moins que ce qu’il a pu créer à l’origine, qui n’était pas même matière mais seulement chaos et qui n’a consisté d’ailleurs qu’en des choses limitées et imparfaites ? Est-il logique, purement logique et raisonnable, d’admettre le miracle du chaos qui s’ordonne tout seul, engendre tout seul la cellule, que la cellule évolue en espèce, et cette espèce en d’autres toujours plus parfaites et plus nombreuses, tandis que Dieu est décrit comme incapable de réaliser tout seul toute la création ? Est-il logique et raisonnable de soutenir la thèse de l’évolution de l’espèce, et même d’une espèce donnée jusqu’à la forme animale la plus parfaite puisque dotée de parole et de raison – même cela seulement -, quand on voit que, depuis des millénaires, toutes les autres créatures animales n’ont acquis ni raison ni parole bien qu’elles coexistent avec l’homme ?
    Chaque animal est tel qu’il a été créé, il y a des millénaires de cela. Il y a eu, certes, des réductions structurelles, des croisements par lesquels les premières races créées ont produit des races hybrides. Mais on n’a jamais vu, au cours des années et des millénaires, le taureau cesser d’être ce qu’il est, pas plus que le lion ou le chien, qui vit pourtant avec l’homme depuis des siècles. On n’a pas davantage vu les singes devenir des hommes, ou du moins des animaux hommes [c’est-à-dire sans âme], malgré les millénaires passés et ses contacts avec l’homme, dont il peut certes imiter les gestes mais pas la parole. Ces créatures inférieures démentent, avec l’évidence des faits, les élucubrations des amateurs de science uniquement rationnelle. Ils sont tels qu’ils étaient. La variété de leurs espèces témoigne de la toute-puissance de Dieu. Mais elles n’ont pas évolué. Elles sont restées telles qu’elles étaient, avec leurs instincts, leurs lois naturelles, leur mission particulière, qui n’est jamais inutile en dépit de ce qu’elle peut paraître. Dieu ne crée pas d’œuvres inutiles et notamment nuisibles. Le venin du serpent lui-même est utile et a sa raison d’être.

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  • C'est Jésus qui l'a , 19 août 2011 @ 8 h 27 min

    A propos de Marie Curie

    “Ce sont des créatures humainement parfaites. En elles, tout a atteint la perfection, excepté leur esprit qui a régressé toujours plus, jusqu’à devenir un embryon d’esprit. Elles ont un génie parfait, un sérieux parfait. Leur vertu est une flamme qui ne réchauffe pas. C’est un feu froid. Il n’a pas de valeur pour moi. Je préfère une spiritualité imparfaite à une humanité parfaite.
    Une si grande splendeur de perfection humaine est comme la luminosité de cent, de mille lampes. Elles produisent de la lumière; c’est indéniable. Mais c’est une lumière artificielle, laquelle, advenant une panne du moindre mécanisme, meurt aussitôt, et il n’en reste rien. Tandis que l’esprit, même imparfait, est toujours un petit soleil vivant de sa propre lumière, jaillie de la Grâce qui réside en lui. Je parle de l’esprit vivant, c’est-à-dire qui vit en moi, vivifié par la Grâce.
    Le fait de posséder une intelligence supérieure, qui leur a permis de pénétrer les mystères de la nature, aurait dû aussi les amener à voir la puissance de Dieu et son existence, dont l’être est inscrit dans toutes les choses créées. Mais rien de cela ne s’est produit. Ce sont des êtres pleins de science, mais à qui il manque le fil qui conduit à la connaissance exacte de ce qui est. Inventeurs de nouveau, mais négateurs de l’éternel; découvreurs de forces secrètes, mais indifférents à la force des forces, Dieu. Ils ne le cherchent pas, mais au contraire, le nient délibérément. Tout au moins, ils le négligent.
    C’est pour cela que la science humaine, indéniablement avancée, ne porte pas de bons fruits, mais des fruits empoisonnés. Il manque dans le coeur et dans l’esprit des scientifiques le feu de l’amour qui fait respecter et aimer Dieu, qui fait respecter et aimer le prochain.
    Dans le cas particulier qui nous intéresse, cette femme ne fit aucun tort à son prochain; au contraire, elle lui fit du bien. C’est déjà beaucoup. Mais réfléchis un peu à l’importance de l’impulsion qu’elle aurait donnée à son école, à ses disciples et aux disciples des disciples si, à la fascination de son moi, elle avait uni une religiosité profonde.
    Tu peux croire, ma chère âme, qu’à l’heure du jugement, de petites créatures illettrées paraîtront plus grandes que les luminaires de la science. Les premières, allumées par l’amour, seront des étoiles vivantes dans mon ciel. Même si je ne les condamnerai pas pas à cause du bien qu’elles ont fait sur le plan humain, les autres seront des corps nébuleux dans mon Paradis. Ils seront sauvés par ma miséricorde sans aucun mérite de leur part, sauvés davantage par les prières de ceux à qui ils ont fait du bien que par eux-mêmes.
    Maintenant, dis-moi : préfères-tu être une petite nullité dans le domaine du savoir et m’appartenir toute à moi dans cette vie et dans l’autre, ou aurais-tu aimé être un astre ici-bas et opaque nébuleuse là-haut ? Je connais déjà ta réponse et je te dis donc : Tu as répondu sagement, va en paix.”

  • Patrick Buisson , 19 août 2011 @ 13 h 12 min

    Pourquoi existons-nous ?
    La Création est le vêtement de la Sagesse, se cachant ainsi derrière son œuvre. Dieu ne peut être contemplé, c’est la Création qui permet cette connaissance.
    Dieu a fait l’homme pour le Ciel, pour le rendre participant du bonheur du Ciel, pour Se montrer à lui dans le Ciel, pour être sa récompense dans le Ciel. Dieu a fait l’homme pour qu’il possède la vie impérissable, pour qu’il partage avec Lui et goûte la souveraine et éternelle douceur de Sa bonté.
    L’homme aspire au bonheur, et ce désir de bonheur est vif et cuisant en lui ; il le cherche partout, et l’expérience de toutes les générations qui l’ont précédé n’est pas suffisante pour le convaincre qu’il ne peut trouver sur terre le bonheur pour lequel il a été créé . C’est en vain que les hommes le cherchent sur terre, parce que l’homme a été créé pour un bonheur qu’aucune chose terrestre ne peut donner, parce que c’est d’un bonheur du Ciel, c’est d’un bonheur éternel qu’il ressent le désir ardent.
    L’orgueil est la luxure de l’intelligence, et c’est le péché le plus grand, car c’est le péché même de Lucifer. Dieu pardonne tant de choses, et sa Lumière resplendit avec amour pour éclairer les ignorances et dissiperles doutes. Mais Il ne pardonne pas à l’orgueil qui se moque de Lui, en se disant plus grand que Lui.
    Que vous apprend l’argent ? La précipitation, l’avarice, le goût du luxe, l’égoïsme, l’amour du profit et du plaisir. Est-il pour vous source de consolations, de joie ? Oui, s’il vous permet de nourrir celui qui a faim, s’il habite la main qui s’ouvre pour donner. Mais si votre main se ferme dangeureusement sur lui, alors il durcira votre cœur et vous ne vivrez que pour en amasser davantage chaque jour, il vous emprisonnera dans une geôle aux murs épais.

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