Cécile Duflot, ministre du Logement… et prof à Sciences Po

La maquette pédagogique que propose Sciences Po à ses étudiants de première année de Master en Affaires publiques pour le semestre prochain réserve une surprise de taille, ou plus même, une révélation: au ministère de l’Égalité des territoires et du Logement, il n’y a rien à faire, on s’y ennuie, ou, plus dramatique, ses membres sont sous-payés. La situation de la France est en effet tellement merveilleuse depuis l’intronisation de Normal Ier, que son ministre du Logement, Cécile Duflot, et le directeur de cabinet de celui-ci, dispenseront au semestre prochain un cours magistral hebdomadaire sur “L’Égalité des territoires”. C’est donc dire que les deux personnes les plus importantes de ce ministère peuvent mener de front leur charge ministérielle et être professeurs. Comme nous connaissons bien nos chers écologistes, on se doute bien, que le cœur sur la main, ils ont décidé de donner ce cours bénévolement afin d’apporter leurs lumières aux élèves du prestigieux institut sur un thème des plus cruciaux. Le descriptif du cours traduit d’ailleurs cet esprit humaniste, et cette volonté de porter partout les lumières de la bonne parole gouvernementale pour lutter contre l’obscurantisme, le populisme et la peste brune, c’est-à-dire l’extrême-droite et Nicolas Sarkozy.

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21 Comments

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  • Francois Desvignes , 26 juillet 2013 @ 12 h 12 min

    Je ne lis pas les évènements de cette façon.

    En Hollandie du Reich socialiste byzantin, spécialisé dans les assassinats de couloir, cette “promotion” est la promesse d’une purge : Miss Duflot va se faire débarquer du Gouvernement.

    Ainsi en ira-t-il de tous les verts et verts complaisants (et aussi vers de terre, ce sont les mêmes) de l’appareil d’Etat du Reich socialiste, “non idéologiquement conforme ou politiquement peu sûrs”.

    Et savez-vous pourquoi ?

    Parce que Hollande, qui a oublié d’être con, sait mieux que nous que l’année prochaine , c’est la guerre.

    Et qu’il sait aussi, qu’en temps de guerre , il vaut mieux avoir de vrais ennemis que de faux amis dans son gouvernement.

    Là dessus, on pourrait penser : il va donner un coup de barre à droite !

    Ce n’est pas possible : il va donner un coup de barre à gauche !

    il va remplacer DUFLOT, cette bobo rose pâle, par l’aile gauche de la gauche de la gauche : taubiranisquer sa politique et son gouvernement.

    Il va faire passer l’idéologie des mots à l’acte : la fuite en avant !

    Pour le coup, il aura eu raison au moins sur un point : ça va vraiment être la guerre !

    .

  • xrayzoulou , 26 juillet 2013 @ 12 h 18 min

    On pourrait faire une souscription nationale pour que ces 2 personnes aient une petite rallonge ! c’est impensable qu’un ministre et son directeur de cabinet, avec ce qu’ils gagnent ! fassent ce boulot en plus de leur travail au ministère, où ils n’ont rien à foutre de leurs journées et veulent faire du bénévolat (mon œil ! Ils sont trop attachés à l’argent);
    Voilà le bel exemple que nous donnent ces personnages (je pense d’ailleurs qu’ils ne sont pas les seuls).
    Vivement qu’ils soient foutus à la porte et qu’alors ils travaillent comme tout le monde (au SMIC de préférence). Bien sûr ils veulent porter la “bonne parole” socialo-gôcho-vertâtre.
    Ce serait à mourir de rire, si ce n’était pas si grave !!!!!…..

  • Sacha , 26 juillet 2013 @ 14 h 21 min

    Sciences-po ne vaut déjà rien, alors un peu plus un peu moins…

  • elisa06 , 26 juillet 2013 @ 15 h 13 min

    Pauvres étudiants… Un prof qui ne sait même pas où se situe la Japon (après avoir fait des études de géo…) alors là, n’en parlons pas..;

  • Daniel , 26 juillet 2013 @ 15 h 41 min

    Vous comprenez maintenant pourquoi, à côté de ma formation juridique et politique à IEP, j’ai continué mes études scientifiques dans l’informatique ….. pour être sûr d’avoir un vrai boulot ! Quand on voit ce qui s’y passe dorénavant……..

    Une fois sortie de l’IEP, le jeune doit faire des études pour avoir un boulot : école de journalisme pour devenir “socialistophile”, concours du commissariat de la police (pour truquer les instructions au profit du pouvoir), concours de la fonction publiques dont celui très prisé de l’ENA, ou encore tenter une université de droit voir le concours des écoles de certification à la profession d’avocat (qu’on peut contourner soit au bout de 5 ans d’expérience en tant que juriste, soit en étant titulaire d’un doctorat de droit, soit en ayant exercé un mandant en tant que député), ou sinon, le diplôme permet encore de trouver un job en tant que “agent chargé de communication”.

    Dans les années 90, il y avait essentiellement des pédants et autres enfants de bonne famille qui faisaient plus que se “la péter” que de s’ouvrir à la réalité du monde. Depuis les années 2000, c’est devenu le terrain d recrutement des anarchistes de gauche.

    Dorénavant, on y trouve des Céciles Duflot, ou encore des Caroline Fourest. Je propose une autre formule : on devrait y envoyer Patrick Sébastien pour y enseigner ses théories de communication du style camping, peut être cela rehausserait il le niveau.

  • patrhaut , 26 juillet 2013 @ 17 h 04 min

    j’aimerais bien ! Là, ce serait bien plus clair…

  • azerty , 26 juillet 2013 @ 19 h 44 min

    Cela montre le niveau de cette école où n’importe quel idéologue du moment qu’il est de gauche peut venir enseigner. Centre de propagande plutôt.
    En faculté, il faut au minimum un doctorat et avoir reçu le titre de maître de conférence, ce qui requiert une sélection sur des travaux universitaires, pour pouvoir donner des cours magistraux.

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