Chantal Perrichon (Ligue contre la violence routière) refuse le débat

Chantal Perrichon, Présidente de la Ligue contre la violence routière, a refusé de débattre avec Jean-Luc Nobleaux, auteur de Radars le grand mensonge à qui elle indique souhaiter ne faire “aucune publicité, pas plus qu’à son livre d’ailleurs”. Elle n’a pas non plus souhaité participer à un débat avec Bernard Darniche sur France Bleu. Selon Jean-Luc Nobleaux, Chantal Perrichon a également refusé toute confrontation avec la Fédération française des motards en colère…

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15 Comments

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  • diego , 27 mai 2011 @ 18 h 09 min

    Encore une grande démocrate…

  • Denis Merlin , 28 mai 2011 @ 9 h 04 min

    Il est évident pour moi que la vitesse accroît la fréquence et la gravité des accidents. Aussi, je comprends madame Perrichon qui ne veut pas débattre de choses vaines.

    On ne débat pas des évidences.

    J’ai vécu une époque où il y avait 16 000 morts par an sur les routes (dans les années 70). Il y avait bien moins de véhicules en circulation et bien moins de km parcourus par an par chaque véhicule. Bref, la pertinence de la politique de lutte contre les accidents est indiscutable.

  • Wattier Gérard , 28 mai 2011 @ 21 h 36 min

    La vitesse n’est pas un facteur causal, mais un facteur agravant.
    Le facteur causal le plus fréquent est l’alcol qui induit des comportements imbéciles et dangereux, comme le non respect des distances de sécurité, suivi par la somnolence au volant, car, à 130 km/h sur autoroute, on s’emmerde copieusement et l’on a tendance à s’assoupir.
    Mais le radar reste néanmoins le moyen le plus efficace pour ponctionner l’automobiliste, ce couillon qui a bénéficié des primes à la casse et qui doit à présent les rembourser d’une manière ou d’une autre.
    Il faut bien que quelqu’un paient les dépenses de l’Etat si généreux avec les étrangers.

  • Hommet André , 30 mai 2011 @ 9 h 34 min

    Je crois savoir que Madame Perrichon tient son accès aux médias d’un drame routier qui a coûté la vie à sa fille. On peut comprendre dans ces conditions sa sensibilité exacerbée par rapport aux accidents de la route. Que ceci ait des conséquences névrotiques sur ses prises de positions peut se comprendre, mais ne lui donne aucune compétence en la matière. Le non respect des distances de sécurité (2 secondes entre deux véhicules article R 412-2 du code de la route) surtout lorsque la visibilité est mauvaise génératrice de monstrueux carambolages ou la non signalisation de changement de direction sont bien plus graves qu’un dépassement de 10 ou 15 km/h d’une vitesse administrativement fixée sur une route libre et dégagée. Le seul problème est que ce type d’infraction ne peut guère se constater qu’à catastrophe accomplie. Lorsque l’on voit le nombre de véhicules encore dans les champs ou les fossés le Lundi matin on peut aussi penser que l’euphorie des Samedi soir a quelque chose à voir avec les accidents de la route, l’excès de vitesse n’étant pas alors constitué par le dépassement d’une vitesse administrativement fixée, mais par l’ingestion de produits toxiques
    Je parle d’une expérience qui m’a fait parcourir environ 1,5 millions de km dans le cadre d’une carrière d’agent commercial que je viens de terminer (sans accident) mais en perdant néanmoins des points pour des dépassements insignifiants de vitesse.

  • Damien OnoK , 30 mai 2011 @ 19 h 47 min

    Bonjour Madame Perrichon.

    Je ne vous ai pas entendu ce soir sur l’accident de circulation d’un ‘imbécile, d’un crétin, d’un assassin de la route “, suite à l’accident de la gendarmerie à Joué les Tours….où une petite fille a perdu la vie…
    Allo; allo, Madame Perrichon, vous êtes là……Ah ! la ligne est coupée.
    J’espère au moins que vous allez imposer un radar au milieu du rond point.

  • Smartiz Seven , 2 juin 2011 @ 20 h 43 min

    Belle vision de la démocratie… Madame est la seule à penser ce qui est bien ou mal pour les autres. Méfiez vous des personnes qui détiennent la vérité et refusent l’échange.

  • arevian eddy , 2 juin 2011 @ 20 h 44 min

    C’est sur que quant on cause avec des ministres on se rabaisse pas a parler avec la populace aussi compétente soit elle !
    Cette femme et le poison de la prévention routière elle empêche par ses positions et avec la complicité de quelques décideurs sans scrupules la mise en place d’une véritable politique de prévention et ensemble ces gens cyniques sont à mes yeux responsable d’une partie des drames de la route.
    J’espere qu’un jour on leur demandera des comptes

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