Dupont-Aignan : “Il vaut mieux un Assad qui tient la Syrie, comme il valait mieux un Kadhafi en Libye, que le chaos de la charia”

Invité de Jean-Jacques Bourdin vendredi, Nicolas Dupont-Aignan a réaffirmé sa volonté de rétablir les frontières nationales et de lutter contre l’immigration. “Il vaut mieux un Assad, qui tient la Syrie, qui empêche l’effondrement du Liban, comme il valait mieux un Kadhafi en Libye que le chaos de la charia”, a estimé le président de Debout la France :

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46 Comments

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  • marie france,sorti des drapeaux , 28 août 2015 @ 18 h 44 min

    oui , c’est incompréhensible qu’ils aillent chez ce salopard

  • Trahi , 28 août 2015 @ 19 h 00 min

    En février 1997, il est désigné directeur des études au sein du RPR par son président Alain Juppé (également Premier ministre).

    En février 1998, le nouveau président du RPR, Philippe Séguin, dont il s’était rapproché dès avant la dissolution de l’Assemblée nationale l’année précédente, le nomme secrétaire aux fédérations. En janvier 1999, après s’être prononcé contre la ratification du traité d’Amsterdam, il est remplacé dans ses fonctions de secrétaire aux fédérations, et amorce un rapprochement avec les souverainistes, notamment Charles Pasqua.

    Le 3 février 1999, il fonde le parti Debout la République, au sein du RPR, et, pour les élections européennes du 13 juin 1999, appelle à voter pour la liste « souverainiste » conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers. Il quitte alors le RPR, le 15 juin, pour devenir dans la foulée le secrétaire général adjoint du Rassemblement pour la France (RPF), nouvelle formation lancée par Charles Pasqua, dans laquelle il est plus particulièrement chargé des fédérations. Toutefois, avant la rupture entre Charles Pasqua et Philippe de Villiers il choisit de démissionner du RPF en mai 2000.

    S’ensuit une période de rapprochement d’abord avec Philippe Séguin (à cette époque candidat à la succession de Jean Tiberi, maire de Paris), puis, à l’automne 2001, avec Jean-Pierre Chevènement, alors qualifié de « troisième homme » par certains médias français, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2002. Il publie même, avec ce dernier, dans les colonnes du Figaro, le 24 octobre 2001, une tribune libre, « La République est morte, vive la République ! »7.

    La victoire du président sortant, Jacques Chirac, face à Jean-Marie Le Pen, le 5 mai 2002, le voit revenir dans l’orbite de la majorité présidentielle. Il est réélu député de l’Essonne dès le premier tour, le 9 juin.

  • Trahi , 28 août 2015 @ 19 h 05 min

    Bien vu lepetit. Juste fait pour glaner quelques milliers de voix aux électeurs peureux d’un JMLP trop agressif et souvent lapidaire.

  • Gérard Brazon , 28 août 2015 @ 22 h 11 min

    Mon cher Gérard il ferait mieux d’établir des liens avec ceux qui partagent son opinion actuelle plutôt que de se la faire à 2% inutiles aux élections. C’est pour ça qu’il n’est pas crédible pour tous ceux qui sont patriote et estime qu’il y a urgence à ne pas tourner autour du pot
    Gérard Brazon

  • Gérard Brazon , 28 août 2015 @ 22 h 16 min

    Voilà l’homme qui tergiverse, l’homme qui attend son heure et qui sans doute attendra encore longtemps tout en favorisant le RPS mine de rien….

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