The Economist s’explique sur sa Une provocante

French bashing : Après la presse allemande, la presse anglaise. Ce mardi, John Peet, rédacteur en chef Europe, et Sophie Pedder, chef du bureau de The Economist à Paris, étaient invitées par BFM Business pour commenter les réactions françaises à la couverture de l’hebdomadaire (“The time-bomb at the heart of Europe“). Ils sont également revenus sur les problèmes que connaît la France : compétitivité, marché du travail pas assez flexible, secteur public obèse, taxes et impôts trop élevés, etc. et ont appelé à “anticiper” une “vraie crise” à venir par “des réformes sérieuses” bien que tardives.

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> Ils sont partout ! par Georges Kaplan

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3 Comments

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  • Goupille , 20 novembre 2012 @ 21 h 08 min

    “Do you ken John Peet,
    with his coat so gay ?
    Do you ken John Peet,
    by the break of the day ?”…

    Ils sont parfaits ces Anglais. Quelle fraîcheur, quelle objectivité, quelle naïveté aussi : le Français ne réagit que trop tard, éternellement, dans tous les domaines, sous la contrainte des événements. Généralement dans un grand chambardement brouillon.
    Nous croulons sous les immobilismes et les mauvaises graisses institutionnalisées.

    Quant à la couverture, nous avons échappé au pire : une grenouille, le béret-poche à glace sur la tête, le thermomètre dans la bouche . Titrée : La France, l’homme malade de l’Europe…
    Quand on se souvient que c’était autrefois la Turquie : nous sommes tombés bien bas.

  • Kuing , 20 novembre 2012 @ 22 h 01 min

    Pour être précis, cette émission ne date pas de (ce) mardi mais du 16 novembre.
    Mais bon, ça ne change pas grand chose. ^^

  • hector galb. , 21 novembre 2012 @ 11 h 26 min

    Cela fait bien longtemps que je ne me préoccupe plus de ce que disent ou pensent les Anglais à notre sujet. Ils sont champions du monde pour vous laisser tomber une fois que la zizanie fut semée.

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