Propagande pro-avortement du Gouvernement Ayrault : Google appelé à la rescousse par Najat Vallaud-Belkacem

Malgré d’importantes subventions publiques, le Planning familial ne parvient pas à être mieux référencé sur Google.fr que des sites d’aides aux femmes en détresse pourtant bien moins dotés sur le plan financier, comme ivg.net. Depuis quelques mois, Najat Vallaud-Belkacem, le ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement s’est mise en tête d’inverser cette situation.

Alors, rapporte France Inter, “le ministère a incité Google à mieux référencer certaines associations comme le Planning familial”. Moi qui croyait naïvement que les moteurs de recherche doivent être neutres !

Il est aussi précisé qu’un programme appelé Google Grants représentant 10 000 euros d’achat de publicité offerts chaque mois par Google sera mis en place. En bref, à chaque fois qu’un internaute tapera “IVG” ou “avortement” dans Google, il verra apparaître le nom de ces sites officiels pro-avortement…

Sauf que Google Grants est interdit aux entités et organismes gouvernementaux, ce que semble être de facto le Planning familial (dont on se demande si sa porte-parole n’est pas Najat Vallaud-Belkacem), même si le statut officiel de l’organisation est celui d’une association loi 1901.

Contrairement à la problématique de la dénaturation du mariage (qu’elle soutient), l’entreprise Google est toujours resté discrète sur la question de l’avortement, même si elle ne traite pas de manière équitable les organisations “pro-vie” et celles “pro-choix”.

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32 Comments

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  • Dōseikekkon , 23 septembre 2013 @ 14 h 23 min

    Fleur : « Calomniez, calomniez !
    Il en restera toujours quelque chose.
    (…)
    Le langage des propagandistes de
    l’avortement est totalement pipé,
    totalement menteur
    (…)
    ces sites de bénévoles qui
    proposent d’aider les femmes à
    accueillir leur enfant… ce qui,
    pourtant, est le moindre dans une
    humanité qui se dit “civilisée” ! »

    C’est curieux mais, dès que l’on creuse un peu – pas beaucoup – on s’aperçoit rapidement que c’est plutôt du côté de ces bienfaiteurs bénévoles que se trouve le langage « totalement pipé, totalement menteur ».
    Je prends le premier exemple qui me tombe sous la main… Le site ivg.net dont l’adresse est donnée plus haut par Éric Martin. À le parcourir, ce site de « conseil », c’est terrifiant tous les risques qu’une femme prend en recourant à l’avortement !

    ⑴ Par exemple, sur la page ‘IVG et Cancer du sein’, on nous met en garde au nom d’une étude anglaise (The Breast Cancer Epidemic: Modeling and Forecasts Based on Abortion and Other Risk Factors, d’un certain Patrick S. Carroll, et parue dans la feuille de chou d’une petite officine de médecins américains aux opinions bien marquées [anti-avortement, anti-programmes de vaccination,…]) en ces termes :
    Le résultat de cette enquête
    est inquiétant : l’IVG serait le
    principal facteur de risque du
    cancer du sein et ce risque
    s’accroit pour les femmes ayant
    subi de nombreuses IVG et sans
    enfant.

    Or, quand on lit l’étude en question, on est d’emblée frappé d’une chose : l’auteur y fait état de statistiques de différents pays (Écosse, Finlande, République Tchèque, Danemark, etc.) montrant une augmentation des pourcentages d’avortements et de cancers du sein. Et l’auteur se permet d’écrire en conclusion qu’il y a un lien de causalité entre les deux (The increase in breast cancer incidence appears to be best explained by an increase in abortion rates, especially nulliparous abortions, and lower fertility) sauf que… rien n’indique dans ses statistiques que les femmes touchées par le cancer sont les mêmes que celles qui ont avorté !
    Totale mystification, donc…

    Pour en avoir le cœur net on fait quelques recherches sur des sites un peu réputés et – surprise ! – le National Cancer Institute (sur une page intitulée Abortion, Miscarriage, and Breast Cancer Risk) nous apprend que “having an abortion or miscarriage does not increase a woman’s subsequent risk of developing breast cancer” ; soit : pas de lien connu de cause à effet…

    Ailleurs c’est l’American Cancer Society qui (sur une page intitulée Is Abortion Linked to Breast Cancer?) nous apprend, au terme d’un long développement, que “At this time, the scientific evidence does not support the notion that abortion of any kind raises the risk of breast cancer or any other type of cancer”. Même conclusion donc : l’avortement n’augmente pas le risque de cancer.

    ⑵ De même, sur le site « conseillé » par Éric Martin, on trouve une page intitulée ‘Synthèse des risques psycho-comportementaux après une IVG’ ; comme par hasard, les études qui y sont citées – et qui feraient prétendument état de liens de causalité avortement ⇒ troubles mentaux – sont largement contestées autre part pour des défauts de méthode divers et variés.
    Par exemple, on oubliera de tenir compte du fait que les femmes qui recourent à l’avortement sont aussi celles qui ont le plus subi de violences (conjugales, ou durant l’enfance) auparavant ; on est donc incapable de distinguer l’effet de la violence sur la survenue de troubles mentaux de celui, supposé, de l’avortement.
    Ou encore on invoque une étude néo-zélandaise en omettant de prendre en compte le fait que le profil des femmes de ce pays qui avortent n’est pas représentatif, puisque l’avortement n’y est autorisé que sous des conditions strictes (mise en danger de la santé de la mère ou de l’enfant, ou grossesse suite à inceste/viol, ou mère handicapée mentale lourde).
    Voir par exemple le document Mental Health and Abortion sur le site de l’American Psychological Association.
    Et aussi cette méta-étude, Abortion and long-term mental health outcomes: a systematic review of the evidence (Charles, Polis, Sridhara, Blum, 2008, Contraception) de médecins de Johns Hopkins, et qui, examinant les méthodologies de 21 études sur la question, trouvent que celles qui ont été conduites avec le plus de rigueur trouvent zéro corrélation.

    En conclusion ma première tentative de vérifier si l’affirmation de France-Inter est exacte (d’apparence neutre et officielle, ces sites militants relayent de fausses informations sur l’IVG) semble lui donner raison !
    Et j’ai la désagréable impression que les sites militants en question usent des mêmes stratégies bien connues que celles qu’on peut voir à l’œuvre sur, par exemple, l’homosexualité : invoquer des études contestées (et parfois délibérément bidonnées) sans faire mention des contradictions et/ou démentis apportés, comme si elles étaient… parole d’évangile.

  • Delaye , 23 septembre 2013 @ 17 h 43 min

    Pour eux, ce devrait être obligatoire, çà ferait des économies!

  • Frannot , 24 septembre 2013 @ 15 h 03 min

    Mais que doivent penser ses parents du fin fond du Maghreb ? ils doivent être horrifiés des propos qu’elle tient… Et comment a-t-elle pu devenir à ce point déboussolée ? est-ce uniquement par arrivisme ? avec son sourire de faux-jeton, je ne peux pas la voir.

  • Martine Tiard , 26 septembre 2013 @ 16 h 44 min

    Belkacem “ce modèle d’intégration maghrébine” ne fait que détruire toutes les valeurs de la France et de la famille. Alors non, elle n’est pas un exemple.
    Elle est malheureusement l’exemple de l’intégration maghrébine de base, qui profite de tout ce que lui offre la France sans rien donner en échange que des “coups de canif dans le contrat”.
    Elle sort stupidité sur stupidité et n’agit pas du tout pour le bien des Français et encore moins des vraies femmes.

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