Les Américains découvrent le documentaire français «L’Odyssée de la Vie»

“Wow !”, s’exclame Dave Andrusko, un blogueur du National Right to Life après avoir vu cet extrait de 3’24’’ extrait du documentaire français “L’Odyssée de la vie” diffusée en 2006 sur France 2 :

Un extrait qui “buzze” sur Facebook outre-Atlantique depuis le 19 mars sous le titre “Amazing Must Watch… And share” depuis un post de la page “Only For Nurses”. Il a déjà été aimé près de 115 000 fois et partagé plus de 500 000 fois. La récente analyse de Pro-Life New Zealand sur l’utilité des réseaux sociaux pour faire triompher le réel sur l’idéologie trouve ici une belle illustration.

Nouvelles de France vous propose de le (re)découvrir intégralement infra :

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12 Comments

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  • lamethodebronson , 26 juin 2013 @ 11 h 39 min

    Toujours une grosse émotion!! Hitler est un petit rigolo face aux avorteurs du monde entier et ce depuis des années!! Que Dieu nous pardonne!!

  • Charlotte , 27 juin 2013 @ 23 h 31 min

    Je vous copie ci-dessous le message qu’a laissé une courageuse femme pro-vie au milieu de dizaines de messages pro-avortement, sur le blog d’une jeune femme pro-avortement (dont je ne fais pas la pub, car elle est assez atroce, elle a censuré TOUS les autres messages pro-vie et explique qu’elle n’hésiterait pas à avorter si elle se retrouvait enceinte – et sa réponse à ce message, copié ci-dessous, est bien sûr nulle sur le plan de la logique…) :

    “Être pro-vie ce n’est pas seulement être contre l’avortement, c’est surtout choisir de considérer que toute vie humaine mérite d’être vécue. Bien sûr il y a des souffrances, des malheurs… est-ce une raison pour priver la chance à un enfant de devenir?
    Avorter c’est tuer dans l’oeuf. Je ne dis pas que je juge les femmes qui ont recours à l’avortement. Dire que je les comprends serait aussi exagérer sans quoi je n’aurais pas les opinions que j’ai sur l’avortement entre autre. Mais je ne comprends pas pourquoi on ne considère le foetus comme être humain qu’à partir d’un certain nombre de semaines. A partir du moment où l’embryon se développe, il y a la vie.

    Ce que je veux dire c’est que ces gens pro-vie, ceux qui manifestent à l’occasion, certains n’y connaissent rien, ils ont les opinions qu’on leur demande d’avoir, mais d’autres, la majorité sont bien conscients des choix qu’ils font en s’exposant ainsi. Ils ne manifestent pas pour que la loi soit retirée, ils savent très bien que c’est ridicule. Ils manifestent pour que l’avortement ne soit pas un recours de facilité. Parce qu’avoir le choix c’est aussi pouvoir choisir la vie.

    Ne pensez-vous jamais à tous ces enfants jamais nés et qui pourtant étaient déjà incarnés? J’aurais pu être l’un d’entre eux. Ma mère n’est pas une bigote catho, elle est tombée enceinte de moi alors qu’elle était en pleine dépression, mon père l’avait abandonné pour la première fois. On ne la croyait pas capable d’assumer un enfant et pourtant envers et contre tous elle a donné la vie. Non, je ne suis pas un miracle qui l’a sauvée de la dépression et du malheur. Je suis juste un être humain qui mérite de vivre et croyez-moi, j’en ai douté plusieurs fois. Mon père est revenu avant de partir à nouveau, laissant encore ma mère seule avec un deuxième enfant en devenir. A plus de 40 ans il y avait des risques pour que ce petit frère soit handicapé. Et alors? Ne mériterait-il pas de vivre sous ce prétexte? Ce serait être nazi que de vouloir retirer la vie à un être humain sous prétexte que ses capacités sont moindre.

    Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a pas un cas pareil et bien sûr il vaut mieux des femmes pouvant avorter en sécurité plutôt que de bousiller deux vies à la fois.
    Il n’y a aucune haine dans mon message, juste un point de vue.

    En revanche le coup de gueule que je voudrais pousser, c’est personnel et vous n’y pouvez rien bien sûr, mais j’aimerais qu’on arrête justement de me juger lorsque je dis que pour moi l’avortement c’est tuer un enfant en devenir. Quand je dis ça, je ne traite personne de meurtrier, le coupable je ne l’ai pas, je ne peux juste pas me résoudre à le considérer autrement et puisque je crois en l’âme, je prie pour ces âmes. Est-ce que je fais du mal à quelqu’un? La plupart du temps, dés qu’on découvre que je suis catholique, c’est la première question qui arrive sur le tapis. J’ai accepté d’être une sorte de phénomène de foire mais c’est assez fatiguant d’être réduite sous prétexte de ma religion à deux ou trois opinions qui font œuvres de clichés. Parce que le 100 contre 1, c’est tous les jours que je le vis, dans ma famille comme dans ma vie professionnelle.

    Je suis désolé, mon message est long et pas forcément en accord avec l’article, mais j’avais vraiment besoin de l’exprimer puisque je ne peux pas le faire ailleurs sous peine d’être automatiquement catégorisée extrémiste ou mouton de Panurge religieux.

    Si mon message est supprimé, alors cela veut dire que la discussion n’est absolument pas ouverte.”

  • Charlotte , 27 juin 2013 @ 23 h 56 min

    Dans le message de cette internaute (reproduit ci-dessus) , j’aime particulièrement quand elle écrit :
    “Ce serait être nazi que de vouloir retirer la vie à un être humain sous prétexte que ses capacités sont moindres.”

    On pourrait aussi dire, dans un cas plus général :

    Ce serait être nazi que de vouloir retirer la vie à un être humain sous prétexte que les capacités de sa mère pour en prendre soin sont moindres que pour les autres mères

    Bon, le problème étant que certains nient que la future mère en question soit déjà la mère du futur bébé…
    On peut dire “future mère du bébé”, “mère du futur bébé”, elle, de toute façon, elle y pense, même si elle avorte finalement, au fait qu’elle sera, si la grossesse continue naturellement, mère d’un bébé quelques mois après…
    Elle pense aussi forcément au futur bébé, tel qu’il sera (elle l’imagine, comme elle s’imagine mère) , si elle mène la grossesse à son terme…

    A part peut-être les femmes ayant une déficience ou une maladie mentale, ou une grave immaturité ou méconnaissance de la sexualité et de la reproduction, les femmes enceintes pensent FORCEMENT à cela, l’imaginent à un moment ou l’autre quand elles se découvrent enceintes : elles, (possibles) futures mères, avec leur (possible) futur bébé.

    Les pro-avortement font comme si ça ne traversait pas l’esprit de ces femmes qui vont avorter, tout cela… Elles-mêmes, ces pro-avortement, même quand elles y ont eu recours, elles NIENT avoir pensé à tout cela… Parce que ce serait trop douloureux pour elles de trop souvent y repenser… Car ce serait admettre qu’elles ont tué le petit être qui serait devenu leur bébé…
    Elles font semblant de penser qu’elles n’ont fait que “tuer” une possibilité…
    Elles ne sont pas nulles en logique, en fait, elles pourraient très bien raisonner en toute logique, mais elles ne pourraient pas le supporter, psychologiquement…

    Voilà pourquoi il est si dur de tenter de militer pour la Vie en RAISONNANT… Je crois que ça ne marche qu’avec une petite partie des gens, qui y sont prêts, car déconnectés des émotions liées à l’apitoiement sur les jeunes mères pauvres, pas prêtes, etc. De plus, il faut que ces personnes aient l’habitude de réfléchir à des questions philosophiques… Car cela fait 40 ans que dans notre culture française, ne pas avorter ne relève plus simplement du bons sens.

    Je pense donc qu’il faut utiliser la même arme principale que les pro-avortement : l’EMOTION.
    Certains sont très doués pour cela… Sur internet, on trouve par exemple de magnifiques vidéos d’enfants qui se développent dans le ventre de leur mère, avec des musiques très émouvantes…
    Parfois, il peut être utile d’ajouter un peu de raisonnement et de sens pratique (en parlant des aides financières aux futures mères ou jeunes mères, etc.) au côté émotionnel, mais avec la plupart des femmes qui veulent avorter (ou les gens pro-avortement en général) , ça ne sert à rien…
    Ils ont eu un grand bourrage de crâne, depuis leur plus jeune âge pour la plupart (eh oui, ça fait depuis 40 ans ! ) , dans lequel on nie totalement la réalité de l’avortement, qu’on ne présente que comme un acte chirurgical un peu banal…

  • Charlotte , 28 juin 2013 @ 1 h 03 min

    Encore un message…

    Il y a encore quelques années, sans y avoir réfléchi vraiment, et en ne connaissant à l’époque aucune femme qui m’avait dit avoir avorté, j’étais pour l’avortement, j’avais même été à une manif pour ça…

    Ce qui a commencé à me faire changer d’avis, qui m’a vraiment BOULEVERSEE, ça a été le jour où, cherchant sur internet des informations à ce sujet (parce que j’avais entendu parler du fait que le nombre d’avortements ne baissait pas, malgré la généralisation de la contraception, je ne trouvais pas cela logique…) , toit à coup, je tombe sur ce nombre :
    200 000 PAR AN.

    Là, j’ai déjà eu un immense choc.

    Quelques secondes après, je réfléchis, et je calcule, combien ça fait, depuis l’adoption de la loi Veil…

    800 MILLIONS, DEPUIS LA LOI VEIL.

    Et à partir de ce moment, j’ai commencé à vraiment réfléchir, m’informer sur le développement du foetus, les raisons pour lesquelles tant de femmes avortaient, j’ai lu des témoignages, etc, et aussi, et surtout, une amie m’a révélé avoir avorté…

    J’ai compris qu’on nous faisait, en France, comme sans doute tous les pays où l’avortement a été autorisé, un ENORME BOURRAGE DE CRANE.
    En commençant par NE JAMAIS MONTRER UN EMBRYON / FOETUS AVORTE.

    Le jour où j’ai enfin découvert ce genre de photo (après avoir beaucoup cherché sur internet, car évidemment, c’est très dur à trouver, il faut que des pro-vie arrivent à photographier cela et à le publier sur des sites assez fréquentés…) , là, je suis devenue VRAIMENT UNE PRO-VIE, définitivement convaincue.

    C’est le RAISONNEMENT LOGIQUE qui a achevé de me convaincre que même très tôt dans la grossesse, l’avortement est un crime odieux…

    Mais la plupart des femmes qui vont avorter ne sont pas en état de raisonner, elles sont plus ou moins paniquées par la découverte de leur grossesse…
    Et celles qui un jour pourraient avorter, ne sont pas non plus forcément en état de raisonner, à cause de la culture avorteuse que nous avons en France, PARTOUT, depuis 40 ans…

    Donc : LE CHOC DES EMOTIONS, DES PHOTOS… EMOTIONS POSITIVES OU NEGATIVES…
    Les Américains pro-vie sont très bons pour cela… En plus, ils sont nombreux et ont des moyens financiers…
    Inspirons-nous d’eux au maximum, avec un peu d’adaptation à notre culture française… Notamment, en ne nous présentant pas comme pro-vie parce que nous serions tous croyants (d’ailleurs, ce n’est pas mon cas, je suis plutôt agnostique, et quand j’ai commencé à changer d’avis sur l’avortement, j’étais vraiment athée, mais je ne niais pas les données scientifiques) .
    Ce qui peut amener des gens à devenir pro-vie, c’est à mon avis :
    – la religion
    – la science
    – l’écologie, la Nature
    – le désir d’enfant (même très vague, même inconscient)
    – les témoignages de femmes traumatisées par leur avortement
    – les témoignages de gens qui savent que leur mère avaient envisagé l’avortement quand elles les attendaient
    – les témoignages de gens ayant été abandonnés puis adoptés
    – l’exemple donné par les parents, les mères, l’éducation reçue, notamment religieuse, mais pas forcément (la plupart des femmes qui avortent sont les premières femmes de leur famille à le faire, puisqu’avant, c’était illégal, caché, risqué, réprouvé par la société…)
    – savoir qu’il existe des aides pour les mères/parents en difficulté
    – savoir que les avortements consécutifs à un viol sont rares

    Je pense que beaucoup d’hommes n’ont pas d’avis tranché sur l’avortement avant d’être concernés directement, éventuellement, et qu’au contraire les femmes, surtout les plus jeunes, ont un avis souvent très tranché, issu directement du bourrage de crâne depuis 40 ans… Elles mettent l’avortement presque sur le même plan que le fait de ne pas être une femme battue… Pour elles, être contre l’avortement, c’est quasiment “forcer” une femme à être enceinte, la “forcer” à denir mère d’un enfant dont elle ne voudra pas s’occuper, ou ne pourra pas s’occuper…
    Pour ces jeunes femmes-là, être anti-avortement, c’est quasiment être à la place d’un violeur qui a mis sa victime enceinte…
    Désolée pour ces comparaisons, mais je pense que c’est plus ou moins cela qu’ont en tête les jeunes femmes qui ont bien subi le bourrage de crâne sur l’avortement…

    Voilà pourquoi leur principal argument sont :

    – “mon corps m’appartient” : négation totale du lien entre sexualité et reproduction (elles n’y pensent pas souvent) , et du fait qu’elles n’ont pas gardé leur corps juste pour elles, au moment de la relation sexuelle, volontaire… C’est la notion de liberté sexuelle à la soixante-huitarde, encore très présente dans notre société, surtout chez les jeunes

    – “Je ne veux pas être enceinte”, dit alors qu’elles sont déjà enceintes : en fait elles disent cela au lieu de dire “je veux interrompre ma grossesse”. Elles ont en tête une image qui les effraie : elles, enceintes avec un gros ventre, donc enceintes de manière visible, vues enceintes par leurs parents, leurs profs, leur patron, collègues, etc, qui alors leur poseraient des questions très gênantes, puisqu’elles ne veulent pas avoir de bébé, et parfois même ne veulent pas officialiser leur “relation amoureuse” (qui alors a plutôt été une “aventure”) , ou pire, elles pensent qu’elles seraient virées de leur lycée, travail, etc. (la loi dans ce domaine n’est pas assez connue)

    – j’aurai des enfants quand je serai prête / quand j’aurai rencontré l’homme de ma vie / j’ai déjà des enfants : argument devenu très courant chez les femmes qui avortent, car l’avortement est devenu comme un second moyen de contraception, exceptionnel, quand le premier a échoué. Les jeunes femmes qui raisonnent ainsi le font comme beaucoup de gens maintenant : on ne regarde que son intérêt personnel et immédiat.

    Je ne veux pas décourager les militants pro-vie, loin de là… Je veux juste vous donner des pistes sur le type de militantisme, d’arguments, de communication, qui sont à mon avis plus pertinents face aux pro-avortement, de nos jours. Il faut le plus possible arriver à se mettre “dans leur tête”, “à leur place”, pour savoir quoi leur dire et comment agir…

    Un bon début, en cela, a été ce qu’a dit Marine Le Pen en 2012 : l’argument selon lequel les femmes qui avortent plusieurs fois de suite ne devraient plus avoir leur IVG remboursée, en arguant du fait que l’Etat n’a plus d’argent pour cela… Très bon argument (du pint de vue de l’efficacité dans la campagne électorale) , car la majorité des gens ou bien n’ont pas recours à l’avortement, ou bien n’y ont recours qu’une fois dans leur vie… Pour beaucoup de gens (y compris des femmes) , une femme qui avorte plusieurs fois est une “irresponsable”… Preuve que l’avortement n’est pas totalement admis, pour beaucoup de gens, sinon, ils trouveraient “normal” qu’une femme avorte plusieurs fois dans sa vie, par exemple…

    Mais notre société est si pro-avortement qu’une partie de la population a critiqué fortement Marine le Pen pour cette position pourtant assez modérée (elle n’a même pas parlé de changer la loi sur l’IVG) .

    Donc, marchons sur des oeufs et faisons appel aux émotions et aux sentiments du plus grand nombre… Les nôtres, aussi, mais subtilement…

  • Charlotte , 28 juin 2013 @ 1 h 57 min

    Voilà un forum de jeunes parents (surtout des mères, ou même seulement des mères, là) , avec un débat sur l’avortement sur cette page. Je le trouve très intéressant car on retrouve là les principaux arguments des “pour” et “contre” dans la population GENERALE, en particulier en ce qui concerne les jeunes femmes…
    Surtout du sens pratique, du bons sens…

    http://www.babyfrance.com/actus-bebe/l-avortement.html

    Avec une distinction importante, entre les femmes en général : celles qui ont déjà eu des enfants SAVENT ce qu’est l’amour entre une mère et son enfant. Celles qui n’en ont pas (encore) , n’en ont parfois aucune idée ou alors en ont un certain souvenir grâce à leur mère, ou voient cela autour d’elles grâce à des proches qui ont des enfants.
    Cet argument de l’amour entre une mère et son enfant, de tout ce qu’il apporte comme force à la mère, est utilisé ici par certaines mères, et je vous recommande de l’utiliser en général, militants pro-vie…
    Voilà le grand drame de beaucoup de femmes qui avortent : au moment où elles font ça, elles ne savent pas encore tout l’amour qu’il y aurait eu entre cet enfant et elle… Mais certaines le savent, et alors, l’avortement est encore plus traumatisant pour elles…
    La plupart des femmes, y compris celles qui avortent, ont plus ou moins le désir, le “rêve”, d’avoir des enfants plus tard…
    Et c’est bien parce que la maternité est de plus en plus malmenée dans notre société (ou même parfois des mères avec leur jeune enfant se retrouvent à la rue !!!! ) , que le fait de devenir mère est de plus en plus surveillé, jugé, etc (trop tôt, trop tard, les revenus, le CDI, l’homme de sa vie, etc.) , que pour beaucoup de jeunes filles / femmes, ce “rêve” est remis à bien plus tard…

    Je vous suggère de bien analyser les échanges dans ce forum (lien donné ci-dessus) , ils résument bien les arguments souvent donnés par les gens, surtout les femmes, qui sont “pour” ou “contre” ou “ni pour, ni contre” l’avortement.
    Ce sont très rarement des arguments philosophiques, c’est bien plus pratique, très quotidien…

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