Charlie Hebdo | Édition spéciale de TVLibertés

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  • teresa , 10 janvier 2015 @ 2 h 01 min

    Formidable le criminologue Xavier

    Ecoutez attentivement le criminologue Xavier Raufer, ainsi vous comprendrez nos gentils français djihadistes et leur maîtrise pour accomplir leur mission en prenant une drogue le carpagon fabriquée par l’otant. Merci a Delanoë de leur avoir permis de faire leur instruction dans la belle mosquée qu’il leur a offerte

  • teresa , 10 janvier 2015 @ 2 h 04 min

    Je l’écoute tous les soirs depuis son ouverture 30/01/2013

  • lapaladine , 10 janvier 2015 @ 14 h 12 min

    Je ne suis pas d’accord avec l’analyse car on aurait tort de sous-estimer ces terroristes en les traitant de benêts ou simplets ou faibles d’esprit!
    On a toujours tort de sous-estimer ses ennemis, c’est une erreur qui peut conduire à notre défaite.
    Que l’on se souvienne des attentats perpétrés par Action Directe et les nombreux témoignages des gens qui avaient rencontré ces terroristes dont Jean Edern Hallier. Ceux ci sont toujours des gens bien intégrés, qui peuvent vous parler amicalement et deux minutes plus tard vous assassiner, on se souviendra d’un de ces terroristes qui avait mis une bombe dans le vagin d’une femme enceinte et l’avait faite éclater!
    Personnellement j’ai travaillé avec un imprimeur qui était celui du conseil régional Midi Pyrénées, c’est lui qui était l’imprimeur de la célèbre affiche du Ché. Il avait son imprimerie régulièrement dynamitée, ses collaborateurs étaient tous d’anciens soixantuitards. L’imprimeur était le fils de la grande bourgeoisie bordelaise, de la famille de François Mauriac, son père, avocat à la retraite, demeurant en Suisse, passait son temps à la chasse aux papillons dans le monde entier (vrai bien que risible). Cet homme était charmant et très courtois. Quel ne fut pas mon étonnement quand la personne avait qui je travaillais pour faire imprimer mon livre s’est retrouvé en prison car il avait aidé en cachant des armes pour Action Directe dans son appartement. Tous les collaborateurs de l’imprimerie étaient désolés, allaient le voir en prison, nous étions en juin 1983. A mon retour de congé de maternité en juin 1984, je décidais de changer d’imprimeur. On m’a reproché de le faire, ne comprenant pas mes raisons. Ma réponse fut que je ne voulais pas que l’argent de l’Etat aille financer des entreprises proches d’Action Directe. Bien m’en a pris car on avait un peu plus tard l’attentat de la rue de Rennes par Action Directe.

  • David , 10 janvier 2015 @ 15 h 18 min

    Merci pour vtre COMBAT!

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