La face cachée de SOS Racisme, par Omar Djellil

Omar Djellil, le Président de l’association marseillaise “Présence citoyenne” et co-fondateur de “Alliance République Ethique” avec le conseiller régional FN Stéphane Durbec (entretien) est un ancien militant de SOS Racisme. Devant la caméra de l’association Egalité et Réconciliation, il dénonce les pratiques de SOS Racisme et révèle que l’association ferme volontairement les yeux sur le racisme anti-blancs, exemples à l’appui :

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3 Comments

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  • Lundi Anne Charlotte , 11 août 2011 @ 9 h 06 min

    Une association ne ferme pas les yeux : l’AGRIF, son site http://www.lagrif.fr

    Un livre : La preuve par l’AGRIF
    de l’antiracisme à la discrimination antifrançaise et antichrétienne
    On peut dire ainsi que l AGRIF non seulement s’oppose aux racismes antifrançais et antichrétien mais qu’elle défend la dignité même de la nature humaine niée par la barbarie nihiliste moderne.
    Au-delà de son combat pour le respect de notre identité nationale et chrétienne, elle mène un combat pour le respect de l identité humaine.

    Ici :http://www.livresenfamille.fr/p952-cecile_montmirail_la_preuve_par_agrif.html

  • flammande , 11 août 2011 @ 15 h 09 min

    Dire que toutes ces assocs vivent grassement de nos deniers pour mieux nous anihiler !

  • Lavau Jacques , 12 août 2011 @ 22 h 28 min

    Qu’Omar Djellil parle de SOS Racisme et de son involution, ou de sa ville de Marseille, ou du parti où son appartenance est paradoxale, toujours bon sens, humilité, rigueur républicaine et réalisme social généreux.

    Mon pronostic est que cette situation paradoxale ne va pas durer. Il va bientôt s’apercevoir avec amertume qu’il n’était là que pour servir d’alibi à la cheffe – qu’il critique.

    Sur le message initial, celui qui justifie la présence de Djellil sur ce site ndf : la dérive dès les origines de SOS Racisme vers la complicité envers les racismes anti-blancs, à ne s’occuper que de ce qui est médiatiquement payant, puis la dérive ultérieure à devenir un gisement d’emplois fictifs pour des membres du Parti Socialiste, où l’on place sa maîtresse et son neveu :

    Première question :
    Le financement ? Il venait de quoi et de qui précisément ? De subventions ?

    Seconde question : Management.
    Quoi au juste tenait lieu de conseil de surveillance, chargé de veiller à ce que l’exécutif ne dérape pas hors de la mission et du contrat social fondant cette organisation, théoriquement non-profit ?

    Qui veille à ce que les fonds soient correctement affectés ?

    J’avais commencé d’aborder la question du caractère indispensable du conseil de surveillance avec observateurs externes, en politique, à http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=94&Itemid=58 en juillet 2008.

    D’autres avis ? Un débat ?

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