1er mai : le baroud d’honneur de Jean-Marie Le Pen

Terminé le traditionnel défilé avec dépôt de gerbes devant la statue de Jeanne D’Arc, Marine Le Pen réunit les frontistes dimanche à Paris pour un 1er mai “apaisé” avec un banquet. Jean-Marie Le Pen, lui, organise un contre-rassemblement Place des Pyramides :

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36 Comments

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  • Bistouille Poirot , 2 mai 2016 @ 12 h 31 min

    J’espère que tu as fait ton rôt après le gueuleton de La Villette. Bonne sieste à présent….

  • Bistouille Poirot , 2 mai 2016 @ 12 h 38 min

    C’est vrai Olivier. Alors qu’une Marine assommante pourrait avec un petit effort être insupportable. Ce commentaire serait…. plus convenable !

  • Bistouille Poirot , 2 mai 2016 @ 12 h 47 min

    Ah le dévot que voilà, sous un roi athée, vous seriez…athée. (Jean de la bruyère)

  • Bistouille Poirot , 2 mai 2016 @ 12 h 59 min

    Un sens aiguisé pour stigmatiser une paille qui dans l’oeil de ceux qui nous ont gouverné jusque là avait la taille d’une poutre. A force de faire l’âne tu finiras par braire.

  • xanpur , 2 mai 2016 @ 21 h 01 min

    Sociologue, spécialiste du FN !
    Encore un clown payé à rien faire, sans doute au cnrs

  • Psyché , 2 mai 2016 @ 21 h 34 min

    Vous avez raison, le ne pense pas que JMLP était fondamentalement raciste, il jouait simplement un rôle, mais rassurez-vous le phénomène est exactement le même aux USA où Trump joue le rôle d’épouvantail pour favoriser l’élection de Clinton.
    Ainsi, l’épouvantail Trump roule pour Clinton de la même manière que JMLP a toujours roulé pour le système UMPS.

  • Bistouille Poirot , 2 mai 2016 @ 21 h 56 min

    Fondamentalement raciste ?
    Cela me fait penser à toutes ces phrases qui commencent par: “Je ne suis pas raciste mais….” Une façon d’apporter une justification à votre “fondamentalement…”
    Il n’y a pas de “MAIS”, on est raciste ou on ne l’est pas. Le “Mais” est la conjonction de coordination qui fait de celui qui l’emploie, un raciste. JMLP l’est tout comme je suis l’ennemi de ceux qui ne plient pas à nos lois, nos coutumes, nos moeurs, notre langue. Sans avoir besoin du bémol “MAIS”….

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