Course en talons à la gay pride de Madrid

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  • Gisèle , 1 juillet 2016 @ 17 h 23 min

    De gros malades ! porte ouverte dans les asiles !

  • Robert , 1 juillet 2016 @ 20 h 09 min

    L’homosexualité est tout ce qu’il y a de plus normale, il faut être malade ou pervers pour penser le contraire.
    Vous ne voyez pas ce que vous voyez et vous ne devez pas penser ce que vous pensez.
    Il va falloir que je double les doses de padamalgam et fopastigmatiser.

  • hubert , 2 juillet 2016 @ 23 h 09 min

    justement c’est de la perversité qui est inscrit en eux ils devraient essayer de luter, comme si cette course à talons semblait normale…

  • Gisèle , 3 juillet 2016 @ 1 h 00 min

    La grande inversion généralisée, c’est tout simplement l’œuvre de Satan qui essaie désespérément de détruire l’œuvre de Dieu .
    Mais comme il sait qu’il a déjà perdu et que son temps est compté, il s’affole .

  • Gisèle , 3 juillet 2016 @ 1 h 04 min

    A Paris, on a doublé la protection policière pour ceux qui ont commis un délit d’exhibitionnisme et d’attentat à la pudeur .
    Là, faut qu’on m’explique !
    Allez donc vous balader en sous vêtements dans la rue principale de votre ville …

  • Robert , 3 juillet 2016 @ 17 h 41 min

    Gisèle,
    Vu ce que portent encore sur elles certaines femmes, parfois des enfants, on se demande ce qu’elle pourraient avoir à enlever pour être en sous-vêtements, sûrement juste un string et un mini soutien gorge.
    L’homosexuel a un problème avec la femme et il en caricature l’apparence. Je me souviens en avoir vu un, à la télé, un coquet à la Gay Pride, tout fier de lui en petite culotte et soutien gorge de femme.
    C’est la vengeance des désaxés sur la raison droite, les psychiatres eux-mêmes ayant baissé les bras.

  • Manuel Atréide , 5 juillet 2016 @ 10 h 27 min

    Gisèle,

    je vais finir par croire que votre obsession à imaginer la vie intime de votre prochain cache quelque chose de malsain. Les chaussures à talon ne sont que des chaussures et au demeurant, le talon n’a pas de genre, pas plus d’ailleurs que les vêtements. Vous auriez été horrifiée par les tenues passées. Vous prenez pour éternel ce qui ne l’est pas et, permettez moi de vous le dire, votre vision du vêtement masculin et féminin date du 19e siècle et a été défini chez nos amis anglais.

    Ah oui, dernière chose : visiblement, vous ne savez pas non plus qu’à Carnaval, on se déguise et que si on doit parler “inversion”, c’est aussi à cette racine là qu’il faut aller puiser. Carnaval, je vous le rappelle, est une festivité chrétienne.

    Bref, apprenez votre histoire plutôt que de patauger dans vos fantasmes. Ce sera plus sain.

    Robert : si votre connaissance du sujet se limite à un truc “vu-à-la-télé”, vous étalez là une ignorance crasse. A votre place, je n’en serais pas excessivement fier. Qui plus est, vous avez un raisonnement des plus … limité. Bref.

    M.

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