Halte au féminisme : “Les femmes ne sont pas des victimes”

Véronique Tadjo défend l’égalité femmes-hommes, mais ne se déclare pas féministe – mouvement trop occidental à ses yeux. Figure de la littérature africaine francophone, elle vient de publier “En compagnie des hommes” aux éditions Don Quichotte. Vivant entre Londres et Abidjan, après une carrière en Afrique du Sud, Véronique Tadjo explique pourquoi il faut cesser de voir les Africaines comme des victimes :

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3 Comments

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  • Tonio , 1 septembre 2017 @ 19 h 46 min

    Y a-t-il un féminisme africain ? A quoi bon ?
    En quoi se distingue-t-il de tous les féminismes qui pourrissent la vie des femmes partout ?
    Marre de ces régents qui veulent penser et sentir à la place des autres: les Africaines seraient moins développées que les autres, pour qu’elles aient tant besoin de nounou ?

  • MAILLOT JEAN FRANCOIS , 2 septembre 2017 @ 10 h 48 min

    Bravo aux femmes musulmanes qui commencent à se réveiller. Cette Véronique Tadjo est une passéiste qu’il faudrait faire taire. Quant aux femmes musulmanes c’est elles qui ont la clef pour le combat contre l’islamisme / djihadisme. Elles pourraient d’un jour à l’autre virer par dessus bord la pseudo suprématie masculine dont s’approprient les hommes musulm

  • Marcus , 2 septembre 2017 @ 12 h 16 min

    Pas tout à fait d’accord avec vous.
    Si les femmes musulmanes veulent se réveiller, se libérer et s’émanciper, la première chose à faire est de ne plus être musulmanes.
    L’Islam modéré n’existe pas, c’est une invention gauchiste occidentale. Tout est écrit dans le coran.

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