Philippe de Villiers : “La classe politique est achetée par le Qatar et l’Arabie saoudite”

Philippe de Villiers était l’invité de Jean-Jacques Bourdin, ce matin sur BFMTV. L’occasion pour l’ancien homme politique de balancer sur la brochette de corrompus qui nous gouvernent :

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41 Comments

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  • Trahi , 2 octobre 2015 @ 11 h 58 min

    Tenez, je vais vous donner à tous un bon coneil. Vous voulez vivre en FRANCE, même seulement 2 à 3 jours. C’est très possible. Allez donc au Puy du Fou et votre surprise sera très grande, pas seulement pour le spectacle, mais aussi pour l’environnement autour de vous. Vous serez très très loin des grandes cités oû fourmillent une cohorte de « races » aux langages différents les uns des autres. ALLEZ, RENDEZ VOUS au Puy du Fou.

  • maginet , 2 octobre 2015 @ 14 h 22 min

    Que Dieu vous entend

  • PyrOne , 2 octobre 2015 @ 15 h 10 min

    vs dites les mots que je voulais dire. C’est à désespérer devant le lavage de cerveaux de notre époque: Race: lisez le Larousse de
    1955 et en ligne aujourd’hui! Μême ceux qui
    écrivent le DICTIONNAIRE FRANCAIS sont touchés par le virus; Inoui!

  • flammande , 2 octobre 2015 @ 15 h 31 min

    Achetons, offrons son livre qui semble formidable… Un grand témoin de ces décennies de trahisons… Partout, faire reculer ces nouveaux curés laïques inquisiteurs qui pratiquent la préférence islamique pour plus vite nous faire disparaître !

  • Marino , 2 octobre 2015 @ 16 h 37 min

    La France est-elle tenue en laisse par les monarchies du Golfe ?

    – pourquoi la France, qui est à la fois surendettée et structurellement en déficit, parvient-elle encore à emprunter sur les marchés financiers sans difficultés et à des taux si bas ?

    – pourquoi la France laïque a-t-elle soutenu et soutient-elle encore les monarchies islamiques du Golfe contre les États laïcs arabes que sont la Syrie, l’Irak et la Libye ?

    La France serait littéralement tenue en laisse par ses créanciers du Golfe. Qu’ils cessent d’acquérir des titres d’emprunts de l’État français – pis : qu’ils vendent tout ou partie de ce qu’ils détiennent déjà en portefeuille – et les taux d’intérêt de la dette française remonteraient ipso facto. De manière suffisante, en tout cas, pour déclencher un mouvement de panique, une spirale haussière incontrôlable

    – qui détient la dette publique française ?

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, il est admis officiellement qu’on ne sait pas. Certes, on a une vague idée de la répartition des investisseurs selon leur type – assureurs, banques, caisses de retraite, fonds d’investissements, etc. – et on estime que la part des non-résidents représente les deux tiers, un tiers à l’intérieur de l’Union européenne et un tiers hors Union européenne, ce qui ne signifie rien car beaucoup de fonds extra-européens opèrent depuis la City. Mais une chose est absolument certaine : on ne sait pas quelle part de la dette publique française est détenue par des fonds souverains. Or, ces fonds souverains sont un type d’investisseurs très particulier, les seuls en position d’exiger, en contrepartie de leur apport financier, plus que le paiement des coupons. Pour mémoire, les fonds souverains d’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweït et des Émirats arabes unis géraient, au 31/8/2015, un portefeuille global combiné de 1.800 milliards de dollars (1.600 milliards d’euros).

    * Christophe Servan/bd voltaire (extrait partiel)

  • Agathon , 3 octobre 2015 @ 0 h 11 min

    C’est vrai, la seule ambition de la république pour ce magnifique pays millénaire est d’aller vers le moins pire : et c’est à coup de moins pire que , comme le dit P. Hillard, “c’est humainement cuit”.
    mais le pire , ce sont ceux qui travestissent la vérité en l’énonçant mal. Je pense que de Villiers a atteint son seuil de compétence au Puy du Fou.

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