Les jeunesses genderiennes ont leur camp !

69 Comments

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  xanpur , 3 août 2013 @ 9 h 00 min

  C’est tres con ce que vous dites
  Si une femme est génétiquement un male (soit dit en passant on dit un homme pour l’espece humaine) c’est un homme.
  Personne n’a con jour 2chromosomes X et le lendemain un chromosome X et un Y. Ni d’ailleurs, 2 chromosome Y
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  asina_asinam_fricat , 3 août 2013 @ 9 h 21 min

  http://www.rtl.fr/actualites/sport/athletisme/article/des-athletes-feminines-avantagees-car-elles-sont-aussi-des-hommes-7760824029

  http://www.bfmtv.com/planete/athletes-feminines-naturellement-dopees-a-testosterone-502472.html

  http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/26/1614800-est-premiere-fois-identifie-telles-anomalies-genetiques.html

  ”
  Le Comité International Olympique vous a confié le dossier médical de quatre athlètes. Qu’avez-vous constaté ?

  Toutes les quatre, athlètes de haut niveau, présentent une anomalie génétique: elles possèdent toutes les quatre le chromosome Y synonyme de masculinité. C’est ce chromosome qui génère une très forte production de testostérone. Elles sont nées avec des organes génitaux féminins. Elles portent un prénom féminin. Elles ont été élevées dans le genre féminin. Mais, elles se sont virilisées au moment de la puberté avec le développement musculaire considérable, une ossature de garçon et surtout un taux de testostérone semblable à celui d’un homme. C’est la première fois au monde que l’on identifie ainsi de telles anomalies génétiques chez des championnes. C’est un désordre génétique particulièrement rare chez la femme: le déficit en 5 Alpha Réductase.

  …

  Qui sont ces quatre athlètes femmes présentant un chromosome Y ?

  Je ne peux communiquer ni leur nom, ni leur nationalité. Le CIO ne souhaite pas communiquer sur ce sujet, même si c’est bien lui qui a initié l’étude scientifique. Ils refusent catégoriquement de communiquer sur ce travail fondamental qui vient d’être validé par ces instances scientifiques internationales. Le CHU de Montpellier a reçu une lettre de menaces de poursuites judiciaires en cas de rupture de la confidentialité relative à ces quatre athlètes.
  ”

  Moi très con et “xanpur” génie …
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  Alverma , 3 août 2013 @ 9 h 59 min

  Non seulement c’est monstrueux, mais c’est très schématique et simplificateur; le camp semble confondre gendre avec sexe, pour ne pas dire sexe avec sexualité. Pour mémoire, et pour faire court: il y a des gays très masculins qui aiment les gays très féminins; d’autres les préfèrent très masculins aussi. Il y a demande de minets comme de grands barbus! Suivant que l’on désire le même ou un ersatz de l’autre. Du côté des femmes, c’est pareil. Donc, les choses sont plus compliquées que le rose, le maquillage et les jambes croisées! Toutes choses, d’ailleurs orientées vers l’émergence d’une féminité soi-disant réprimée; quid de la masculinité, alors?
  Un peu pousse-au-crime le camp (de concentration) en question!
  De plus, il est évidemment ignoré que tous les jeunes enfants passent par des étapes d’indéfinition, puis de bisexualité (avec ou sans passage à l’acte) pour finir par adopter telle ou telle préférence. De la préadolescence à la maturité sexuelle il y a un long trajet sur lequel il est criminel, voire pervers, d’intervenir.
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  mariedefrance , 3 août 2013 @ 10 h 52 min

  “ le camp semble confondre gendre avec ../..

  soit vous dites la “gender”
  soit vous dites la “théorie du genre”

  mais en aucun cas, le “gendre.”
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  Le curseur , 3 août 2013 @ 10 h 56 min

  http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_de_France_(1640-1701)
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  Alverma , 3 août 2013 @ 11 h 02 min

  Merci de votre charité dactylographique!
  Ah la bonne chrétienne qu’elle est belle!
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  asina_asinam_fricat , 3 août 2013 @ 11 h 48 min

  Commençons par une de vos phrases où vous avez approché de très près le fond du problème :
  ” Suivant que l’on désire le même ou un ersatz de l’autre “.
  Désirer le même c’est une capitulation sans condition sous l’empire du mimétisme, alors que s’orienter vers un erzats (ou un faux-semblant) ressortit plutôt à un palliatif révocable (ainsi des clients occasionnels de prostitués travestis).
  La pensée du grand catholique René Girard (qui fit toute sa carrière aux USA, auteur de “La violence et le sacré”, “Le bouc émissaire”, etc…) est décisive pour aboutir à une analyse vraiment robuste.
  Voici un passage suffisant de René Girard sur la question :
  ”
  Le modèle rival dans le domaine sexuel se trouve être normalement un individu de même sexe, du fait même que l’objet est hétérosexuel. Ce que nous appelons homosexualité, c’est la subordination complète, cette fois, de l’appétit sexuel aux effets d’un jeu mimétique qui concentre sur l’individu responsable du “double bind” le modèle en tant que rival et le rival en tant que modèle.
  ”
  Il faut entendre par là qu’un homme (qui devrait être) normalement attiré par la femme (en général) , du fait que tout désir a une forte dimension grégaire (c’est la théorie du désir mimétique ou par imitation qui a fait le succès de René Girard, très apprécié par les évangélistes), cet homme peut subir un trouble libidinal de fixation inaboutie sur celui qui serait un rival à imiter et qui se transfigure en modèle à désirer, “bloquant” le processus qui devait aboutir à se conforter vers une femme objet naturel.
  Par exemple un ado timide et peu épanoui, peu extraverti, peut chercher à singer un autre qui attire les minettes, en venir à l’admirer et faute de performance en bio-hétéro séduction finir par rabattre son dévolu sur le bellâtre …
  Autrement dit il y a quelque chose de comparable à la fameuse parabole du Sage, de l’Etoile, du doigt et de l’imbécile : le rival désigne (doigt) la femme (Etoile) mais l’imbécile se fixe sur le doigt et le rival devient modèle … une vraie déviation de regard !

  En revanche votre dernier paragraphe heurte par plusieurs contre-vérités.
  Ce que l’école psychanalytique a qualifié de “bisexualité” chez l’enfant n’a jamais signifié des pratiques concrètes comme votre allusion “passages à l’acte” : il s’agit de bisexualité PSYCHIQUE dans le sens où le très jeune enfant est d’abord indifférent à son statut de genre (du moins s’il y adhère c’est par obéissance et non par profonde intériorisation. Le terme “bisexualité” est devenu trompeur depuis que des bi-pratiquants (hommes + femmes) ont voulu s’auto-baptiser ainsi.
  Si l’inconscient freudien reste une hypothèse non démontrée mais qui le sera peut-être un jour par les neuro-sciences, en revanche sa théorie dite de l’Œdipe (pour garçons, Electre pour filles) est somme toute très robuste et compatible avec le christianisme, avec le désir mimétique rivalitaire de René Girard, etc… Car il s’agit (après la “bisexualité psychique”) du 1er stade d’affirmation naturelle de son identité de genre (ou bien genre-papa ou bien genre-maman). Puis le 2e stade (en gros âges scolaires jusqu’à puberté) est dit “période de latence” car les garçonnets aiment y faire mini-société entre eux et les fillettes entre elles (comme pour se mesurer mutuellement en émulation et compétition) : cela conforte l’identité de genre F ou bien M mais d’une autre manière.
  Les choses se développent bien avant la préadolescence sur tous autres terrains que génitaux-corporels.
  Et votre expression de “maturité sexuelle” est trop ambigüe :
  – si c’est la maturité génitale elle est acquise pour les filles vers les 13 à 14 ans et pour les garçons vers les 14 à 16 ans , sauf cas toujours rarissimes de désordres génétiques profonds ou somatiques organiques moins graves
  – si c’est la maturité libidinale et psycho-sociale complète, cela peut varier entre 17 ans et … assez tard, et peut ne jamais arriver notamment dans des cas de fixation inaboutie définitive comme évoqué antérieurement.

  Votre indignation quant à ce camp de “dressage” n’appelle aucune critique, on sait bien que les systèmes totalitaires et autres sectes prennent un plaisir pervers à abuser de la malléabilité naturelle de la tendre enfance. Un des vieux canassons de bataille du lobby LGBT+P c’est précisément pour le “+P” de rêver à un abaissement de la majorité dite sexuelle vers les 13 ans ou moins … Foucault ne s’en était pas caché …

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