Les Russes sont heureux et aiment leur Président

“L’indicateur du bien-être social affiche depuis trois mois une hausse sans précédent et une stabilisation à un niveau exceptionnellement élevé”, indique l’institut de sondage VtsIOM dans une étude réalisée sur 1 600 personnes dans toute la Russie après la décision par les États-Unis et l’Union européenne de nouvelles sanctions à l’encontre de Moscou pour son soutien aux rebelles en Ukraine.

“L’indice de satisfaction en juillet a atteint un niveau historique (79 points). L’indice de bien-être matériel (76 points) et l’indice d’optimisme (77 points) ont également augmenté et se sont stabilisés en juin”, ajoute-t-il.

La cote de popularité du président russe Vladimir Poutine culmine à plus de 80% depuis le rattachement de la Crimée à la Russie en mars. Elle n’est pratiquement jamais descendue en dessous de 60% depuis son arrivée au pouvoir en 2000.

Lire aussi :
> Grâce à la politique de Vladimir Poutine, la famille russe évolue dans le bon sens

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12 Comments

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  • xtemps , 3 août 2014 @ 14 h 58 min

    Quand on aime son peuple, le peuple revient tout seul, au lieu de le traiter de raciste, de nazi, de fasciste, d’extrême droite et de le haïr, les dirigeants devraient apprécier un peu plus leur peuple d’avantage, cela les réussiraient bien mieux.

  • Boutté , 4 août 2014 @ 10 h 10 min

    C’est ainsi que procédaient nos Rois .

  • Psyché , 4 août 2014 @ 15 h 49 min

    La crise provoquée par les accusations portées par Washington et l’Union Européenne contre la Russie, lui attribuant la responsabilité d’avoir abattu le vol MH17, a rapproché le monde d’une guerre mondiale comme jamais auparavant depuis la crise des missiles cubains en 1962.
    Mais aujourd’hui, la situation est peut-être plus dangereuse encore.
    Il y a cinquante ans, le gouvernement Kennedy – redoutant que des erreurs de jugement de part ou d’autre puissent déclencher un échange de tirs nucléaires – avait cherché à maintenir ouvertes les voies de communication et à éviter de diaboliser les dirigeants soviétiques.
    Aujourd’hui en revanche, la CIA dirige une campagne de propagande incendiaire contre la Russie et son président, Vladimir Poutine, une campagne qui semble déterminée à provoquer une confrontation militaire directe avec un pays qui dispose du deuxième plus grand arsenal nucléaire du monde.
    Il n’y a aucun doute que la CIA est en train de mobiliser toutes les ressources et tous les moyens dont elle dispose – au sein des gouvernements, des médias et parmi les universitaires – dans une campagne savamment orchestrée et destinée à empoisonner l’opinion publique avec de l’hystérie anti-russe.
    Pour le moment, il n’y a rien qui constitue, même de loin, une explication définitive de la chaîne des événements ayant conduit à la destruction du vol MH17.
    En dépit de toute l’énorme technologie de surveillance à leur service et qu’elles financent à hauteur de milliards de dollars par an, les agences de renseignement américaines n’ont pas fourni le moindre élément concret de preuve pour étayer les accusations de responsabilité lancées contre la Russie.
    Mais si les circonstances physiques entourant la destruction du vol MH17 demeurent inconnues, les objectifs politiques pour lesquels cette tragédie est exploitée eux, ne sont devenus que trop clairs.
    Depuis le début de la semaine, les trois magazines d’information à grand tirage les plus influents des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et d’Allemagne –Time, The Economist et Der Spiegel – publient des articles figurant en couverture qui associent de folles accusations à l’adresse de Vladimir Poutine à l’exigence d’une épreuve de force définitive avec la Russie.
    La caractéristique la plus frappante et la plus évidente de ces articles est qu’ils sont quasi identiques.
    La CIA en a écrit le scénario.
    Ils recourent tous aux mêmes insultes et aux mêmes inventions.
    Ils dénoncent le « tissu de mensonges » de Poutine.
    Le président russe est dépeint comme un assassin de masse « dépravé. »
    Comment le président russe doit-il comprendre l’emploi d’un tel langage dans les magazines d’information les plus influents?
    Il est la cible de la même campagne de dénigrement que celle qui a déjà visé Slobodan Milosevic en Serbie, Saddam Hussein en Irak, Mouammar Kadhafi en Libye et Bachar al-Assad en Syrie.
    Poutine n’est pas sans connaître l’aboutissement de ces campagnes de propagande.
    La Serbie fut soumise politiquement par les bombes et Milosevic fut embarqué à La Haye où il mourut mystérieusement en prison.
    L’Irak fut envahi et Hussein exécuté.
    La Libye fut également envahie et Kadhafi – au grand amusement de Hillary Clinton – fut sauvagement torturé et lynché.
    Quant à Assad, les Etats-Unis ont organisé contre lui une insurrection sanglante qui a causé la mort de plus de 100.000 Syriens.
    Dans ces conditions, on pourrait difficilement accuser Poutine de paranoïa s’il en concluait que les Etats-Unis et leurs alliés européens veulent sa mort.

  • Psyché , 4 août 2014 @ 15 h 54 min

    Sans Pétain, le France eut été complètement envahie et il y aurait eu beaucoup plus de déportés. Nombreux sont les juifs de la moitié nord qui ont pu trouver réfuge chez les justes de la France de Vichy et Pétain.
    Alors un grand merci à M. Pétain.

  • Psyché , 4 août 2014 @ 15 h 59 min

    Outre le fait d’avoir épargné des vies, la France de Pétain et de Vichy a permi le maintient de l’espace colonial et des armées coloniales qui ont permi ultérieurement la libération de la France et de maintien de son statut d’égal à égal avec les américains dans les accords de paix.
    Sans Vichy, la France eut été soit Nazifiée, soit un protectorat américain avec ses femmes violées par les GIes.
    De quoi nous faire regretter Pétain, car le protectorat américain, depuis Sarkosy, nous y sommes !

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