Quand des féministes sombrent dans le terrorisme

Comme si le terrorisme islamique ne suffisait pas :

Dans un long texte publié sur un site proche des milieux anarcho-libertaires, ce groupe de femmes justifie leur action par une « envie de revanche» contre la société, et entendait s’attaquer « aux individus » plutôt qu’à la fonction de gendarme.

Elles entendaient s’attaquer « aux individus qui portent l’uniforme » plutôt « qu’à leur fonction ». Un groupe de femmes a revendiqué ce mercredi sur un site proche des milieux anarcho-libertaires l’incendie criminel qui a visé la brigade de gendarmerie de Meylan, en Isère, dans la nuit du 25 au 26 octobre.

Dans un long texte dont la mise en ligne a été révélée par Le Dauphiné Libéré, ces femmes affirment « lutter contre le sexisme » et « contre le genre » et expliquent leur action par une « envie de revanche ». « Nous ne voulons pas rester dans la position de victimes dans laquelle la société voudrait nous placer en nous reconnaissant comme meufs », déclarent-elles avant de détailler la façon dont elles disent avoir procédé.

Elles expliquent notamment avoir cadenassé l’accès au parking de la gendarmerie, notamment pour « faire une blague aux pompiers », et utilisé dix litres d’essence. « Nous avons ciblé les voitures privées des flics, au détriment des quelques sérigraphiées, parce qu’on avait envie de s’attaquer » à « leurs biens personnels [plutôt] qu’à leurs outils de travail », ajoutent-elles. Une source proche de l’enquête n’a pas souhaité faire de commentaires.

L’incendie avait détruit quatre voitures et une moto dans l’enceinte de la gendarmerie, sans se propager au bâtiment d’habitation voisin, noirci par les fumées. Le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat, avait cependant jugé « particulièrement inquiétant » que les gendarmes et leurs familles aient été « directement visés ». « On n’est pas passé loin d’un drame », avait assuré le magistrat en mettant en garde contre une escalade «inquiétante» après plusieurs actions similaires autour de Grenoble ces derniers mois.

C’est sur ce même site qu’avait été revendiqué l’incendie du garage de la caserne du groupement de gendarmerie de l’Isère et des locaux techniques, dans la nuit du 21 septembre. Cette nouvelle revendication s’achève en forme de dédicace, adressée notamment « aux deux personnes incarcérées [dans] l’affaire de la voiture de flics brûlée », à Paris en mai 2016.

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4 Comments

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  • Pacific , 2 novembre 2017 @ 22 h 09 min

    Déséquilibrées !!

  • HuGo , 2 novembre 2017 @ 23 h 59 min

    Pour le coup, à la différence des combattants mahométans, ce sont, elles, de vraies déséquilibrées,… à enfermer.

  • Jean NOGUES , 3 novembre 2017 @ 9 h 44 min

    Il faudra bien que tôt ou tard, la notion de loi signifie quelque chose. Sinon, avec suffisamment de pseudo-raisonnements, on va pourvoi les enfreindre toutes, absolument toutes. Y compris elles qui punissent le vol, le viol, l’agression physique, la torture, le chantage, le squat, l’incendie volontaire (c’est bien le cas ici…), l’assassinat pur et simple. Car comme l’a écrit notre cher Ferdinand :

    ”Beaucoup de patience et encore plus de vaseline, éléphant encugule fourmi”

    Ce qui nous ramènerait loin en arrière ! au profit de qui ?

    En ce qui me concerne, ces féministes me révulsent, elles se marginalisent elles-mêmes et devront bien en assumer les conséquences. Qui, parmi l’immense majeure parie des gens normaux, s’intéresse à ces caricatures de femmes ? qui s’intéresse à leurs ”combats” ? qui les approuve ?

    Ce microcosme médiatique devient une poubelle nauséabonde que plus personne ne regarde plus dans la France dont personne ne parle jamais (celle qui vit des vies normales dans des villes de moins de 50 000 habitants). Les accros à ce microcosme forment un petit monde à part de plus en plus faisandé, et les féministes tiennent dans ce cloaque une place de choix.

  • Boutté , 3 novembre 2017 @ 10 h 19 min

    Heureusement on peut encore aujourd’hui (pour combien de temps?)être femme sans être détraquée . Ouf !

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