Wallerand de Saint-Just propose “deux gardes armés dans toutes les gares d’Île-de-France”

Wallerand de Saint-Just était l’invité de “BFM Story” ce lundi soir sur BFMTV. Le candidat frontiste aux élections régionales d’Île-de-France a reconnu que les compétences de la région en matière de sécurité n’étaient “pas considérables”, mais a tout de même des propositions dans ce domaine. “Nous avons une proposition phare (…) la présence de deux gardes armés dans toutes les gares d’Île-de-France et pendant toutes les heures d’ouverture”, a-t-il annoncé, ajoutant qu’une telle présence ferait s’effondrer la fraude qui coûte chaque année 150 millions d’euros aux contribuables :

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14 Comments

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  • lepitt , 2 décembre 2015 @ 15 h 30 min

    Quand on veut, on peut…

  • Paul-Emic , 2 décembre 2015 @ 16 h 07 min

    il ferait mieux de proposer la libéralisation du permis de port d’arme aux citoyens sans casier ayant passé un brevet d’aptitude.

  • C.B. , 2 décembre 2015 @ 16 h 30 min

    “mesure phare”?

  • batman16 , 2 décembre 2015 @ 17 h 42 min

    Stupide et inutile. Ce serait comme avoir voulu écoper le Titanic avec un verre à dent.
    Un garde bien entrainé peut veiller 1 heure et demi, de plus il lui est interdit de tirer
    dans une gare pleine de monde. Il ne sert donc strictement à rien.

  • Gisèle , 2 décembre 2015 @ 17 h 46 min

    Norme mal ! :
    SNCF
    Election de Patrick Bernasconi du Medef à la présidence du CESE, et entrée de deux grands maîtres du Grand Orient de France. Avec l’aval de l’Elysée.

  • Gisèle , 2 décembre 2015 @ 17 h 54 min

    SNCF

    Election de Patrick Bernasconi du Medef à la présidence du CESE, et entrée de deux grands maîtres du Grand Orient de France. Avec l’aval de l’Elysée.
    Minute de silence au Conseil économique, social et environnemental, mardi 1er décembre, en mémoire des victimes des attentats© Copyright 2015, L’Obs Minute de silence au Conseil économique, social et environnemental, mardi 1er décembre, en mémoire des victimes des attentats
    Une page s’est tournée mardi après-midi au Conseil économique, social et environnemental (CESE), avec la victoire par K.O. de Patrick Bernasconi, vice-président du Medef jusqu’à jeudi dernier, sur Jean-Paul Delevoye, poussé voici cinq ans à sa présidence par Nicolas Sarkozy, et surtout l’entrée en force des francs-maçons dans les instances.

    Une opération concoctée en coulisses avec l’aval de l’Elysée, deux grands maîtres du Grand Orient de France (GODF) ayant été désignés sur le compte des personnalités qualifiées par le président de la République.

    Il s’agit de Daniel Keller, le grand maître en exercice, un ancien directeur commercial du groupe Renault aujourd’hui patron d’une entreprise familiale automobile, et son prédécesseur au GODF de 1997 à 1999 Philippe Guglielmi, membre du bureau national du PS depuis le congrès de Toulouse.

    “Ca ne s’était jamais vu”, décrypte une personnalité associée du CESE qui connaît les arcanes de cette institution considérée comme un “fromage de la République” et souvent critiquée pour l'”inutilité” de ses rapports. Y compris par la Cour des Comptes qui avait dénoncé en février dernier ses effectifs pléthoriques et le “régime complexe et insuffisamment maîtrisé des rémunérations”.

    La mise en orbite de Patrick Bernasconi, 60 ans, à la présidence du CESE a, selon cet homme du sérail, été minutieusement préparée avec l’aide d’une autre personnalité qualifiée, Jean Grosset, un ancien trotskiste de la mouvance lambertiste, actuel conseiller social du Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, deux vieilles connaissances depuis 40 ans.

    Avant le scrutin, le président sortant Jean-Paul Delevoye, feignait de s’étonner qu’une alliance maçonnique soit à même de signer sa perte.

    L’ancien eurodéputé, Jean-Luc Bennhamias, qui avait échoué à avoir un strapontin sur une liste aux dernières élections, bottait en touche : “Personnellement, je fais de la politique depuis 40 ans. Les francs-maçons, je sais que ça existe.” Dans son livre “Rentiers d’Etat (Editions du Moment), le journaliste Yvan Stefanovitch raconte comment cet ancien vert, passé au MoDem de François Bayron avant de rejoindre François Hollande, a fait des pieds et des mains pour siéger au CESE. Afin d’être défrayé de son abonnement au TGV Paris-Marseille.

    Le CESE compte 233 membres, dont 40 personnalités qualifiées désignées par le gouvernement, les autres l’étant par les organisations patronales, syndicales et des associations. L’institution compte aussi une soixantaine de personnalités associées qui contribuent à l’élaboration des fameux rapports et études, consacrés pour certains à l’agriculture familiale, la micro finance dans les départements d’outre-mer, ou encore l’extension du domaine maritime.

    Dans la brochure “Bienvenue au CESE” remise à chacun de ses membres, il est indiqué que le total brut d’indemnité s’élève à 3.786,76 euros par mois, pour une moyenne de dix jours de travail par mois. “Un temps de travail inférieur à la durée légale”, avait euphémisé la Cour des Comptes. Sur cette somme, l’indemnité représentative de frais se chiffre à 1.838,23 euros non imposable. Ce qui explique qu’à chaque renouvellement de l’assemblée, un millier de personnes, au bas mot, font le siège de l’Elysée pour être désignées.

    Le président du CESE, pour sa part, touche 7.573,52 euros brut mensuel.

    Tous sont nommés pour cinq ans. Un renouvellement est possible. “Cinq ans, cela passe très vite, a exhorté en préambule de la séance de mardi le doyen d’âge du CESE, Jean-Pierre Crouzet, le patron des Boulangers représentant de l’Union patronale des Artisans (UPA). Goûtons-en chaque minute”.

    Denis Demonpion

  • Gisèle , 2 décembre 2015 @ 17 h 58 min

    Et le président de la fédération des médecins est furieux !
    La loi sur le tiers payant a été votée en plein deuil , le lendemain de la cérémonie larmoyante , par 16 députés présent dans l’hémicycle !
    Les mutuelles vont prendre le contrôle de tout , bien sûre , moyennant finances ….ou …payées par vous , nous ….

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