Présidentielle 2017 : les banques françaises refusent de prêter à Marine Le Pen alors qu’elle est certaine de faire 5%

Si elle n’aura aucun souci à récolter les parrainages nécessaires à sa candidature à la présidentielle, Marine Le Pen aura plus de mal pour financer sa campagne. La présidente du Front national table sur 12 millions d’euros de dépenses. Si la moitié est déjà empruntée, il reste encore 6 millions à trouver. Problème : les banques françaises refusent de lui prêter. Une opposition forcément marquée par des motifs idéologiques vu que Marine Le Pen est assurée d’atteindre les 5% au premier tour, pourcentage nécessaire au remboursement de sa campagne par l’Etat :

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  • Bistouille Poirot , 3 janvier 2017 @ 20 h 01 min

    Avant le Front comptait sur la peur, celle de ne pas atteindre les 500 signatures.
    To day, la consultation nationale du FN , même contrariée par un “Front Républicain”, ne peut invoquer le misérabilisme de cet argument, vu le nombre d’élus FN dans les communes et les Conseils Régionaux.
    On passe alors la vitesse supérieure et on invoque la frilosité des banques françaises pour justifier à tord ou à raison un premier emprunt d’une 1/2 centaine de millions d’€ à une obscure banque de la Fédération de Russie qui a pignon sur chemin vicinal.
    C’est ce qui devait servir à la première échéance politique, celle des “Présidentielles” baptisée au Front: “Reine des Batailles”et qui a un coût exorbitant quand on connait le rôle destructeur de l’espace médiatique contre la mouvance nationaliste.
    Marine Le Pen annonce alors qu’elle abandonne le prêt de cette banque russe si une homologue française l’assure de relever le défi. Cet espace temps réduit, impose alors de s’intéresser à un comptabilité analytique dont la simplicité inquiète tout un staff décideur: Réunir d’un seul coup la somme nécessaire pour couvrir les frais des deux campagnes électorales.
    Petit calcul en coulisse, niveau CM2: 577 députés à élire à 20.000 € par circonscription, cela fait, 11.540.000 € + 460.000 € de faux frais = 12 millions d’€ lesquels seront remboursés par l’Etat sous certaines conditions. Donc, “C’est nous qui paye”! 6 millions, Un smallmillion loin du bigmillion, mais enfin, ça fait 6 quand même ! Que faire ? Le père du Front n’étant pas mort, l’héritage en numéraire se trouve chez COTELEC banque qui légalement peut prêter aux partis politiques. Chaque parti, les gros surtout disposent de ce genre de banque, comme vous, disposez d’un compte bancaire mais pas plus. Seulement c’est Jean Marie qui tient les clefs de COTELEC et peut de ce fait prêter au “Rassemblement Bleu Marine”. Mais il faut pour cela mettre entre parenthèses les “chicayas” qui affectent la famille Le Pen en s’assurant de la complicité d’une estafette en la personne de Marion. Une laborieuse navette entre le grand père et la tante finit par générer un prêt de 6 million autour d’un couscous arrosé au chouchen. Manque 6 millions que Jean marie détient mais qu’il garde en réserve pour alimenter en sous main une probable participation de se troupes personnelles aux législatives dont il vendra très cher le désistement au profit de sa progéniture. La bâtardise !!
    Nous arrivons alors à la déposition de ce début d’année de Marine.
    – ” J’ai besoin de sous, et ces salopes de banques françaises font dans le déni de démocratie”.
    MARION va devoir reprendre une énième fois le chemin de Moscou pour honorer son abonnement aérien et solliciter à nouveau les faveurs du camarade POUTINE. Il ne manque plus que TRUMP s’en mêle PAR HABITUDE….TAPIE, lui, a quitté la table de poker. il nous a déjà coûté 440 millions…Ah, cette indépendance nationale….

  • appeals , 4 janvier 2017 @ 10 h 30 min

    Le système bancaire français finance les politiques “français” qui sont sous contrôle.

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