La compagne du dessinateur Luz connaissait la soeur de Coulibaly… et…

Camille Emma­nuelle, compagne du dessi­na­teur Luz, rescapé de la tuerie de Char­lie, est chroniqueuse érotique pour le site Internet Le Plus du Nouvel Obs’. Elle est récemment sortie du silence afin de défendre la mémoire des dessinateurs assassinés qu’elle estime bafouée par des mouvements proches de l’idéologie propre au journal Charlie Hebdo :

“Jeudi, une mili­tante du STRASS (Syndi­cat du Travail Sexuel) que je lis et admire depuis des années, Morgane Merteuil, relaie sur son Face­book un article selon lequel Char­lie Hebdo est devenu « un jour­nal raciste, homo­phobe, trans­phobe, sexiste et tout parti­cu­liè­re­ment isla­mo­pho­be ». Être aimés par des cons, c’est dur, mais être haïs par des amis, ce n’est pas facile non plus.
Le 8 octobre 2014, soit 3 mois avant la tuerie dans les locaux de Charlie Hebdo, Camille Emmanuelle consacrait un article sur la Booty Therapy, qui consiste à imiter la parade nuptiale de la méduse avec le fion en traumatisant le fessier de manière épileptique, cette pratique étant présentée comme un symbole de l’émancipation de la femme moderne.
Qui n’a jamais rêvé de voir sa mère se libérer du joug familial en se lançant dans une séance endiablée de fion frémissant dans le salon ?”

Dans un article du 8 octobre 2014, accompagné de vidéos, Camille Emmanuelle fait la promotion du professeur qui mène le cours auquel elle participe.

Ce professeur n’est autre que Maïmouna Coulibaly, la sœur d’Amedy Coulibaly, le preneur d’otage présumé de l’épicerie Hyper Casher lors des événements qui ont secoué la France le mois dernier.

Évidemment, il n’est ni question de tirer des conclusions hâtives, ni de sombrer dans le « complotisme » primaire, car cette information ne démontre absolument rien, sinon que le monde est étrangement petit. Il s’agit de soulever une nouvelle coïncidence troublante qui s’ajoute aux autres coïncidences* récemment mises en lumière, afin d’ouvrir un champ de réflexion autour des événements qui ont ému la France en janvier.

Source

 

*NDLR/ Un article du New York Post, intitulé “Kosher market CEO sent family to NYC over anti-semitism in Paris”, en date du 21 janvier 2015, rapporte les propos de Dinah Emsalem, l’épouse de Michel Emasalem, propriétaire du magasin Hyper Casher, quant à l’installation à New York de cette dame et de leurs  filles  et évoque la vente du magasin le 6 janvier 2015, la veille de la tuerie.

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