Mauvaises nouvelles sur la route des vacances : le prix des péages et de l’essence est en hausse

Les vacances d’hiver débutent, ce vendredi, dans la zone C. Et avec elles, ce sont plusieurs mauvaises nouvelles qui attendent les automobilistes qui doivent prendre la route avec notamment la hausse des prix des péages, +0,76% en moyenne sur l’ensemble du territoire depuis mercredi. L’essence coûte, elle aussi, plus chère. Le gazole, par exemple, a connu une hausse de 26% de son prix à la pompe en un an :

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3 Comments

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  • Gisèle , 3 février 2017 @ 22 h 29 min

    Ne dit on pas que la voiture est la vache à lait de l’état ?
    C’est d’ailleurs pour cela que les recherches pour un carburant naturel et propre n’aboutissent pas, bien qu’il ait été trouvé depuis longtemps .

  • Dany , 4 février 2017 @ 11 h 34 min

    Quand le réseau autoroutier de la France sera nationalisé et non la propriété d’une entreprise privée, peut-être que ça ira mieux! à condition que notre pays ne soit pas géré par les pourris qui nous ont fait plonger!!!

  • borphi , 5 février 2017 @ 16 h 22 min

    L’état se fait de l’argent sur les français qui se déplacent aussi bien pour leur vie quotidienne que pour leurs vacances.

    On pourrait trouver cela normal s’il n’étaient quelques raisons pour s’en contrarier:

    La première nous scandalise dès lors que l’on observe ce que les pouvoirs publics , à la tête desquels nos élus , gaspillent inconsidérément ces deniers de plus en plus durement acquis à la sueur du travail des français.

    La seconde relève d’un mode de gestion fiscale qui fait fi de la situation avantageuse du territoire français.
    En effet , comment justifier le manque à gagner fiscal sur tous les véhicules roulants qui traversent notre territoire alors qu’il est communément admis que ce sont les transporteurs poids-lourds qui détériorent le plus les enrobés bitumineux ?

    Comment justifier la privatisation de tous ces axes routiers alors même que tous ces subsides payants permettaient aux pouvoirs publics d’entretenir et prolonger ces axes à sommes nulles?

    Enfin il suffit, par un coup d’oeil rapide ,de recenser les immatriculations issues d’hors hexagone pour comprendre que la non-mise en place des portiques payants sur les nationales est une occasion manquée pour le contribuable français de s’être vu alléger les taxations, à destination du financement des axes routiers, dont il est le sujet.

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