Le Français du XXIe siècle attend-il encore le personnage providentiel ?

Dans la présentation de De Gaulle au présent, Henri Guaino écrit :

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  • lepitt , 3 avril 2015 @ 16 h 45 min

    Quel crédit peut-on encore prêter à ce clown de guaino qui menace régulièrement de quitter la politique et l’ump et qui se trompe de bouton et vote pour le mariage gay…???

  • hermeneias , 3 avril 2015 @ 16 h 56 min

    En tout cas ça n’est pas le père Lepen “l’homme providentiel” car autant la fille devient de plus en plus fadasse autant le père est bêtement , stupidement ,; lourd et provocateur !

    C’est à se demander si la France l’intéresse ….. ou s’il n’y a que sa gueule , son ego , qui compte

  • hermeneias , 3 avril 2015 @ 16 h 59 min

    malheureusement on ne peut pas commenter les propos récurrents du père lepen sur les détails de 2e guerre mondiale

  • lepitt , 3 avril 2015 @ 17 h 07 min

    Le Pen est notre boussole…

  • Sirius , 4 avril 2015 @ 3 h 07 min

    L’homme providentiel se révèle souvent dans les crises et donc la guerre.
    “La guerre est à l’homme comme la mort est la vie”: conclusion (à peu près) faite par un philosophe à la fin de…euh,je sais plus!
    Dans ma jeunesse les anciens ne disaient pas “c’était mieux avant” mais à tout bout de champ:”il leur faudrait une bonne guerre”. Sûr que ça apprend à vivre et intensément!
    L’homme a besoin de la guerre ou tout au moins d’un conflit,c’est dans sa nature.Sinon,ça donne quoi? Regardez le tableau de la France d’aujourd’hui: un pays qui se déteste,qui ne veut plus vivre en tant que tel,un pays d’eunuques mis en coupe réglée par le pouvoir socialiste, judiciarisation et lois liberticides,pensée unique et infantilisante…
    Soyez heureux et consommez! Oui,mais consommer,ça n’est pas vivre ou alors la vie n’a plus grande valeur.

  • Sirius , 4 avril 2015 @ 3 h 12 min

    “…comme la mort est à la vie”: ça l’fait mieux,là.

  • Candide , 4 avril 2015 @ 9 h 35 min

    Vu de Suisse, c’est curieux.
    Ce comportement, cette attente d’un homme (ou d’une femme ;-) excusez-moi aussi d’être si peu “genre”, en la matière) providentiel (le) est
    – typiquement française. Quoique ce ne soient pas les seuls
    – a quand même conduit la France au niveau qui est le sien. Pas celui d’aujourd’hui, hein? Non, sans nostalgie, évoquons seulement l’Histoire de France, toujours centrée sur UN homme: son influence, ses réalisations, de la philosophie à la science, en passant par la littérature, la technique, etc
    Ca, c’était avant! Maintenant, la France suscite quand même l’intérêt à l’étranger. Mais c’est plutôt du genre “eh, tu sais pas la dernière qu’ils se sont sortis”. Ca, c’est au mieux. La plupart du temps c’est de l’indifférence, voire de l’ignorance.

    Avec cette mentalité et cette culture de société forgées par des dizaines d’années (et pas complètement changée par 60 ans de martelage de gôche…) et son bon sens, le Français se dit que, pour s’adapter à l’avenir ça serait plus simple d’avoir un guide.
    Un avenir qui change en permanence; ou “gouverner c’est prévoir”, en plus d’organiser le quotidien.
    Oh, comme par le passé. Toujours. Car qui peut dire sérieusement que le passé “c”était facile: c’était toujours pareil, tandis que maintenant tout change très vite”!

    Alors bien sûr, la Suisse est une exception. Où le Peuple décide, par des dizaines de votations. Au fait, pouvez-vous citer le nom du Président suisse?! Il y en a une, nommée depuis quelques années seulement!
    Et ça marche depuis des siècles!
    Sans que les partis s’entr-déchirent (ou copinent sur le dos du peuple).
    Pour l’instant, cette organisation (et la mentalité qu’elle a forgée dans sa population) parait montrer que le système suisse est mieux outillé pour s’organiser face aux changements du futur.
    “Ah, mais c’est un petit pays, voilà “, entendons nous…
    Ca aussi, c’et un trait de mentalité humaine (et française): “nous, c’est pas pareil” (entre les lignes, “nous, on a pas cette CHANCE).

    Ce qui est sûr, c’est que l’attente d’un homme providentiel fait partie de la mentalité, de la culture française. alors, changer pour changer? Changer pour nier? Changer pour régler des comptes, des souffrances psychologiques personnelles (les psys évoquent “l’instinct de mort”)
    Au passage -et pour finir- il est significatif d’en parler aujourd’hui, veille de Pâques. En particulier pour la France “fille ainée de l’église”, ce qui a clairement structuré sa culture et son organisation!)
    Merci Mr. Guaino, de ce rappel d’espoir, de ce message destiné à faire réfléchir les gens du peuple de France.
    Pour faire réfléchir, pas pour indiquer la voie à suivre comme le font ces bons gôchos toujours prêts à faire notre bonheur sans nous pauvres imbéciles (en ligne droite, d’ailleurs, de la doxa socialiste marxiste: une élite sachante, qui doit établir les conditions du bonheur du peuple, contre lui, et par la force, pour son bonheur final. Eux étant prêts à se consacrer à cette tâche…
    On ne dit pas si les régimes socialistes ont toujours été incarnés et dirigés de main de fer par UNE personne hein? Non, on garde ce concept vieux-jeu pour brocarder la droite, Guaino, les souchiens et les sans-dents…

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