Syrie : Bachar Al-Assad dépend-t-il complètement de Vladimir Poutine ?

4 Comments

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  HuGo , 4 octobre 2016 @ 9 h 35 min

  Les Russes ne vont pas être assez fou pour s’engluer en Syrie, à la faveur d’un régime qui n’est plus une obligation pour ce pays martyr. Ils défendent, à juste titre, leur position dans cette partie du monde. Bachar al Assad eût pu, avant 2011 ou au pire mi-mars 2011 lors du début des manifestations, changer la donne et orienter son pays vers une gouvernance plus ouverte, néanmoins ferme…mais il n’a pas voulu saisir sa chance.
  Cependant, qui pourrait garantir un mieux dans ce qui restera de la Syrie ? Il demeurera incontournable. La Syrie risque la partition et la Turquie tire – en douce – son épingle du jeu sur le dos des Kurdes et le nôtre.
  Les chrétiens sont de toutes les façons – comme par hasard – les grands perdants …peut-être un peu moins que prévu grâce à l’heureuse intervention russe, sûrement pas grâce à l’Occident qui fut chrétien. C’est du moins ainsi que j’imagine l’évolution des choses aujourd’hui.
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  J. Elsé , 4 octobre 2016 @ 12 h 06 min

  HuGo : partout au Moyen Orient où les Américains (pardon je voulais écrire Occidentaux) se sont mêlés d’introduire la démocratie, les “dictateurs” en place ont été remplacé par des islamistes, qui maintenant nous font leur guerre de religion grâce aux armes et argent que les Occidentaux (pardon, je voulais écrire Américains). Si vous pouvez, expliquez-moi pour quoi les jeunes syriens viennent en Europe, est-ce ainsi qu’ils comptent se débarrasser de Bachar El Assad ?
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  J. Elsé , 4 octobre 2016 @ 12 h 09 min

  Milles excuses pour cette faute de frappe : c’est Bachar Al Assad et non El Assad.
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  Jean NOGUES , 5 octobre 2016 @ 1 h 03 min

  L’intérêt bien compris de la Syrie est une victoire claire et nette de Bachar Al Assad sur les sauvages de Daesch, c’est-à-dire une victoire sans prisonniers ou presque.

  Le plus écoeurant c’est la danse de Saint-Guy des politicards français qui, au début, fanfaronnaient en assurant : ”Bachar Al Assad ne mérite pas de vivre” et qui sont bien obligés, maintenant, d’envisager un avenir avec lui. On n’ose imaginer l’intensité du mépris que leur porte ce dirigeant obstiné et persévérant qui ne s’est à aucun moment laissé abattre. Hélas, ce mépris légitime rejaillit sur toute notre population française !

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