Chaque mois, Arno Klarsfeld reçoit 7 000 euros du Conseil d’État… mais l’avocat y “met rarement les pieds” !

C’est l’un de ces “400 qui ruinent la France”, catégorie “Planqués des sinécures” : Arno Klarsfeld est accusé par le mensuel Capital de février de “(mettre) rarement les pieds” au Conseil d’État (où il a été recasé par Nicolas Sarkozy fin 2010) “tout en percevant quelque 7 000 euros par mois”.

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58 Comments

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  • ranguin , 4 février 2014 @ 8 h 33 min

    Que ceux qui gagnent leur vie, sans vergogne, sur le dos des Français foutent le camp !
    Nous allons, grâce aux socialos, revenir aux heures sombres de notre histoire. Il va y avoir de l’épuration dans l’air.

  • JSG , 4 février 2014 @ 8 h 43 min

    Il n’y a pas de petits bénéfices, d’autant que l’ÉTAT GESTIONNAIRE fait encore la preuve que ses services servent de planque à des petits malins.
    Après tout, le bel Arno, à bien raison
    d’en profiter si l’État est aussi b(c?)on !

  • charles-de , 4 février 2014 @ 9 h 53 min

    L’Etat, surtout socialiste, est capable de beaucoup de largesses, mais toujours AVEC L”ARGENT DES AUTRES !

  • charles-de , 4 février 2014 @ 9 h 58 min

    L’Etat, surtout socialiste, est capable de beaucoup de largesses, mais TOUJOURS AVEC L’ARGENT DES AUTRES !

  • François DESVIGNES , 4 février 2014 @ 10 h 32 min

    Les juifs sont suicidaires :

    si nous étions membres de la communauté la première chose que nous ferions pour la protéger des représailles que ne manquera pas de provoquer cette affaire c’est de décapiter le corrompu Arno, que la pomme pourrie ne vienne pas contaminer tout le panier et que les FDS ne soient pas pris d’une subite colère envers nous.

    Mais non : non seulement un juif profite de son poste de président pour favoriser un juif qui s’en vante, mais aucun juif ne vient crier le hola !

    Tout le monde leur explique tout ce que le procédé peut avoir de dangereux pour être scandaleux, mais pour autant rien ne change.

    Persiste et signe en narguant l’élémentaire justice et le plus nécessaire bon sens, devant un peuple affamé et continuellement trahi : ici un plagiat (BHL), là un pédophle (Polanski, Cohn Bendit), ici encore des faussaires (Robin, le Rabbin de Paris) ou des maniaques sexuels (DSK) ou des escroqueries (Madoff) partout où le vice triomphe, ils semblent s’y complaire, mieux, le revendiquer.

    Mais les juifs de base, ceux d’en bas de la pyramide (suivez mon regard) ne devraient pas autoriser qu’on joue ainsi avec leurs vies et devraient se révolter contre leurs élites qui les déshonorent.

    Si eux n’exigent pas le peloton pour leurs pervers, le monde organisera le pogrom de leur race : les uns pour avoir fait, les autres pour avoir couvert.

  • Yves Tarantik , 4 février 2014 @ 12 h 04 min

    Charles-de
    A propos de “l’argent des autres” (à partir d’une anecdote qui court sur internet et mise en vers par votre serviteur…) :
    __________________________

    40. Partage équitable

    Si le socialisme était si bien que ça, c’est l’Ouest qui
    aurait dû construire le mur. [Stephan Heym] 1

    Un monolithique militant utopiste,
    Gobeur de mouches quelque peu sinistre,
    Voulant s’assurer de la pureté
    Des sentiments d’un nouvel adhérent,
    Entreprit de le questionner :
    « Camarade, dit-il, parle-moi franchement :
    Si tu possédais deux maisons,
    En offrirais-tu une à notre cher Parti ?
    – Oh oui ! répond l’impétrant avec conviction.
    – Parfait… dit ce bloc de probité qui reprit :
    Maintenant dis-moi, si tu possédais
    Deux belles automobiles, en donnerais-
    tu une à notre merveilleux Parti ?
    – Avec joie ! répond le néophyte à nouveau !
    Bon… et si tu disposais d’un million d’euros,
    Révères-tu assez notre Parti
    Pour partager ce million avec lui ?
    – Mais bien sûr, répond l’autre : Je suis socialiste,
    C’est là ma fierté, et
    J’aime plus que tout, l’idée de partager.
    – Je te crois volontiers, acquiesce l’humaniste,
    Pourtant, supposons… et je dis bien supposons
    Que tu aies pour seul capital deux poulets… dis,
    En donnerais-tu un à notre cher Parti ?
    Ah ça non ! Hurle l’autre, non !
    Et qu’il n’en soit jamais question !
    – Mais… mais… se désole son vis-à-vis :
    Tu dis aimer le Parti,
    Tu te dis prêt à lui offrir une maison,
    Une voiture et la moitié de ton million,
    Et tu lui refuserais un simple poulet ?
    – Eh… c’est que, dit l’autre, les deux poulets
    Moi… je les ai ! »

    Le socialisme sécrète un gène malsain :
    On y bat sa coulpe sur l’habit du voisin. 2
    On y est toujours prêt à partager
    Tout ce qu’on ne peut posséder 3 :
    Songes creux et vaines paroles,
    Sont le lot de ces têtes folles !

    2013 – Yves Tarantik

    1. Il s’agit du mur de Berlin, dit Mur de la Honte. Édifié par l’Allemagne de l’Est pour stopper la fuite de ses ressortissants vers l’Ouest. Stefan Heym est un écrivain est-allemand, 1913 – 2001. Il se définissait comme socialiste critique, fustigeant un parti qui prétend représenter la classe ouvrière mais n’est fait que de tyrans petit-bourgeois.
    2. Le mea culpa [ma faute] mute fréquemment en tua culpa [ta faute].
    3. Nombreux exemples dans l’actualité et notamment en France.

  • Eschyle , 4 février 2014 @ 12 h 07 min

    “Car les richesses ne sont d’aucun secours à l’homme qui ,
    plein d’insolence,foule aux pieds, pour sa propre ruine,
    l’autel vénérable de la justice .”

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