Florilège anti-Macron-Castaner-LREM dans les médias du net !

1. Le juste correspond à l’intérêt du plus fort et le plus fort est celui qui a le pouvoir !

Le droit issu de la loi LREM partisane est l’instrument des puissants pour opprimer les plus faibles !

Thrasymaque est un philosophe rhétoricien de la Grèce antique originaire de Chalcédoine. Denys d’Halicarnasse affirme que la façon de l’orateur Démosthène (qui enveloppe les pensées et les exprime d’une manière concise, de façon appropriée et nécessaire aux débats judiciaires ainsi qu’à tout discours visant la vérité) est inspirée de celle de Thrasymaque de Chalcédoine selon Théophraste, et de l’orateur Lysias, selon Denys. D’après Cicéron, Thrasymaque a enseigné l’art oratoire peu avant le fondateur de la rhétorique.

Selon Denys, Thrasymaque serait à l’origine d’un style adopté, développé et perfectionné par Platon.

Face à Socrate, il soutient dans la République de Platon que « le juste correspond à l’intérêt du plus fort, et le plus fort est celui qui a le pouvoir », c’est-à-dire l’individu dans une tyrannie (élective de type Macron-LREM), le petit nombre dans une oligarchie et le peuple dans une démocratie ! (Wikipédia)

2. Pas d’élément confirmant la sincérité et l’honnêteté de Macron-Castaner dans les médias du net !

Macron, Police Nunez, porte-flingue de Castaner, a menti à la nation. Il y a bien eu un tir de LBD sur la place de la Bastille au moment où Jérôme Rodriguez a perdu un œil. Voici ce que racontait Nunez : « Pas d’élément confirmant l’usage du LBD ! Je n’ai aucun élément qui me permet de dire qu’il y a eu un usage d’un LBD », a-t-il affirmé sur LCI, avant d’ajouter qu’un policier a consigné dans un rapport avoir jeté au même moment une grenade de désencerclement. Or il est maintenant établi qu’il y a bien usage de LBD au moment où Jérôme Rodriguez, qui manifestait pacifiquement, a été gravement blessé. Ça se passe très rapidement : un projectile est lancé vers les forces de l’ordre qui ripostent en lançant une grenade, avant qu’un policier ne dégaine son LBD et tire. @valentineoberti #Quotidien (Résistance Républicaine)

3. Macron : les dérives d’un État Castaner-LREM totalitaire sécuritaire

La dérive du pouvoir Macron-Castaner-LREM fait glisser le pays vers un État sécuritaire totalitaire. Avec le danger de l’abandon des libertés fondamentales. Sur les médias sociaux, on voit régulièrement les conséquence des dérives d’un État Macron-Castaner-LREM sécuritaire sur les corps gravement blessés des citoyens suspects de radicalisation neutralisés par des tirs de LBD. À ce jour, beaucoup plus qu’un millier de citoyens manifestant avec le mouvement des « Gilets Jaunes » ont déjà été gravement blessés par les tirs de LBD d’un État Castaner-LREM sécuritaire qui se permet de bafouer tous les droits fondamentaux des gens et de commettre de telles horreurs. Comment l’État Macron-Castaner-LREM, déjà tant décrié, a-t-il glissé dans la barbarie vers un dangereux État sécuritaire anti-« Gilets Jaunes », anti-Français et anti-citoyens ?

Par le passé, l’État devait protéger le peuple contre ses ennemis. Mais, aujourd’hui, l’ennemi c’est le peuple, c’est le citoyen. L’État Macron-Castaner-LREM lutte contre les « Gilets Jaunes », ses propres citoyens, sans vouloir distinguer lequel est inoffensif et lequel est dangereux. Tout le monde est devenu suspect ! L’État Macron-Castaner sécuritaire impose la surveillance de tous les « Gilets Jaunes » et de tous ses citoyens !

 La situation sécuritaire totalitaire de Macron-Castaner-LREM n’est pas nouvelle. C’est pourquoi l’État Macron-Castaner-LREM s’emploie à lutter contre le désordre des « Gilets Jaunes » que les Macron-Castaner-LREM ont créé de toutes pièces. L’État Macron-Castaner-LREM sécuritaire se manifeste par la suppression de la souveraineté du peuple. Le peuple n’est plus gouverné par le peuple. Le citoyen souverain est menacé par l’État Macron-Castaner-LREM sécuritaire et n’a plus le droit de participer à des manifestations publiques.

Au nom de la raison Macron-Castaner-LREM sécuritaire, la police politique peut traquer des citoyens partout et les interpeller pour neutraliser un risque imaginaire. Cela s’accompagne tôt ou tard par la restriction des libertés de réunion et d’association, et l’interdiction des manifestations pacifique organisées par les « Gilets Jaunes » soutenus par une majorité de citoyens ! Bientôt, tout citoyen qui fait de la résistance pacifique risque d’être un prisonnier politique dans la mesure où il participe à des réunions et attroupements non-autorisés.

Le mouvement des « Gilets Jaunes » ne doit plus sa liberté de manifester à un droit civique garanti par la Constitution, il doit soumettre sa liberté de manifester au régime de tolérance LREM pour les copains, les Foulards Rouges, et à la bonne volonté de Macron ! Une autre liberté fondamentale en danger est la liberté d’expression et de communication même si Internet reste difficile à mettre sous contrôle, comme les radios et télévisions collabos des copains milliardaires. En somme, il n’existe presque plus d’espace de liberté en France du fait de l’État Macron-Castaner-LREM totalitaire. (Inspiré de Louis-Marie Kakdeu)

4. Les « Gilets Jaunes », qui ont du mal à survivre, « manquent de savoir vivre »

Érik Svane : « Plus il y a d’interdits et de prohibition, plus le peuple s’appauvrit … Plus se multiplient les lois et les ordonnances, plus foisonnent les voleurs et les bandits ! Lao Tseu, Tao Te King (Le Livre de la Voie et de la Vertu). Une des critiques contre les « Gilets Jaunes » est leur façon de laisser leur colère prendre le dessus et de refuser de participer aux règles les plus élémentaires de la démocratie sous domination LREM ! En démocratie, (tu dois fermer ta gueule pour payer les impôts et les taxes de Macron). « Le débat doit être pacifique » écrit dans Les Échos Jacques Hardy(-Petit), un professeur des universités qui veut « rappeler  fermement ces règles » (à ceux qu’il croit être ses élèves soumis, les) membres de « la jacquerie » ! Les idées peuvent s’exprimer librement sous réserve que les manifestations ne mettent pas en péril l’ordre public. »

5. Patrick Aulnas récite son petit catéchisme de la macronie en plein délire !

« Le mouvement des GJ est dangereux pour la pérennité de notre chère démocratie LREM à nous. La démocratie LREM ne peut être la mise en demeure d’un Président élu. La démocratie ne peut être le refus de dialoguer. La démocratie ne peut vouloir annuler des réformes qui sont la mise en œuvre d’un programme (imposé) démocratiquement. Il faut choisir : le débat raisonnable et le compromis démocratique ou la violence des passions entretenue par les extrémistes ». Si l’État Macron-Castaner-LREM se plaint que les « Gilets Jaunes » ne montrent pas de respect envers la démocratie et la République LREM, envers Macron, envers le gouvernement, envers les policiers, il oublie que c’est Macron qui a commencé à insulter tout le monde et que c’est Castaner, le sinistre de la répression intérieure, qui éborgne les « Gilets Jaunes » avec ses tirs de LBD !

6. La mystification du faux Grand Débat de l’enfumeur Macron en plein désarroi

Et si on parlait du « Grand Débat National » ! Bruno Sentenac : « Un grand débat ? Quel grand débat ? »

Et si on parlait politique ! « Le Général de Gaulle disait qu’il n’y a pas de bonne politique en dehors des réalités ». On ne va pas raisonner sur la base imaginée et fantasmée du « Grand Débat National », en partant de ce que devraient être dans l’idéal la France de Macron, le Monde LREM… « La recherche d’une société idéale a toujours conduit les socialo-communistes à instaurer l’enfer sur Terre. La politique, c’est envisager les effets pervers des décisions qu’on prend, car il n’y a rien de plus dangereux que des décisions politiques prises pour améliorer la situation et qui ne font que l’aggraver. » Et nous sommes là aujourd’hui avec Macron !

Faire payer les riches ? Ironie : Faut pas que les footballeurs gagnent plus de 4 000 euros par mois, parce qu’un gars qui se contente de courir après un ballon ne devrait pas gagner plus de 4 000 euros, ce qui est déjà très bien, c’est plus de 3 fois le SMIC. Un footballeur, c’est un sportif, qui ne devrait jouer que pour la beauté du sport, pas pour un pognon dingue ! Il doit défendre les couleurs de la France sans être motivé par l’argent, par simple patriotisme, pour rendre à la France ce qu’elle lui a donné en termes de formation !

Mais ce qui est bon pour les footballeurs, c’est bon aussi pour les entrepreneurs. Il faut commencer à leur dire : « Et oui, mais si vous vous mettez à gagner beaucoup d’argent, on va vous le prendre ! »

Alors, bienvenue au faux Grand Débat de l’enfumeur Macron !

7. La CSG de Macron : c’est la fiscalité de la haine des riches contre les pauvres

Faire payer les riches ne saurait être la bonne réponse aux problèmes de fond d’un pays battu par les vents mauvais de l’envie. Thierry Benne, l’Iref : La France est en tête de la course fiscale ! La France détient le record 2017 de l’Union européenne pour le taux de prélèvements obligatoires avec 48,4 % du PIB.

Le taux spécifique de taxation du capital en France lui vaut la médaille d’or avec, toujours pour 2017, un taux de prélèvement par rapport au PIB de 11,36 %, devant le Danemark à 10,54 %, quand l’Allemagne se satisfait, elle, d’un taux infiniment plus modeste de 4,42 %. Si l’on considère les seuls revenus du capital, leur détenteur s’en voit amputer de 52,8 %. L’État français ne desserre pas son emprise fiscale sur les donations-transmissions, qui supportent une charge qui représente le double de ce que pratiquent nos voisins. Ce n’est bien sûr pas avec de tels handicaps que l’on va assurer la réussite du pays. C’est ce qui explique nombre d’expatriations fiscales, sur lesquelles de tout temps Bercy a préféré faire silence.

8. Macron, c’est le tarissement de la richesse des autres ! (Simone Wapler)

Un nouveau pas vers la route de la servitude est franchi. Le dirigisme économique nous confisque encore un peu plus de liberté de choix. Pour 1 700 euros de salaire mensuel net perçu, l’entreprise paie 2 988 euros par mois (charges salariales et patronales). Le salarié du secteur privé n’empoche donc que 57 % de ce que vaut réellement son travail. S’il touchait son salaire complet, soit 2 988 euros par mois, cela lui ferait plus de 75 % d’augmentation. Ces 75 % correspondent aux charges sociales que l’employeur paie aux organismes étatiques en situation de monopole et dépendant de la Sécurité sociale.

C’est le fameux mythe de la gratuité des soins ! La CMU, l’assurance maladie pour tous est financée par la taxe de solidarité nationale sur les assurances complémentaires de santé ! On paye, on ne sait plus quoi, ni pourquoi, ni combien ça coûte. Et certains s’étonnent d’avoir un problème de pouvoir d’achat ou d’être pris pour des vaches à lait. Le prélèvement à la pompe est une variante fiscaliste : Quand on paye 1,45 euros le litre de gazole, on acquitte 0,85 euros de taxes. Et les 1,45 euros qu’on paye à la pompe, c’est avec ce que l’État nous a laissé, après ses prélèvements… Le problème, c’est qu’à un moment la source s’assèche !

9. La France socialo-communiste a réussi à enraciner une fiscalité de la haine et de la rancœur !

Alors, quand on entend les derniers reliefs du Parti socialiste plaider pour toujours plus d’impôts, on songe à Kipling lorsqu’ il dénonce ces « paroles travesties par des gueux pour exciter les sots ».

Le nombre annuel des départs d’exilés fiscaux varierait de 500 à 1 000 pour les patrimoines fiscaux avec une tendance très nette à l’aggravation sur les années les plus récentes. Bercy avoue une délocalisation cumulée de plus de 70 milliards en 2015 sur les seuls patrimoines déclarés, ce qui, vu les enjeux politiques et la fraude ambiante, correspond à un chiffre sûrement très inférieur à la réalité. Dans la quasi-totalité des pays où règne le bon sens, l’impôt sur la fortune a été systématiquement supprimé partout où il avait été établi.

En France, 57 % des Français ne payent pas l’impôt sur le revenu ! Grâce aux suppléments d’impôts et aux surimpositions payés par les autres. La France socialo-communiste veut poursuivre ses chimères et ses lubies fiscales, en transformant une fiscalité largement redistributive en une fiscalité violemment punitive. (cf. la taxation absurde à 75 % des plus hauts revenus qui a assuré la victoire de Hollande en 2012 !)

Par ses relents malsains, par la capacité de détestation à laquelle la gauche fait électoralement appel, cette provocation à la haine fiscale jamais dénoncée, jamais sanctionnée, creuse obstinément une fracture sociales dangereuse pour le pays, tout en minant sournoisement le consentement à l’impôt. En affaiblissant toujours plus le pays, la France socialo-communiste sonnera certainement le glas du quinquennat Macron.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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