Brexit : la campagne s’accélère dans les deux camps

Pour ou contre la sortie de l’Union européenne ? Au Royaume-Uni, la campagne pour le référendum du 23 juin bat son plein. Rencontre avec deux militants, l’un jeune (pro-Brexit), l’autre plus âgé (anti-Brexit) :

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8 Comments

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  • tell guillaume , 4 mai 2016 @ 9 h 43 min

    Wait and see !!

  • Charles , 4 mai 2016 @ 10 h 17 min

    il va de soi que tous ceux des filières clandestines et assimilés
    voteront pour le maintien dans l’univers fédéral “germano-slamiste”,.

    Les anti brexit n’ont rien compris à la manip.

    Le drame est simplement qu’il n’existe pas de structure de coordination
    avec un chef de file hyper-visible formellement désigné qui pourrait présenter le plan B,
    à savoir remplacer la fédéralisation germano-belge par une confédération
    de nations souveraines, quitte à abandonner les belges à leurs maîtres teutoniques.
    Dans “teutoniques” il y a le mot “niquer”

    Il y a juste 2 inspirateurs (Nigel & Boris)

  • eric-p , 4 mai 2016 @ 10 h 40 min

    Ils sont conditionnés dans le cadre du plan “anesthésie des mentalités” sans doute à l’oeuvre dans les médias.
    Ils ont même réussi à mettre stephen Hawking dans leur poche !!!
    Les arguments avancés par le Pro UE du reportage ne tiennent pas la route une seule seconde en y regardant de plus près…

  • Charles , 4 mai 2016 @ 10 h 55 min

    Exemple, la semaine dernière, je me trouvais à Bruxelles.

    L’OTAN est en train de construire un gigantesque pentagone
    au nord de Bruxelles, le plus gros chantier belge depuis 2005.

    Aucun des gros média de l’empire n’en parle.

    En discutant avec des flamands et wallons, il est évident
    qu’ils se sont tous prostitués aux teutons qui payent bien.

    Comme en 14/18 et en 40/44.
    Certes, il y a eu une résistance belge courageuse à ces époques
    .
    Maintenant, c’est fini. Leurs descendants se vautrent
    dans le confort qui leur est offert. L’argent coule à flot
    alors que la France plonge dans la clochardisation..

    La Belgique est un état artificiel truffé de corrompus
    qui se vengent de leur complexe historique face aux Français.
    Ce sont nouveaux maîtres.

    Voila pourquoi l’empire ne permettra pas une sortie de la GB.
    Car, à défaut, les Français risquent de se réveiller.

  • Marino , 4 mai 2016 @ 14 h 06 min

    Au début du mois de février, les services du Premier ministre britannique avait agité cette menace. “Si la Grande-Bretagne quitte l’Union européenne, il n’y a aucune garantie que les contrôles [frontaliers actuellement opérés à Calais] restent en place”, avait souligné un porte-parole de David Cameron. Sans ces contrôles, rien n’empêcherait des milliers de migrants de traverser la Manche en une nuit pour venir demander asile dans le Kent.”

    En clair, si le Royaume-Uni quittait l’UE, la “jungle” disparaîtrait de Calais pour réapparaître dans le sud de l’Angleterre. Les partisans du Brexit jugent l’argument fallacieux. “Le traitement des migrants à Calais est lié à un accord avec la France, pas l’UE. Il n’y a aucune raison qu’il change si nous quittons l’UE”, répète Arron Banks, l’un des fondateurs de la campagne “Leave EU” (“Quitter l’UE”). Et d’ajouter : “Le Premier ministre brandit cet épouvantail parce qu’il n’a pas réussi à obtenir de l’UE les réformes de fond qu’il avait promises”.

    * Petit retour en arrière

    N’étant pas membre de l’espace Schengen, le Royaume-Uni conserve la possibilité d’effectuer à ses frontières les contrôles qu’il juge nécessaires,

    La Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) estime quant à elle que les accords du Touquet ont “conduit à faire de la France le ‘bras policier’ de la politique migratoire britannique”.

  • Charles , 4 mai 2016 @ 14 h 20 min

    De plus, il est très facile pour les britanniques d’exiger des transporteurs
    (tunnel-ferry etc) d’interdire la montée de personnes clandestines.

    Les opérateurs devenant responsables pénalement et civilement
    de toute présence clandestine sur les espaces gérés par eux…

  • Marino , 5 mai 2016 @ 9 h 23 min

    * Réfugiés : les pays de l’UE refusant la répartition devront payer 250.000 euros par migrant

    Comment ? On établira plus rapidement qu’un pays est soumis à des demandes trop nombreuses : un nombre de référence sera établi, prenant en compte, à part égale, sa taille et sa richesse.

    Un Etat qui refuserait de prendre part au système serait soumis à une contribution financière, à verser au premier pays d’entrée. Le montant de cet « impôt de solidarité »

    * Florian Philippot, vice-présidents du FN, député européen a dénoncé mercredi la « coercition » intentée par la Commission européenne qui a proposé d’instaurer une « contribution de solidarité » « En d’autres termes, la France et les autres États d’Europe seront bientôt condamnés à recevoir massivement des populations que leurs peuples ne veulent pas. Cette politique, scandaleuse du point de vue de la souveraineté des États, constitue en outre une nouvelle incitation à l’immigration massive,

    * En pleine campagne du Brexit …ça vaut son pesant de cacahuètes !

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