Pourquoi un jeune Français sur dix ne sait pas lire

5 Comments

• 

  Alain , 5 juillet 2017 @ 7 h 19 min

  Bonjour,effectivement,il en est de notre responsabilité.Les jeunes Français DOIVENT apprendre le Français,tant à l’oral qu’à l’écrit et à la lecture.Et de fait,c’est beaucoup plus aisé quand les parents parlent en permanence le Français,à la maison et lors de toutes les activités familiales.
  Or,il existe un refus de la part d’une certaine communauté.Que ce soit à la maison,sur les vide greniers,dans les magasins etc etc,seule la langue Arabe est utilisée par TOUS les membres de la famille.Et pourtant,ce ne sont pas de nouveaux arrivants !!!Certains ne maîtrisent même pas le Français,c’est dire.
  Alors peut être,même si c’est difficile,faut il EXIGER que tous les membres de ces communautés parlent Français.Là est le début.
• 

  Boutté , 5 juillet 2017 @ 8 h 33 min

  Quand on entend un professeur interrogé par un journaliste, on comprend de suite pourquoi ses élèves ne comprennent pas la langue officielle de France ! Quand on lit sur les rares copies corrigées les annotations des professeurs ça se confirme.
• 

  Charles Martel , 5 juillet 2017 @ 9 h 23 min

  Etant donné les dissimulations opérées par le ministère, qui veut éviter de faire son mea culpa, on peut raisonnablement penser que la situation est bien plus grave et a empiré ces dernières années, il suffit pour cela de discuter avec des correcteurs du baccalauréat 2017.
  Alors à qui la faute ?
  – Aux pédagogistes de tout poil, qui ont transformé nos enfants en cobayes de leurs expériences les plus perverses sur leurs jeunes cerveaux.
  – Aux obsédés de l’égalitarisme totalitaire, qui ont voulu nous faire croire qu’égalité voulait dire identité de capacités et qui ont supprimé tout ce qui pouvait permettre de promouvoir les futures élites et de rattraper les enfants en difficulté, en créant le collège unique et les classes “melting pot” et en supprimant le redoublement.
  – Aux ennemis jurés de la France, qui travaillent volontairement à sa destruction par l’aliénation de l’intellect de sa jeunesse, profitant du tremplin qui leur est paradoxalement offert au ministère de l’éducation nationale en créant des programmes absurdes et déstructurants et en supprimant peu à peu l’enseignement cognitif des matières classiques, allant jusqu’à substituer l’arabe au français dans les petites classes (suivez mon regard…).
  Tant que, dans nos écoles, le dogmatisme politique et sociologique prévaudra sur les objectifs de création des futures élites dont le pays a besoin, le niveau de nos élèves ne s’améliorera pas, bien au contraire. Il faut virer tous ces gourous qui gravitent autour du ministère et qui ne servent qu’à détruire l’école.
• 

  Pierre 17 , 5 juillet 2017 @ 9 h 34 min

  Savoir lire est une chose indispensable ; mais on peut savoir lire sans savoir interpréter un texte. Des enseignants affirment qu’il y a en terminales des lycéens qui ne savent ni lire ni écrire… Jusqu’en 1932 il y avait l’Instruction Publique qui, avec orgueil, s’est qualifiée Éducation Nationale : considérons la réussite…
• 

  Gisèle , 5 juillet 2017 @ 18 h 30 min

  On ne peut pas apprendre à lire aux enfants tout en leur farcissant le cerveau avec des conneries avangardistes !
  Savoir lire ne sera bientôt plus la priorité puisque la majorité des enfants sera une majorité de travailleurs esclaves au service des élites déjà sur place, et de celles qui vont arriver des émirats .

Comments are closed.