Olivier Besancenot : “Ils ont des looks de casseurs mais ce sont des policiers encagoulés”

38 Comments

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  Geolion , 4 novembre 2014 @ 18 h 54 min

  Il ferait mieux d’être à son boulot qu’il laisse faire à ses collègues pendant qu’il fait le zouave sur les antennes et dans les manifs. Qu’il s’en tienne aux timbres aux enveloppes !
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  Gisèle , 4 novembre 2014 @ 19 h 21 min

  Moi aussi j’y étais . Nous n’avons rien vu de violent , contrairement à ce qui a été rapporté par les médias vendus .
  Un jour où l’autre il y aura le retour du bâton !!
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  Gisèle , 4 novembre 2014 @ 21 h 01 min

  J’ai écrit mais comme par hasard , plus d’internet …
  Donc je recommence .
  Accidentellement , sans aucun doute . La grenade s’est coincée dans les bretelles de son sac à dos .
  Il était majeur , donc responsable de ses choix . Il a choisi de rester et de tenir tête aux policiers , même quand ceux – ci ont monté d’un cran leur stratégie de défense .
  Il avait le choix de partir et se mettre en sécurité . Il ne l’a pas fait , et a choisi e se mettre en danger .
  Total : une vie , sa vie , fauchée … et des parents qui pleurent ….
  Pourquoi ??? un projet depuis longtemps ficelé et payé , comme celui du mariage pour tous ou de la prochaine loi pour euthanasier les plus faibles qui coûtent cher .
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  Robert , 4 novembre 2014 @ 21 h 06 min

  Pascal,
  Je faisais partie de ces autonomes vers 1980. Les policiers, soit était déguisés en manifestants et étaient assez reconnaissables, mais dans le feu de l’action, ils pouvaient choper du casseur.
  Soit ils faisaient partie de nos rangs et se comportaient comme nous jusqu’au bout, mais n’avaient probablement pas leur carte et brassard sur eux, préférant infiltrer et connaître gens et projets sur le long terme en vue de rendre compte à leur hiérarchie. J’ai plusieurs personnes dont aujourd’hui encore je pense qu’ils en faisaient partie, radicaux pour cartonner mais prudents pour leurs personnes, toujours là, mais ne vivant pas parmi nous dans les squats qu’ils fréquentaient pour espionner.
  Besancenot dit vrai, mais c’est le travail des flics d’infiltrer et d’essayer de ressembler aux cibles pour passer inaperçu. Ils peuvent aller jusqu’à jeter des projectiles et casser un peu pour se faire accepter par les autres. Mais leur but, c’est de choper des casseurs. Ceux qui font du renseignement agissent autrement pour un autre projet.
  Pour autant, la plupart des casseurs des dernières manifs étaient organisés ou solitaires mais, punks à chien ou racailles de banlieue, anarchistes ou gauchistes peu disciplinés, manifestant pacifique entraîné par l’ambiance, ils n’ont pas été provoqués par des flics à casser.
  Par contre, on peut dire que l’attentisme policier, ordre venu de leur hiérarchie et du ministre, a contribué à aggraver les dégâts et exciter les plus motivés.
  À l’époque autonome, nous n’avons jamais connu cette complaisance.
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  lulub51 , 5 novembre 2014 @ 1 h 47 min

  Je pense que c’est possible

  pour mettre les politique les une contre les autres

  Aujourd’hui il ce passe beaucoup trop de chose pas normal du tout
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  Boutté , 5 novembre 2014 @ 7 h 36 min

  On reconnait même aisément sur plusieurs clichés de cette manif un jeune homme qui alimentera le presse quelques semaines plus tard par sa mort brutale lors d’un combat de rue pour laquelle un groupe d’extrême droite a été proprement dissout .
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  Boutté , 5 novembre 2014 @ 7 h 45 min

  Le facteur de Neuilly a raison . La méthode n’est pas nouvelle qui permet de faire du renseignement , de pratiquer des appréhensions en flagrant délit et parfois d’orienter
  le scénario en fonction des ordres reçus , comme on a pu le voir lors de certains défilés
  de la Manif pour Tous .

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