Soutenons Présent! (Vidéo)

Notre édition spéciale du samedi 2 juin dans laquelle Caroline Parmentier et Francis Bergeron vous ont alertés de la situation financière dramatique de Présent, unique quotidien catholique de droite nationale, ne vous a pas laissés indifférents. Nous publions quelques-unes de vos réactions, sympathiques et touchantes. Vous aimez Présent, cela nous fait chaud au cœur. Les engagements à s’abonner et à donner doivent se concrétiser et, rapidement, l’appel à l’aide doit circuler largement autour de vous.  La Rédaction

 

 

Soutenir Présent.

 

 

« Impensable que je ne lise plus Présent »
De Dominique R.-R. (Las Vegas, Etats-Unis).
Comme il est impensable que je ne lise plus Présent en ligne pendant que je mange mes tartines beurrées (9 heures de décalage avec la côte ouest des Etats-Unis), j’ai demandé à une amie de vous envoyer un chèque de 50 euros qu’elle va poster aujourd’hui samedi. C’est peu face à la somme énorme qu’il vous faut mais si nous sommes plusieurs… J’espère que mon minuscule chèque vous aidera à faire face à ces énormes problèmes vraiment injustes. Pour celui que vous avez avec Rémi Fontaine, je suis sûre qu’il ne l’emportera pas en paradis. En anglais on dit « what goes around comes around » [plus ça change, plus c’est la même chose]. Comme des milliers de lecteurs, j’ai besoin de vos articles avec lesquels je suis toujours d’accord, même si je suis folle de rage de voir combien la situation dans laquelle se trouve la France a empiré depuis mon départ il y a quelques années, du point de vue économique et de l’invasion migratoire entre autres. Ah, comme il vous faudrait un Donald Trump pour remettre de l’ordre !

Mon abonnement en ligne arrive à expiration en août. Si vous voulez la somme avant pour combler le trou, dites-le moi par retour dans un e-mail. Courage à toute votre fabuleuse équipe que je salue chaudement (au propre et au figuré) depuis Las Vegas ou nous habitons depuis deux mois, la région de Seattle étant devenue hors de prix et beaucoup trop « libérale » à notre goût.

De Jean-Claude B. (Versailles).
J’apprends que notre quotidien est dans une situation financière difficile. Je n’en suis pas surpris, notre monde étant ce qu’il est. Fils de libraire, j’ai été désolé de voir à Versailles depuis 40 ans le nombre des librairies se réduire comme peau de chagrin dans une ville qui compte pourtant un fort pourcentage de retraités aisés et normalement cultivés donc avides de lectures. On ne lit plus guère chez les « vieux » et encore moins chez les moins de 60 ans, sauf des romans sauce mondialiste. Nous sommes dans un monde gavé d’images, ce qui, par ailleurs, n’est pas propice à la réflexion (celle que procure la lecture qu’on interrompt pour réfléchir). Vous avez peut-être trop accru le nombre de pages de Présent qui – et c’est bien – a cessé alors d’être une sorte de bulletin paroissial… Mais c’est trop offrir à des non-lecteurs ; je suis retraité et octogénaire, j’ai du temps, je ne lis pas tout : alors pour un trentenaire ? TV Libertés et Radio Courtoisie devraient s’en tirer mieux : prêter une oreille plus ou moins attentive (et l’œil itou) est plus facile.

Abonné depuis longtemps par tranches de 2 ans au papier et à la Toile, vous ayant déjà versé en 2017 300 zeuros de plus, je renouvelle mon geste par amitié mais sans grandes illusions : notre clan a débuté à Alésia, continué à Poitiers 1356, à Azincourt 1415, à Pavie 1526, à Waterloo 1815, à Sedan 1870 et 1940, à Diên Biên Phû (et j’en oublie…). Les coups durs, il en a eu… Bien amicalement.

Pour “Présent”, donnez aussi… des prières
Saint François de Sales (1567-1622), nommé évêque de Genève, ne put jamais prendre possession de son siège, devenu « la Rome des calvinistes ». Dans le cadre de ses fonctions ecclésiastiques, il entreprit alors d’écrire des lettres personnelles aux gens qu’il ne pouvait atteindre. Mais surtout, il innova en faisant appel à l’imprimerie pour éditer périodiquement des textes qui étaient ensuite placardés en public et distribués dans les habitations. Ces périodiques sont considérés aujourd’hui comme les premiers journaux catholiques au monde. C’est la raison pour laquelle saint François de Sales a été déclaré patron des journalistes. N’hésitons pas à le solliciter par nos prières, ainsi que saint Joseph !

Prière de saint François de Sales à saint Joseph pour un cas difficile
Glorieux saint Joseph, époux de Marie, accordez-nous votre protection paternelle, nous vous en supplions par le Cœur de Jésus-Christ. Ô vous dont la puissance infinie s’étend à toutes nos nécessités et sait nous rendre possibles les choses les plus impossibles, ouvrez vos yeux de père sur les intérêts de vos enfants. Dans l’embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à vous avec confiance. Daignez prendre sous votre charitable conduite cette affaire importante et difficile, cause de notre inquiétude. Faites que son heureuse issue soit pour la gloire de Dieu et contribue au bien de ceux qui veulent le servir fidèlement. Amen.

Des réactions sur la page Facebook de Caroline Parmentier
Gaël C. Acheter (et lire) la rare presse libre est indispensable si nous voulons non seulement conserver l’oxygène et les libertés qu’il nous reste, mais aussi les promouvoir. Voici relayé le message de notre amie Caroline Parmentier, courageuse et infatigable journaliste du quotidien national Présent (plusieurs procès en correctionnelle pour délit d’opinion en termes de titre de noblesse).
Sciron Z. Partagé et réabonné version numérique puisque Présent n’est parfois tout simplement pas distribué en kiosque, ce qui confirme et va au-delà des explications que Caroline nous indique.
Véronique de S.-A. Voilà un don ! On fait avec nos peu de moyens mais on fait. Courage.
Paul-Francis J. Je vous ai envoyé un abonnement numérique. Cordialement.
Thierry A. Bien noté, Caroline, ça part aujourd’hui.
Claudie C. Abonnement numérique en ligne… fait !
Jean-Etienne P. Pris bonne note ! Un chèque part. Je n’étais plus abonné, je vais reprendre mon abonnement.
Alain P. Caroline, je vous envoie un chèque… J’espère que nous serons tous suffisamment efficaces pour vous aider.
Geneviève S. Moi aussi. Sauvons Présent.
Alexandre Rivet. Depuis 4 ans (déjà !), Présent et ses journalistes comme Caroline Parmentier me font confiance en tant que pigiste, me permettant de couvrir de nombreux événements ou d’interroger des gens extraordinaires. Dans cet odieux milieu du journalisme, ce fut – et c’est encore – une lueur d’espoir pour moi qui n’ai pas eu un parcours scolaire parfait, juste un peu plus d’engagement (et de courage ?) que d’autres. Un engagement et un courage qui caractérisent avant tout ce journal ! Pour ces raisons, je vous invite à vous procurer le numéro du 2 juin, que vous trouverez en kiosque, et, pour ceux qui le peuvent (je sais que les temps sont durs pour tout le monde), à faire un petit geste. Ce geste peut être un abonnement, papier ou numérique. Merci !
Patrick M. Ce week-end j’avertis mes amis à Aix de la Droite Nationale en plus de fêter la victoire italienne.
Lou d’E. Je crois que les partages ne vont pas suffire, il va falloir s’abonner, je vois ça dès que je rentre chez moi ! Promis !
Valérie G. On va tout faire pour vous sauver.
James de L. J’aime bien l’acheter en kiosque mais là j’envoie une demande d’abonnement.
James B. Attention un James peut en cacher un autre, je vais donc faire une demande d’abonnement.
Alain P. Il ne faut pas que vous disparaissiez !
Marie L. C’est fait. Ce serait une grande perte pour la « diversité » de la presse implorée à tout bout de champ.
Pierre P. Bonjour, est-ce que le coup de main pour le journal peut attendre le mois prochain car ce mois-ci ça va être ric-rac pour moi ?
Lolotai C.T. Je ne suis qu’un lecteur occasionnel de votre journal, mais je me dis que c’est la bonne occasion, même pour un athée comme moi, de mettre les actes en conformité avec notre combat pour la France, je m’abonne dès aujourd’hui. Merci pour tout ce que vous faites.
Roger S. Suite à votre appel, je viens de prendre un abonnement numérique de 3 mois. J’espère que votre appel sera entendu et que votre journal vivra encore longtemps.
Phil B. Si je vivais en France je me serais abonné rien que pour vous soutenir.
Laurent de V. Prenez un abonnement numérique, vous lirez Présent sur le web et en PDF.
Rita D.M. Je viens de m’abonner, payement par PayPal c’est parfait pour moi.
Gilles S. On doit tous se bouger ! S’il y a bien un jour, une occase de faire un geste, une chaîne de solidarité qui importe, c’est bien pour sauver ce quotidien, qui lui ne bénéficie d’aucune manne à l’opposé de torchons style Libé, Le Monde et autres serpillières bien pensantes !!! Bougeons-nous ! Un petit billet !!!
Franck F. Fait ! Envoyé un don… Bon courage !
Lou d’E. Ça y est c’est fait : un an abonnement numérique payé par PayPal, rapide, sécurisé ! Et heureuse de participer à la sauvegarde de Présent!
Thierry V. Chèque adressé ce jour. Il faut sauver le soldat Présent!
Caroline C. Ça y est, don fait en ligne via PayPal.
Patrick B. Je me suis abonné au journal papier.

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