Le Musée alsacien livré aux migrants ! (Vidéo)

Les rues sont de moins en moins sûres. À chaque ruelle, le danger est là, oppressant, tant l’insécurité culturelle demeure prégnante, fut-ce en nos provinces les plus reculées, dont l’Alsace, terre emblématique de nos amis José Meidinger et maître Kronenbourg. Ainsi, le Musée alsacien, sis à Strasbourg et consacré à l’ancestrale culture locale, porte-t-il de moins en moins bien son si joli nom.

En effet, ce monument multi-centenaire dans lequel, naguère, il était encore possible de pérégriner entre cuisines d’époque, chambres à coucher et autres pièces à vivre (pas encore ensemble), où l’on pouvait contempler ustensiles ménagers, meubles anciens, maisons de poupées et autres costumes traditionnels, se trouve-t-il désormais parasité par une exposition itinérante – quoi d’autre effectivement, par les temps qui courent ? –, du nom de « Babel Stùb ».

Le plus distrait des touristes est mis dans le bain, dès passé la billetterie. Ici, c’est donc « Babel Stùb », avec « Ma culture, ta culture, notre culture ». À l’appui, une sorte de Lego™ en forme de Tour de Babel. Malins, les gars. Pour leur machin « multikulti » à la sauce Angela Merkel, dédié à « Abdoul, Asef, Boubacar, Driss, Irina, Mamadou, Raouf » et deux « Spengel et Maria », histoire de respecter les quotas, ils ont choisi le symbole d’une tour effondrée. Voilà qui augure assez bien du goulag fleuri de demain.

Le tract disponible à l’entrée (et à la sortie, des fois que…), tout en donnant une assez bonne idée du bouzin bondieusard en question, n’échappe pas, tel qu’il se doit, au néo-cléricalisme ambiant, posant au visiteur épris de culture enracinée les questions existentielles qui suivent et dont il n’a, bien sûr, que foutre : « Comment célèbre-t-on un mariage dans la culture manouche ? Comment parle-t-on d’hospitalité en Chine, en Algérie ou au Portugal ? Quel lien entre un souhait de baptême alsacien et une lettre d’un père à son enfant en Azerbaïdjan ? » C’est vrai qu’on se demandait. Surtout en visite à Strasbourg…

Bref, « Au fil d’un parcours au sein du musée, les collections dialoguent avec les objets et les témoignages des cultures venues d’ailleurs et qui, aujourd’hui comme hier, enrichissent et font vivre notre patrimoine commun. » Certes. Mais au premier touriste venu affirmant avoir vu un « objet », même par temps clair, « dialoguer » avec une « collection », c’est que le gugusse a trop voté Macron ou abusé du schnaps au petit déjeuner.

Le gag, c’est que la cible de ce happening babélien est tout, hormis dupe. Et c’est, tel une sorte de Scapin des banlieues, qu’un inconnu sous pseudo tweete : « A la base gt en sortie dans un musée alsacien sa puait le francais retraité renfermé dans une maison en bois, je peter un plomb solo mais quand j’ai vu nos tenues kabyles, j’ai vu qu’ils représentent notre magnifique patrimoine culturel, j’avais le sourire, on est partout. » Le tout assorti d’un drapeau algérien en émoticône ; preuve que notre jeune Kabyle n’est pas tout à fait au fait des réalités politiques de son pays, l’Algérie, la Kabylie n’ayant jamais été tout à fait conquise, que ce soit par les Romains, les Arabes, les Français ou encore moins l’Etat algérien.

Voilà qui est pour le moins instructif. Les antiracistes subventionnés se font cracher au visage, en direct et sur les réseaux sociaux, par ceux-là mêmes qu’ils entendent défendre tout en les replongeant dans une culture digne des Dupont et Dupond dans les aventures de Tintin et Milou ; la preuve en est cette paire de babouches complaisamment exposée en vitrines, alors que nos “Brahimonva4”, qu’ils soient ou non issus de la culture maghrébine, portent des Nike depuis longtemps…

Faudrait voir à vous réveiller les gars, avant de vous donner la main pour former une ronde : l’islamisation de notre américanisation a démarré depuis belle lurette.

En attendant, vive l’Alsace libre !

Nicolas Gauthier – Boulevard Voltaire

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