Exclusif : le sénateur Jean-Pierre Michel demande à François Hollande d’empêcher l’Ouganda de voter une loi réprimant le militantisme LGBT

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  • Denis Merlin , 9 juillet 2013 @ 8 h 01 min

    C’est vous qui le dites, moi je ne crois pas ces histoires.

  • monhugo , 9 juillet 2013 @ 15 h 43 min

    Vous confondez à plaisir illicéité (contraire à la loi) et immoralité (contraire aux bonnes moeurs), ce que ne fait pas le droit français, par exemple quand il vise en matière de cause (droit des contrats) la cause “illicite” et la cause “immorale”, ce qui correspond à deux angles d’attaque distincts. Les majorités civile, pénale et sexuelle existent effectivement, et dans le sens que j’ai indiqué, depuis bien longtemps. Aucune novlangue, ici. Le législateur joue sur ces différents repères, comme avec autant de variables d’ajustement, c’est tout (et ce n’est pas une question sémantique). Pour autant, constater que le “législateur” est devenu idéologue, et qu’il ne se soucie plus de l’intérêt général, c’est une autre façon de poser le problème. Bien meilleure à mon avis.

  • monhugo , 9 juillet 2013 @ 15 h 45 min

    Ce sont de faits historiques bruts, des “statistiques”. Inutile de les nier.

  • Denis Merlin , 9 juillet 2013 @ 16 h 13 min

    Si le droit n’est pas une question de sémantique, alors il n’y a plus de droit. Ce qui compte ce sont les mots, ou plus précisément le sens des mots. Apparemment vous devez être un (ancien) élève des Sciences politiques ou de l’ÉNA.

    Des choses peuvent être licites et incriminées, des choses peuvent être illicites, même juridiquement, et non incriminées. Les exemples que je vous ai donnés font suffisamment comprendre le sens de “juridiquement licite”.

    Il faudrait évidemment opérer de nombreuses distinctions juridiques. On se contentera de dire que ce n’est pas parce que ce n’est pas incriminé que c’est licite, même juridiquement.

    Mais comment discuter avec un relativiste membre de la caste dirigeante issue de Science Po (et autres), se basant sur ses cours très orientés ?

  • Denis Merlin , 9 juillet 2013 @ 16 h 14 min

    Alors donnez vos références pour l’on puisse vérifier.

  • monhugo , 10 juillet 2013 @ 0 h 52 min

    “Les bûchers de Sodome : histoire des Infâmes”, par Denis Lever, maître de conférences au CNRS (essai publié chez Fayard, en 1985, ou en version “poche” – 10/18). Par ailleurs, trouvez-moi un seul énarque qui sache vous parler de la cause dans le contrat…. Vous ne savez pas reconnaître une juriste, civiliste plus précisément. Rien à voir avec “l’énarchie”, ou même la rue St-Guillaume.

  • Denis Merlin , 10 juillet 2013 @ 9 h 12 min

    Chère madame (je ne savais pas que vous étiez une dame), Vous n’avez pas parlé de cause dans le contrat. Quant à Denis Lever, ce n’est pas une référence pour moi, ce sont les documents d’époque qui m’intéressent.

    Par exemple, on va répétant que le chevalier de La Barre a été condamné (sous entendu par un tribunal ecclésiastique) parce qu’il n’avait pas ôté son chapeau au passage du saint Sacrement. Or, tout est faux dans ce récit.

    J’ai, malgré nos divergences de vues, été très heureux de pouvoir discuter avec vous.

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