Thomas Barnett, le stratège américain qui préconise de tuer les opposants au mondialisme…

Professeur en géostratégie et conseiller du gouvernement américain, Thomas Barnett considère comme potentiellement « fous », « révolutionnaires » et « terroristes » tous ceux qui s’opposent à l’immigration et au « mélange des races et des cultures » :

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  • Jean NOGUES , 7 septembre 2016 @ 12 h 44 min

    Oui, tous les poncifs rationalisateurs à la Lyssenko que vous nous rappelez ont le même point commun : le TOTALITARISME.

    Il n’existe que deux régimes non totalitaires : la monarchie éclairée à la Henri IV ou à la Louis XIII, et la république démocratique élitiste avec égalité de droits et patriotisme souverainiste intransigeant. Malgré tous leurs défauts inhérents à tout ce qui existe ici-bas, ce sont les seuls régimes qui garantissent aux citoyens liberté, prospérité, société de travail et d’épargne, donc de progrès durable moral et matériel.

    Tous les totalitarismes ne méritent q’une chose : la destruction. Ils ont tous les mêmes caractéristiques : mépris de la rationalité scientifique objective, suppression des libertés fondamentales : expression orale et écrite, propriété (grande ou modeste), justice impartiale mais sans faiblesse avec ce qui menace l’ordre social, liberté de pensée respect des convictions philosophiques ou religieuse privées dans la mesure, garantie par la loi, de leur non-ingérence absolue dans la sphère publique, soumission aux vérités objectives (= faire avec le monde tel qu’il est et non tel qu’on voudraient qu’il soit), seule attitude qui permet de commander à la Nature (”On ne commande à la Narure qu’en lui obéissant).

    Tout les reste, c’est des raisonnements pourris, ça conduit TOUJOURS et PARTOUT aux mêmes calamités : asiles psypsy, camps de concentration, massacres de masse, misère généralisée, délation universelle jusqu’au sein des familles, destructions progressive ou brutale familles au profit d’ ”éducation étatique ” qui n’est autres que bourrage de crâne et endoctrinement, humiliation accablante des scientifiques, qu’il faut accepter sous peine d’élimination physique (”La république n’a pas besoin de savants ”)

    Tout le reste du texte de Cassandre a déjà été dit par Clausevicz, sous la forme suivante :

    les faibles sont les vrais fauteurs de guerre quand ils se rebellent. Car s’ils ne se rebellaient pas contres ‘l’autorité des grands chefs, seuls détenteurs de la force, tout irait bien, il n’y aurait ni guerre ni massacres à déplorer.

    Bon, maintenant, de ‘lait pur, de la lumière ! du vent salubre ! balayez moi tous ces idéologues pourris et malades !

  • Jean NOGUES , 7 septembre 2016 @ 12 h 45 min

    Oui, tous les poncifs rationalisateurs à la Lyssenko que vous nous rappelez ont le même point commun : le TOTALITARISME.

    Il n’existe que deux régimes non totalitaires : la monarchie éclairée à la Henri IV ou à la Louis XIII, et la république démocratique élitiste avec égalité de droits et patriotisme souverainiste intransigeant. Malgré tous leurs défauts inhérents à tout ce qui existe ici-bas, ce sont les seuls régimes qui garantissent aux citoyens liberté, prospérité, société de travail et d’épargne, donc de progrès durable moral et matériel.

    Tous les totalitarismes ne méritent q’une chose : la destruction. Ils ont tous les mêmes caractéristiques : mépris de la rationalité scientifique objective, suppression des libertés fondamentales : expression orale et écrite, propriété (grande ou modeste), justice impartiale mais sans faiblesse avec ce qui menace l’ordre social, liberté de pensée respect des convictions philosophiques ou religieuse privées dans la mesure, garantie par la loi, de leur non-ingérence absolue dans la sphère publique, soumission aux vérités objectives (= faire avec le monde tel qu’il est et non tel qu’on voudrait qu’il soit), seule attitude qui permet de commander à la Nature (”On ne commande à la Narure qu’en lui obéissant).

    Tout les reste, c’est des raisonnements pourris, ça conduit TOUJOURS et PARTOUT aux mêmes calamités : asiles psypsy, camps de concentration, massacres de masse, misère généralisée, délation universelle jusqu’au sein des familles, destructions progressive ou brutale familles au profit d’ ”éducation étatique ” qui n’est autres que bourrage de crâne et endoctrinement, humiliation accablante des scientifiques, qu’il faut accepter sous peine d’élimination physique (”La république n’a pas besoin de savants ”)

    Tout le reste du texte de Cassandre a déjà été dit par Clausevicz, sous la forme suivante :

    les faibles sont les vrais fauteurs de guerre quand ils se rebellent. Car s’ils ne se rebellaient pas contres ‘l’autorité des grands chefs, seuls détenteurs de la force, tout irait bien, il n’y aurait ni guerre ni massacres à déplorer.

    Bon, maintenant, de ‘lait pur, de la lumière ! du vent salubre ! balayez moi tous ces idéologues pourris et malades !

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