Les poissons préfèrent les eaux chaudes de la centrale de Gravelines #COP21

Triste nouvelle pour le GIEC qui nous raconte que les poissons des côtes françaises souffrent (ou vont souffrir) du réchauffement climatique, les bars n’en font qu’à leur tête et pullulent dans les eaux chaudes du système de refroidissement de la centrale de Gravelines. Il y en a tellement que certains ont organisé un trafic de poissons…

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11 Comments

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  • panny , 7 novembre 2015 @ 16 h 05 min

    A quand la poursuite du travail illicite avec amendes pour les divers commerces et trafics qui prolifèrent dans la ”jungle” de Calais.
    poids 2 mesures ?. Il faut dire qu’à Calais, ce ne sont que des illégaux, des migrassistés sans papiers, sans numéro de TVA, sans charges sociales, sans contrôles sanitaires, sans aucune contrainte administrative subie par les PME et autres indépendants qui sont saignées aux 4 veines.
    Elle est pas belle, la vie sous Hollandouille et ses andouillettes.

  • jsg , 8 novembre 2015 @ 15 h 33 min

    Et avec ça, personne n’ose soumettre ces poissons à une analyse pour savoir s’ils sont radio-actifs…tellement les intérêts sont grands pour la centrale de retraitement…
    hi, hi, hi…
    Et puis, s’ils ne sont pas atteints, c’est qui les cons ?
    De toutes manières, avez-vous entendu les verts et con sorts se plaindre des déversements de PCB dans les rivières rendant les poissons de fond impropres à la consommation pour un siècle au moins, dans la moitié des rivières du pays ?
    Que nenni ma bonne dame, on ne va pas remuer le merde (le limon) pour des négligeances d’EDF d’il y a 50 ans !

  • jsg , 9 novembre 2015 @ 8 h 01 min

    Tu l’as dit bouffi, mais apparemment tout le monde s’en fout !

  • Trahi , 9 novembre 2015 @ 13 h 08 min

    A partir du 9 novembre, la France aura dépensé toutes ses recettes et vivra donc à crédit jusqu’à la fin de l’année, selon l’Institut Molinari. La formule est frappante, mais attention aux raccourcis.
    Le think tank libéral Institut Molinari a trouvé un bon moyen de communiquer sur le problème de la dette et du déficit français. Dans une étude comparative des 28 pays de l’Union européenne, il a mesuré de manière théorique le jour à partir duquel les États avaient épuisé toutes leurs recettes annuelles et commençaient à vivre à crédit. Ce travail a été effectué à partir des dernières données annuelles d’Eurostat.

    En fait, il revient à faire une règle de trois, pour calculer à combien de jours correspond la différence entre les dépenses et les recettes. Pour la France, c’est 53 jours. Ce qui place l’Hexagone parmi les mauvais élèves européens (le dernier quart, en matière d’équilibre budgétaire). Seuls l’Espagne, le Portugal, la Slovénie, la Croatie, Chypre et la Bulgarie font pire. A contrario, l’Allemagne, le Danemark, l’Estonie et la Lituanie dégagent suffisamment de recettes et contiennent suffisamment leurs dépenses pour tenir toute l’année sans emprunter.

    “Une vraie bombe à retardement”

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