Finalement, la Belgique recule sur l’euthanasie d’un violeur

Après 26 ans de détention, il avait demandé à être euthanasié. Procédure acceptée dans un premier temps, puis annulée. Il a finalement été transféré dans un centre psychiatrique spécialisé. Son cas fait débat en Belgique :

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3 Comments

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  • conneriephobe , 7 janvier 2015 @ 11 h 44 min

    C’est quand même extraordinaire ces gens (les belges en l’occurence mais ce cas pourrait tout aussi bien être français) qui ont soudain des états d’âme face à la mort programmée d’un violeur assassin qui dit lui-même être un danger pour la société…on aimerait qu’il en soit de même pour tous les innocents qui sont et seront euthanasiés. Pour eux, pas de doute, pas de remise en question : LA MORT ou le fameux 2 poids, 2 mesures.

    Non finalement, ce violeur récidiviste incurable qui va finir par faire pleurer dans les chaumières (un comble) va aller couler des jours tranquilles en hôpital psychiatrique aux frais de la princesse. J’ai dû rater un épisode…

    Allez, soyez sympas les belges, ce mec très dangereux VEUT mourir ! un peu de courage que diantre…une corde ou un lacet fera l’affaire, faites preuve de compassion et laissez-le donc se suicider, les contribuables belges vous diront merci.

    Pardon ? des états d’âme aussi sur le suicide d’un assassin ?

    A ce niveau de bêtise, on ne peut plus rien pour vous.

  • conneriephobe , 7 janvier 2015 @ 11 h 52 min

    J’oubliais… vous avez aussi de quoi vous gausser de nous chers amis belges, avec notre cas (si douloureux au demeurant pour ceux qui vivent cette situation) Vincent Lambert…

    Personne n’est parfait.

  • eric-p , 7 janvier 2015 @ 14 h 54 min

    Le fait que des belges aient des états d’âmes sur l’euthanasie n’est pas une nouveauté.
    En Belgique justement, des mouvements catholiques ont fait part de leur indignation depuis longtemps sur la loi scélérate consistant à accepter l’euthanasie sous prétexte
    de “détresse psychologique”.

    C’est la médecine belge, semblant enfin se souvenir du serment d’Hippocrate, qui prend enfin la décision qui s’impose.
    Un médecin, faut-il le rappeler est là pour soigner des gens en évitant de mettre leur vie en danger. Si ce serment n’est pas respecté, alors la médecine belge s’engage dans une voie obscure consistant à devenir une sorte de “prestation de service” au bénéfice de l’Etat.
    On a déjà vu ce que celà a donné ailleurs : Régime nazi bien entendu mais également dans de “bonnes démocraties poliquementcorrectes” (Suède, GB, USA, la France bien entendu,etc…).

    Malheureusement, cette prise de décision des médecins belges est INSUFFISANTE et ne les disculpe pas d’avoir accepter l’inacceptable depuis 2002.

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