Trump, le protectionniste

Après General Motors et Ford, Donald Trump s’en prend à Toyota. Le président américain élu menace de taxer le constructeur japonais s’il ne renonce pas à construire une usine au Mexique. Quels seront les effets de cette politique protectionniste agressive aux États-Unis et dans le reste du monde ? Trump a-t-il vraiment fait plier Ford qui a renoncé à délocaliser au Mexique ? Ou le constructeur américain a-t-il simplement profité de l’occasion pour abandonner un projet jugé peu favorable ?

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4 Comments

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  • hermeneias , 7 janvier 2017 @ 20 h 56 min

    C’est du “protectionnisme” bien compris , intelligent

  • Clovis , 8 janvier 2017 @ 10 h 08 min

    La question que vous posez est biscornue et je pense sans intérêt. Comme Hermeneias je pense que c’est du protectionnisme intelligent qu’on pourrait appeler sauvegarde du travail des Américains.

  • BISTOUILLE POIROT , 8 janvier 2017 @ 23 h 23 min

    Plus de Logan en Roumanie, plus de Peugeot au Maroc ? C’est pour quand ? en avril ?
    Ok, mais les Roms rentrent chez eux à pieds, le permis Poids Lourds est retiré aux Tunisiens, le faux permis Poids Lourds est confisqué aux Algériens et, retiré aux Marocains qui roulent avec les faux permis qu’ils ont dérobés aux Algériens.

  • Petit Caillou , 9 janvier 2017 @ 23 h 16 min

    Un libéral peut-il être vraiment satisfait de cette victoire du protectionnisme qui est tout sauf libéral : entre l’interventionnisme de l’état et le non respect des règles de libre concurrence internationales, Trump est en fait loin d’être un vrai libéral. D’autant qu’il ne s’applique pas à lui-même les règles qu’il demande aux autres puisque ses usines, celles de sa fille ne sont pas implantées aux USA, mais dans des pays à bas coût.
    C’est assez démagogique comme politique.

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