“En marche !” : Emmanuel Macron lance son propre mouvement politique

A l’occasion d’un déplacement à Amiens, la ville qui l’a vu grandir, le ministre de l’Economie Emmanuel Macron a lancé son propre mouvement politique, “En marche !”. L’homme fort du gouvernement veut d’un parti transpartisan : “Vous pouvez être membre du Parti socialiste et adhérer à “En marche”. Vous pouvez être membre des Républicains et adhérer à “En marche”, ou membre d’un autre parti républicain. Parce que c’est pour construire quelque chose d’autre. N’y voyez aucune ambition présidentielle derrière ce nouveau départ”.

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16 Comments

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  • marie-france , 8 avril 2016 @ 11 h 39 min

    le macron est la avec le soutien du boutonneux ,il fait diversion pour mieux “avoir “les naîfs ,iln est de gauche et hollandiste

  • Marino , 8 avril 2016 @ 19 h 32 min

    * “En Marche”, c’est donc le nom choisi pour ce qui n’est pas un parti, mais une “dynamique”, construire un projet pour avancer sur la voie de solutions nouvelles et débloquer la France.

    En Marche, c’est amusant, cela correspond aussi aux initiales d’E.M. Emmanuel Macron. On n’est jamais mieux servi en politique que par sa propre mégalo, cela fait partie du jeu…

    En Marche, c’est aussi une plateforme, numérique bien sûr, une sorte de réseau social qui aura son site internet (enmarche.fr, en carafe hier, signe que le serveur a sauté…) et son hashtag (mot dièse #Enmarche) afin de capitaliser sur l’effet démultiplicateur de la société digitale.

    L’annonce du nom du mouvement a d’ailleurs fait le buzz sur la Toile. Entre les partisans, qui se sont écriés “Enfin”, et les opposants, comme celui qui conseille au “banquier” Macron de courir plutôt (…), le résultat est qu’au final, on en a parlé, sur Twitter

    En Marche donc, mais “vers où”. Entre ceux qui comme la secrétaire d’Etat Pascale Boistard ont tweeté la chanson de Jean-Jacques Goldman (“Je marche… seul”)

    Macron ne voit d’autres options que l’Europe, parce qu’à la confluence de la Méditerranée et de l’Afrique, elle “revient dans l’histoire”. Mais c’est d’une autre Europe dont rêve Emmanuel Macron, une Europe “plus intégrée et plus solidaire”,

    Macron parviendra à combiner sa place de ministre au sein du gouvernement de Manuel Valls et la mise en orbite de son mouvement. Pourra-t-il rester ? Cherchera-t-il le bon moment pour sortir ? Une chose est sûre : les relations, déjà tendues entre Emmanuel Macron, interdit de loi sur les nouvelles opportunités économiques, éparpillée façon puzzle chez El Khomri et Michel Sapin, et le Premier ministre Manuel Valls, lui aussi candidat à incarner l’alternative à François Hollande, ne sont pas prêtes de se réchauffer…

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