La pause déjeuner diminue fortement la productivité des salariés

Plus la pause déjeuner est longue moins les salariés sont productifs, révèle une étude de la très sérieuse université Humboldt de Berlin. En effet, une longue pause déjeuner diminue fortement les fonctions cérébrales des salariés avec les troubles de la concentration, de l’éveil et de la vigilance ainsi que la mise en danger d’autrui que l’on peut imaginer. De plus, toutes ces sources d’erreurs, de distractions et ce manque d’éveil nuisent à la productivité et ont de lourdes conséquences sur la santé des entreprises françaises…

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36 Comments

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  • Fikmonskov , 7 août 2013 @ 16 h 09 min

    Parce que les autres salariés du monde entier ne déjeunent pas ?

    C’est quoi la conclusion profonde et claire de cet article ???

  • K . , 7 août 2013 @ 16 h 24 min

    Regardez la vidéo.

  • V_Parlier , 7 août 2013 @ 16 h 30 min

    Probablement que çà veut dire que ceux qui travaillent encore ne doivent pas bouffer ni dormir pour être plus compétitifs, pendant que l’autre moitié de la population sera au chômage et financée par l’Etat au moyen des impôts. C’est la combinaison idéale progressiste des temps modernes: le socialo-libéralisme mondial. Au temps de l’Antiquité çà s’appelait le travail des esclaves au profit non seulement des patriciens mais aussi de la plèbe entretenue. Comme on peut le voir, l’admiration tant affichée pour les “démocraties” de l’Antiquité païenne n’est plus un vague concept mais une réalité.

  • François Desvignes , 7 août 2013 @ 16 h 33 min

    La conclusion de l’article est la suivante :

    il vaut mieux faire mourir de faim un ouvrier que de (trop) le nourrir, la somnolence consécutive à sa digestion faisant courir un risque inadmissible aux machines.

    Mais moi j’ai une autre proposition :

    – pour que la productivité reste stable et inchangée dans la production il faudrait appliquer la règle du “jeûne salvateur” à la fonction publique en les faisant tout à fait mourir de faim, l’économie salariale consécutive devant normalment entrainer une baisse de nos impôts sociétaux qui servira lui-mêmeà couvrir le risque de somnolence de nos trop rares ouvriers.

    Non mais vous vous rendez compte : 200 000 sauterelles par an pendant trente ans pour en arriver à cette conclusion qu’il faut instaurer un ramada permanent sur les lieux de production pour en améliorer la cadence et la productivité.

    Mon grand père Vladimir Ilitch Oulianov alias Lenine aurait pris cela pour de la pure provocation !

    Nous aussi….

  • Robert BERTRAND-RIGHI , 7 août 2013 @ 16 h 50 min

    Y a-t-il un dieteticien qui intervient la dedans ?

    Dejeuner serait donc nuisible a la production ? J’imagine mal une personne effectuant 8 heures de travail d’affilee , sans nourriture, demontrant une productivite satisfaisante.

    Il suffit de faire un test sanguin du glucose pour etre renseigne.

    On confond tout ici, ou il ne reste que deux alternatives: ne rien manger ou avaler 2 bricoles DEVANT l’ordinateur OU s’empiffrer pendant des heures au restaurant.

    Je crois sur parole que les deux cas resultent en une production minable.

    N’importe qui se porte en specialiste de n’importe quoi, en etablissant des conclusions sans queue ni tete.
    Ca c’es quand meme legerement arrange depuis l’epoque ou la pause dejeuner consistait en deux heures de rupture, avec retour a la maison, pour tout faire en deux heures. Trajet aller /retour, preparatin de repas, “degustation ” du repas, vaisselle et rangement. Un vrai moment de detente quoi…

    C’est a se demander si vous avez ete lobotomises.

    Plus les cafes a la machine toute la journee, plus les “aperos”…

  • V_Parlier , 7 août 2013 @ 17 h 00 min

    Vladimir Ilitch Oulianov ou l’un de ses successeurs aurait été trop content qu’on lui apporte ce compte rendu sur un plateau. Cette fois, pour un jour, il n’aurait même pas été obligé d’inventer de la propagande pour raconter les problèmes de l’ouest dans la pravda… (même si dans la pratique en URSS les ouvriers ne mangeaient pas grand chose de toute façon).

    En tout cas nous avons appris une chose: Le Ramadan fait gagner en productivité donc ne peut pas être retenu comme raison pour aménager l’emploi du temps, alléger les tâches, etc… Je ne sais pas si tout le monde sera d’accord, çà on verra…

  • xrayzoulou , 7 août 2013 @ 17 h 02 min

    Bien sûr, si l’on fait un repas pantagruélique durant 2 heures, la sieste doit suivre tout l’après-midi. Mais déjà il y en a beaucoup qui sautent le petit déjeuner qui est très important (on ne prend pas la route sans prendre de l’essence !). Le déjeuner ne dois pas durer plus d’1/2 heure à 3/4 d’heure (c’était notre cas où je travaillais) donc interruption étant courte, plus une pause d’1/4 heure après le repas, nous n’avions pas de somnolence etc…. et nous étions productifs. Il arrivait qu’étant responsable d’un service, je reste jusqu’à 19 heures ou un peu plus (le reste du personnel partait à 17 heures). Là je trouvais le temps long et la fatigue se faisait sentir (cela c’était quand j’étais civile).
    Dans l’Armée parfois nous finissions nos missions vers 3 H 00 du matin et reprise à 08 H 00.Mais nous avions des patrons compréhensifs (ils étaient dans la même “galère”) et acceptaient que, dans journée nous allions prendre un petit casse croûte. Quand nous finissions très tard dans la nuit, il y avait toujours au retour une soue à l’oignon qui nous attendait, c’était sympa. Nous formions une vrai famille !
    Autant dans le civil que dans l’armée je n’ai compté les heures faites. (dans le civil si j’avais compté mes heures sup. non payées j’aurais eu au moins 2 ou 3 ans de salaire en plus).
    Je n’ai rien réclamé en dans toute mes carrières je n’ai manqué qu’une vingtaine de jours pour maladie.
    Je ne pense pas avoir été improductive durant tout le temps où j’ai travaillé. Mais à l’époque je ne pense pas qu’on travaillaient pour nourrir des porcs qui s’engraissaient sur notre dos !

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