La presse d’état française est sur le pied de guerre. Mais pas pour informer le public. Depuis hier, suivant les consignes du gouvernement, elle tente de dédouaner l’islam de son rôle dans les attentats ayant fait 12 morts à Paris. Sous le slogan désormais usé jusqu’à la corde de “Pas d’Amalgame”, le discours officiel fustige… la haine dont seraient l’objet les musulmans. Avec en arrière-fond, la peur de voir les idées nationalistes et identitaires écraser définitivement la médiacratie socialo-marxiste dite “républicaine”.
C’est Le Figaro qui a donné le premier des consignes au public pour aider le gouvernement à censurer la parole anti-islamiste. Sous le titre “Charlie Hebdo : Comment signaler les contenus choquants sur le Web”, le journal d’état écrit :“Les réseaux sociaux s’appuient sur les signalements afin de modérer les propos ou les images violentes ou d’incitation à la haine. Le Figaro détaille les différentes procédures mises à disposition des internautes pour contrôler ces contenus.”
Et poursuit : “L’attentat terroriste perpétré au siège du journal satirique Charlie Hebdo mercredi a suscité un nombre exceptionnel de réactions en ligne. Parmi elles, des contenus choquants, violents ou racistes: propos islamophobes, vidéo d’assassinat ou incitation à la violence.”
L’Etat Français pratique une censure de guerre et celle-ci vise exclusivement les Européens de souche. Le but est d’éviter une révolte de ces derniers comme leur “droitisation”.
Cette censure de guerre est à l’oeuvre depuis les attaques islamistes de décembre dernier où les assaillants musulmans étaient présentés comme des “déséquilibrés”.
Dans le même ordre d’idée, la presse d’état tente de faire accroire que les immigrés musulmans n’auraient aucune forme de lien avec l’islamisme. Ainsi le journal Le Télégramme s’illustre par une Une caricaturalement pro-musulmane :
Nous sommes en guerre et la seule obsession des médiats socialo-républicains est de conjurer leur débâcle idéologique au profit des nationalistes et identitaires. Cette censure aboutit logiquement à désarmer les populations contre la menace allogène.
