“On ne tue jamais par amour” rappelle Marlène Schiappa à propos de Bertrand Cantat… et de l’avortement ?

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  • Droal , 8 mars 2018 @ 14 h 57 min

    On comprend mal Marlène.

    On ne tue pas par amour?

    Mais alors, l’avortement serait de la haine?

    Or, à Ouestschengen la haine est un délit et est complètement interdite.

    On a de plus en plus de la difficulté à en trouver même à l’état de trace.

    Après 50 ans d’amour, toute la bonne société de la Génération de 68 baigne dans l’amour, comme les porcs zé truies dans leur bourbier.

  • AURORE ANGELIQUE , 9 mars 2018 @ 8 h 26 min

    Je suis d’accord pour une fois . On ne tue pas par amour et l’image du héros romantique est un peu glauque

  • Boutté , 9 mars 2018 @ 9 h 57 min

    Avorter n’est pas tuer au sens strict . C’est simplement jeter son enfant à la poubelle pour gagner en confort .

  • Parole , 9 mars 2018 @ 10 h 13 min

    Certes certes , mais la femme de ce type monstrueux était bien vivante à ses côtés …. Et c’est la drogue qu’il bouffait qui l’a conduit à tuer sa femme .
    Marlène Schiappa à raison de sanctionner cet énergumène !

    Dans les concerts beau coups de drogues circule … la aussi il faudrait souligner qu’une personne qui se drogue ne peut plus se contrôler et est souvent en prise avec des hallucinations meurtrières.

  • Parole , 9 mars 2018 @ 10 h 29 min

    La loi Veil avait été créée pour protéger les femmes abusées par viol ou en danger de mort pour raison de santé .
    Ce sont les socialistes et les communistes qui ont élargi ce droit à toutes les femmes .

    Je cite : C’est Simone Veil, ministre de la Santé, qui est chargée de préparer le projet de loi par Valéry Giscard d’Estaing, peu après son élection à la présidence de la République. Elle présente ce projet devant l’Assemblée nationale le 26 novembre 1974. Lors de son discours devant les députés, Simone Veil déclare2 :

    « Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issues. Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ?

    1973
    13 novembre – 20 décembre
    Après une longue procédure législative et des débats très vifs, le projet de loi sur l’interruption volontaire de grossesse, présenté en Conseil des ministres le 13 novembre, est adopté le 20 décembre, par 277 voix contre 192 à l’Assemblée nationale et 185 voix contre 88 au Sénat, la majorité (UDR, réformateurs et centristes, républicains indépendants) votant pour à près d’un tiers, l’opposition (socialistes, radicaux de gauche, communistes) votant pour à l’unanimité moins quelques voix.

    La loi autorise l’IVG dans un délai de 10 semaines, sur simple demande à un médecin ; elle laisse la possibilité à tout médecin ou à tout établissement hospitalier privé de refuser de donner suite à une demande d’IVG ; elle s’efforce de limiter les IVG à des cas de nécessité et d’empêcher qu’elles ne deviennent un moyen de réguler les naissances ; elle ne prévoit pas le remboursement par la Sécurité sociale, mais une prise en charge sur demande au titre de l’aide médicale.

    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/ivg/chronologie.shtml

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