Jacques Séguela : “Macron, c’est l’ubérisation de la politique, c’est le petit puceau de la République, c’est pour ça qu’on a envie de l’aider”

Le publicitaire Jacques Séguela était l’invité du Grand Décryptage sur iTELE jeudi soir. Il a réagi à la création du mouvement “En Marche !” par Emmanuel Macron. “Le programme ça va venir, ne tuez pas le bébé dans l’oeuf alors qu’on a quelque chose de neuf à se mettre sous la dent !”, s’est exclamé Jacques Séguela avant d’ajouter : “Il sort de l’oeuf, c’est encore le petit puceau de la République, c’est pour ça qu’on a envie de l’aider. Il va tellement ringardiser les autres”.

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8 Comments

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  • HuGo , 8 avril 2016 @ 9 h 46 min

    ….à gauche toute !

  • marie-france , 8 avril 2016 @ 11 h 31 min

    bien sur ,il roule pour le boutonneux ,il l’a dit :je suis pour hollande ,bien joué baron de rotcetc

  • Trucker , 8 avril 2016 @ 16 h 12 min

    ..C’est certain qu’à une époque de fracture politique et “sociétale”entre des conceptions antinomiques voir antagonistes…de confrontation culturelle entre des valeurs et des schémas de pensées inconciliables, de bouleversements géopolitiques importants sinon majeurs, l’ubérisation de la politique est la solution…..

    L’ubérisation…..c’est bien ce mécanisme “informel” dans lequel on voit des gens s’emparer de secteurs de l’activité professionnelle pour permettre à des quidams de prendre des parts de marchés dans un contexte dérégulé…..( en gros )
    Et bien entendu, on s’engage dans cette démarche pour des motifs personnels, arrondir ses fins de mois ou se créer son aventure économique personnelle.

    Bien, on peut admettre la chose dans le champ de l’économie, qui peut se satisfaire d’opérations à courte vue….mais en politique est-ce bien raisonnable et envisageable ?

    Face à la constitution de blocs continentaux animés d’une volonté de puissance politique sur l’échiquier international, face à des évènements et à des décrochages géopolitiques qui remettent en cause les équilibres passés…..peut-on véritablement s’imaginer que seule la dimension économique et à prendre en considération ? …et que l’économie serai la seule révolution à savoir entreprendre ?

    La politique peut elle se satisfaire d’une vision à court terme ?

    Parce que Macron, en dehors de l’économie….qu’elles sont ses visions prospectives futures ?…à part servir les intérêts économiques mondialistes ?

  • Marino , 8 avril 2016 @ 19 h 05 min

    * Marre d’entendre les pépères sur nos chaînes Télé : naît en 1934

    – Jacques Séguéla se définit comme « mitterrandien »

    – Soutien de la candidate socialiste Ségolène Royal, Jacques Séguéla se montre critique envers la « trahison » d’Éric Besson, ancien secrétaire national à l’économie du PS ayant rejoint l’équipe de Nicolas Sarkozy.

    – En France, les stratégies de communication des campagnes de François Mitterrand et de Lionel Jospin sont en grande partie dirigées par Jacques Séguéla.

    – Lors de la campagne présidentielle de 1981, il se fait remarquer par le slogan puisé dans un célèbre discours de Léon Blum daté du 5 juin 1936 : « La force tranquille »

    * Alors ses élucubrations, il peut se les mettre où je penses ! .

  • Marino , 8 avril 2016 @ 20 h 51 min

    * Pour la classe politique, Macron doit «faire ses preuves»

    Se voulant «ni de gauche, ni de droite»

    Patriote , comme les électeurs du FN ?

    On sent que l’UMPS, européîste copie le 1er Partie de France.

    Mais il faut aller écouter les députés du FN au parlement européen pour savoir que les “Républicains” et les Socialistes votent “KIF-KIF”

    * Président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde a tenu à tempérer: «La recomposition politique, elle serait nécessaire. Mais on ne peut pas être Janus a deux visages: le matin et l’après-midi ministre de l’Économie, le soir animateur d’un mouvement politique. Je pense qu'(il) n’a rien à faire dans ce gouvernement», a estimé le député-maire centriste de Drancy (Seine-Saint-Denis) sur iTélé
    «Grosso modo, c’est un peu comme la cocotte-minute: il faut de temps en temps qu’il y ait une soupape de sûreté, et son mouvement c’est la soupape de sûreté pour pouvoir se “soulager” de ne pas pouvoir faire ce qu’il pense et ce qu’il dit».

    – Le co-fondateur du Front de gauche et candidat déclaré à la prochaine présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, a quant à lui fustigé la démarche du locataire de Bercy. «Déjà, ça me fait rigoler, parce que ce sont les gens qui ont mis en panne le système et le pays qui créent un truc qui s’appelle “En marche”», a-t-il d’abord raillé. Croyant déceler une «ambiance de révolution de palais» visant à «préparer la campagne de François Hollande», l’eurodéputé a assuré que «tout cela (n’impressionnait) plus personne».

    – La ministre Franco/Marocaine de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a confié voir l’initiative d’un bon œil. «Il dit “élan”, il dit “dynamique”, il dit “enthousiasme” et “arrêtons les discours déclinistes”, j’avoue que j’adhère assez. (…)

    – Le 1er sinistre Franco/espagnol , Valls a insisté sur son désaccord avec Macron qui voit le clivage gauche-droite dépassé. «Il serait absurde de vouloir effacer» les différences, a déclaré le Premier ministre

  • réprouvé , 9 avril 2016 @ 13 h 21 min

    Ni de droite ni de gauche, mais comme la clique UM-PS, pour les ” Arabes ” et non pour les Français.

  • reprouve , 10 avril 2016 @ 12 h 59 min

    Envoyé des Amer-Louch, le Franc-Macron nouveau est arrivé.

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