Nicolas Doze : Gavé de subventions publiques, le cinéma français n’est pas rentable

Le rapport René Bonnell est accablant pour le cinéma français, juge Nicolas Doze ce mercredi sur BFM TV : sept films français sur dix perdent de l’argent, les têtes d’affiche sont beaucoup trop payés, il y a beaucoup trop de films par rapport à la demande et une absence totale de préoccupation économique dans un secteur très largement subventionné. Or, c’est aux spectateurs de payer les films, pas aux contribuables.

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10 Comments

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  • xtemps , 10 janvier 2014 @ 12 h 04 min

    L’union Européenne,les politiques,tous des escrocs,des voleurs et des menteurs.

  • Charles Martel , 10 janvier 2014 @ 16 h 09 min

    Il en est malheureusement du cinéma français comme de la presse ayant pignon sur rue : il travaille à perte par ce qu’il est subventionné et ne cherche donc pas à faire de la qualité ni à devenir rentable. Pire, il camoufle sous le vocable “cinéma d’auteurs” de parfaits navets, bâclés dans leur conception, leur tournage et leurs dialogues, faisant systématiquement la part belle à la pensée unique et aux poncifs bobos du moment, comptant sur l’argent des contribuables, la publicité et surpayant son personnel. Si on arrêtait les subventions nationales et territoriales à tous ces parasites qui ne sont là que pour sucer l’argent du contribuable, on verrait se dégager un vrai cinéma se posant enfin en concurrent des œuvres américaines. Mais il faudrait d’abord nettoyer les écoles du cinéma français de la gangrène marxiste et maoïste (comme pour les écoles de journalisme d’ailleurs) qui entrave toute création et marginalise les acteurs et auteurs qui ne sont pas dans sa mouvance politique et philosophique.

  • Electron Libre , 10 janvier 2014 @ 16 h 21 min

    Et quid de la qualité de ces film subventionnés ? A croire que ça n’effleure pas l’esprit de ces gens.
    Non parce que je n’ai jamais vu autant de bouses idéologiques ou de films chiants comme la mort . Car quand ce n’est pas des films sur la seconde guerre mondiale pour nous culpabiliser, ce sont des films porno homosexualiste. Je caricature mais c’est mon ressenti.

    Sans être d’une mauvaise fois complète je trouve qu’Albert Dupontel se débrouille bien. Il y a aussi Jean Dujardin que j’apprécie beaucoup.
    En plus ce n’est pas comme si nous n’avions pas de patrimoine historique et cinématographique à exploiter. Mais malheureusement le politiquement correct est passé par là et à tout détruit..

    Un conseil faite comme moi et regardez plutôt des film Sud Coréen, là au moins on a du vrai et du très bon Cinéma. Les anglais sont pas mal aussi ainsi que les américains.

    Dernier point qui me fait bien de rire, lors des négociations du traité transatlantique (qui finira bien par nous achever), les “artistes” ont eu le droit au protectionnisme.
    En revanche pour la plèbe le protectionnisme s’est considéré comme nauséabond, c’est se replier sur soi même, c’est la France moisie et qui bien sûr nous ramène aux HLPSDNH.

    Ce pays est complètement cinglé !

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