Le rapport René Bonnell est accablant pour le cinéma français, juge Nicolas Doze ce mercredi sur BFM TV : sept films français sur dix perdent de l’argent, les têtes d’affiche sont beaucoup trop payés, il y a beaucoup trop de films par rapport à la demande et une absence totale de préoccupation économique dans un secteur très largement subventionné. Or, c’est aux spectateurs de payer les films, pas aux contribuables.
Nicolas Doze : Gavé de subventions publiques, le cinéma français n’est pas rentable
Home - Nos brèves - Nicolas Doze : Gavé de subventions publiques, le cinéma français n’est pas rentable
10 Comments
Comments are closed.