Devant les caméras, François Hollande menace la Russie d’une guerre

Eric Martin
9 février 2015
Latest Update: 9 février 2015 14 h 13 min
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Obama doit être content, son caniche aboie bien comme il faut. “C’est une des dernières chances (…) Si nous ne parvenons pas à trouver, non pas un compromis, mais un accord durable de paix, eh bien nous connaissons parfaitement le scénario, il a un nom : la guerre”, a déclaré François Hollande en fin de semaine dernière, lors d’un passage à Tulle, son ancien fief de Corrèze.

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Gisèle , 9 février 2015 @ 18 h 43 min
Une troisième guerre mondiale en plusieurs étapes . Le Pape François en avait parlé .
Goupille , 9 février 2015 @ 18 h 52 min
Un clown, avec des vêtements trop grand, et ce ton péremptoire sur fond de mots flûtés et diction de gamin boudeur…
Quelle honte d’être “représentés” par cette ganache.

Qu’il commence par résoudre les problèmes à Marseille où Valls, venu plastronner sur la baisse de l’insécurité, a été accueilli, de loin, à coups de kalash…

La guerre, que veut le lobby militaro-industriel yankee.
Pôv’ type.
Alex , 9 février 2015 @ 18 h 57 min
Je ne comprends pas qu’on puisse souhaiter “préserver la paix” selon les mots de Hollande, alors que la paix est déjà perdue puisque la Russie nous livre actuellement la guerre !

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/08/russie-ukraine-francois-hollande-angela-merkel-zone-demilitarisee-sommet-minsk_n_6639280.html?utm_hp_ref=france

Pourquoi Hollande n’a-t-il pas évoqué une “restauration de la paix” au lieu d’une “préservation de la paix” qui n’existe déjà plus ?

Quand à Eric Martin, votre déni de la réalité de cette guerre entretenue par la Russe et ses alliés (Chine et Iran), est insoutenable.
Voyageur , 9 février 2015 @ 19 h 09 min
Je pense que l’interprétation qui est faites ici de son propos est abusive et polémique. Il ne menace pas la Russie de lui faire la guerre comme on voudrait nous le faire croire ici. D’abord parce qu’il serait présomptueux de la part de Hollande de simplement faire semblant de s’engager dans cette voie, ensuite parce que nous n’avons pas les moyens de faire la guerre. Tout juste pouvons-nous à grand peine, avec ce qu’il reste de notre armée, contenir l’expansion d’AQMI et accessoirement faire du maintien de l’ordre dans quelques pays d’Afrique. Dans ces conditions chers amis, il n’est pas sérieux et puéril de jouer à se faire peur.
Alex , 9 février 2015 @ 19 h 11 min
Une belle brochette de déserteurs en puissance sur ce site… elle est belle la dissidence, il est beau le patriotisme d’opérette.

Vous réagissez comme les socialistes avec Hitler en disant “mon dieu pas la guerre”… résultat vous avez eu la guerre et le déshonneur…

C’est la Russie l’agresseur, c’est la Russie qui est gouvernée par des fous, des mafias et des schizophrènes.

Alors à minima, cessez par lâcheté et par peur de dénier cette sombre réalité !

Car il faut déjà reconnaitre la réalité de cette guerre, pour proposer des solutions.

Quelles solutions proposez-vous au lieu de vomir sur l’Occident et les USA comme vous le faites, au lieu de vomir sur vous-même comme vous le fait, par peur et bêtise ?

Je propose la chose suivante :

1° – Intervention immédiate des casques bleu en Ukraine (y compris la crimée) dans le seul but de préserver les centrales atomiques et tous les sites écologiquement sensibles.

2° – Partition de l’Ukraine entre les territoire à dominante russophone et ceux à dominante ukrainophone.

3° – Pleine souveraineté de la partie ukrainophone de l’Ukraine ou fusion de cette partie avec la Pologne après référendum (la langue ukrainienne est très très proche du polonais).

4° – Instauration d’un gouvernement quadripartite pour gouverner la partie majoritairement russophone de l’actuelle Ukraine, entre l’Union Européenne, la Russie, les habitants ukrainophones et les habitants russophones.

Ainsi, ce nouveau territoire (y compris la Crimée) à majorité russophone et à gouvernement quadripartite deviendra le pont entre la Russie et l’Europe de l’Ouest, le territoire heureux à partir duquel une légitimité commune naitra entre la Russie et l’Europe de l’Ouest et le territoire à partir duquel convergera le centre politique du continent eurasiatique.

Faisons du Donbass un atout, l’outil d’un rapprochement entre la Russie et l’Union Européenne, par un gouvernement quadripartite de ce territoire, le début d’une intégration de la Russie à l’Union Européenne et donc une réformation de l’Union Européenne.
Pascal , 9 février 2015 @ 19 h 56 min
Il y eut Napoléon le petit avec sa guerre de Crimée, voici Deschanel le petit avec sa guerre du Donbass !
monalisa , 9 février 2015 @ 20 h 09 min
Sa popularité qui avait poussé sur l’effet Charlie est en train de retomber….. Il devenait addict, il lui faut créer à nouveau du stress…