Le pédophile «[cherchait] juste des sites homosexuels»

Le “pédophile” qui, selon L’Est Républicain, “assume”, a expliqué au tribunal avoir stocké des photos pédo-pornographiques sur son ordinateur professionnel après les avoir trouvé “par hasard”, en “[cherchant] juste des sites homosexuels”. Il a été condamné à douze mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve avec l’obligation de se soigner.

Il avait été condamné en 1998 à 20 ans pour “viols sur mineurs” par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle et était en liberté conditionnelle, en 2010, lorsque son employeur est tombé par hasard sur les photos.

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11 Comments

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  • Daniel , 9 juillet 2013 @ 12 h 30 min

    Et après ces gens là veulent adopter des enfants !

    Appliquons une théorie de droit développée par les socialos : principe de précaution ! Protégeons les plus jeunes. C’est notre devoir, parce qu’après ils pourraient nous le reprocher !

  • clarck913 , 9 juillet 2013 @ 13 h 33 min

    Comment se fait-il qu’il n’ait pas effectué la totalité de sa peine ? 20 ans pour viols sur mineurs, c’est bien trop laxiste. Pour des types comme ça, c’est la peine de mort et pas 10 ans après. Quand à sa nouvelle condamnation à 12 mois avec sursis, il ne fait même pas de prison ferme. Ce qui veut dire que très bientôt, il va s’attaquer à d’autres enfants. On devrait condamner le magistrat qui l’a laissé libre et le juger pour tous les crimes que commettra cet homme, de même que dceux qui lui ont accordé de ne pas effectuer la totalité de sa peine.
    Et pendant ce temps-là, Nicolas est enfermé à Fleury-Mérogis pour deux mois fermes, simplement pour avoir manifesté sans violence son désaccord contre une loi !

    Deux poids, deux mesures, la France, pays de l’Injustice et du laxisme à l’égard des vrais criminels.

  • monhugo , 9 juillet 2013 @ 14 h 04 min

    Le sexagénaire avec casier de “pointeur” (viols sur mineurs) avait retrouvé du travail (de nombreuses années en prison cela fait un gros “trou” dans le CV, et beaucoup de trimestres à rattraper pour le calcul de la retraite). Mais il occupait ses heures de bureau à pianoter sur le net. Son employeur a découvert ses activités, fort loin de la comptabilité qu’il avait en charge. Sa réinsertion semble compromise, et il retourne pour l’heure en prison, j’imagine (puisque en “conditionnelle” au moment des faits). Si les fichiers téléchargés avaient été simplement “homos” (et non pédophiles et homos), in n’y aurait à prévoir qu’un licenciement pour faute grave (utiliser son ordinateur professionnel pour se livrer pendant les heures de travail à des “tâches” personnelles – pour rappel, l’homosexualité, et donc la pornographique correspondante, c’est licite, quand tout le monde est adulte et consentant), et éventuellement un contentieux aux prud’hommes… Information donc à relativiser. L’homme n’est pas signalé comme voulant se “marier”, ou prétendant à la “paternité” : aucun rapport donc avec le combat contre la loi de la Taupe ! Fait divers illustrant en revanche les aléas de toute “conditionnelle”, de toute réinsertion : c’est-à-dire tout à fait autre chose.

  • Francois Desvignes , 9 juillet 2013 @ 14 h 18 min

    Vingt ans de réclusion criminelle pour violSSSS sur mineurSSSS (…)

    Ils le libèrent en conditionnel soit à mi-peine (aussitôt que c’est possible !) et lui trouvent un poste en tant que comptable au titre de la “réinsertion” (…)

    Au lieu de bosser pour calmer “ses pulsions” il se balade sur les sites “chauds”, son employeur découvre le pot aux roses ( hors journalistes il vous expliquera sans doutequ’il avait des doutes sur la REALITE du travail de son salarié : il n’y a pas eu de hasard que des soupçons)

    A l’audience il se fout de la gueule du tribunal qui le condamne à une peine avec sursis.

    Question :

    POURQUOI PAYE-T-ON ?

    Pour ce tissus de provocations à notre encontre ?

    Tribunal, journaliste, prévenu, service de la probation confondus ?

  • monhugo , 9 juillet 2013 @ 14 h 42 min

    L’article n’est pas visible sur le site du journal, car il faut y être abonné. On peut en revanche le lire sur le site du Salon beige, in extenso. Les faits (aller sur le net pendant ses heures de bureau et stocker sur son ordinateur professionnel des photos téléchargées sur des sites “pédopornographiques” – il est homo, il va sur des sites homos pédophiles ; hétéro, son comportement n’aurait pas été moins condamnable) remontent à novembre 2010. La décision en cause est rendue maintenant (été 2013). Il n’est pas précisé si sa conditionnelle a été révoquée à cette occasion (on ne sait d’ailleurs pas quand elle avait commencé, on ne connaît pas non plus la portion de peine qui lui restait à faire quand elle a été aménagée de la sorte). On manque donc d’éléments pour apprécier sereinement la décision commentée. Et, à nouveau, aucun rapport avec la dénaturation des mariage et filiation.

  • YARTALAM , 9 juillet 2013 @ 15 h 32 min

    La peine de mort de mort ? Bien sûr c’est le remède idéal mais il est inutile de rêver, elle est abolie. Par contre, la castration physique serait impeccable. Vu la quantité de pédophiles il pourrait se créer une chorale de castrats…

  • theofrede , 9 juillet 2013 @ 15 h 33 min

    l’un des effets les plus pervers de la loi Taubira est d’avoir fait perdre aux gens tranquilles tout sens de la mesure; la plupart des commentaires qu’on trouve sur ce blog en sont la preuve

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