Sous la pression des LGBT, «Elle» censure un quiz

Sous la pression de militants homosexuels très remontés sur Twitter et du site internet Yagg.com qui dénonce un quiz “hétérocentré”, Elle a modifié un test figurant sur son site et fait sauter certaines questions.

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33 Comments

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  • Frédérique , 11 août 2013 @ 15 h 37 min

    Ce PROGRES là a un nom désormais, a faire connaître, justement pour éviter les amalgames dont on se servira nul doute, pour faire passer les conservateurs pour des arriérés sectaires.

  • C.B. , 12 août 2013 @ 17 h 37 min

    Qui plus est, si j’en crois ” JL 75 10 août 2013 à 16:18 at 16 h 18 min” c’est un quizz sorti des archives. À quand la censure d’ouvrages classiques (La princesse de Clèves, Madame Bovary) au motif que ce n’est pas centré sur les relations zomos?

  • Dōseikekkon , 15 août 2013 @ 6 h 04 min

    Ce qui a sorti l’homosexualité des troubles mentaux ce n’est pas un complot ou une manigance sournoise, mais l’avancée bien naturelle des idées scientifiques.
    J’espère que, quand vous avez un mal de tête, vous ne recourez plus aux clystères & saignées !?

    Issu d’un document conjoint à l’American Psychiatric Association, l’American medical Association, etc. (p. 8, traduction perso…) :

    « Bien que l’homosexualité fût
    classifiée comme trouble mental
    quand l’American Psychiatric
    Association publia son premier DSM
    (Manuel diagnostic & statistiques
    des troubles mentaux) en 1952,
    seulement 5 ans plus tard, une
    étude soutenue par l’institut
    National de Santé Mentale ne
    trouva aucune preuve à l’appui de
    cette classification.
    Sur la foi de cette étude-là – et
    d’autres qui montrèrent que cette
    classification reflétait moins la
    science qu’une stigmatisation
    sociale –
    l’American Psychiatric Association
    retira l’homosexualité de la liste
    des troubles mentaux en 1973.
    En 1974,
    l’American Psychological 
    Association adopta une résolution
    suivant les mêmes conclusions.
    Pendant des décennies, le
    consensus parmi les professionnels
    & chercheurs en santé mentale a
    été que l’homosexualité et la
    bisexualité sont des expressions
    normales de la sexualité humaine
    et ne constituent aucun obstacle
    intrinsèque à la conduite d’une
    vie heureuse, saine et
    productive ; et que les personnes
    gay & lesbiennes sont bien
    adaptées à l’ensemble des
    institutions de la société et dans
    les relations individuelles.

    La plupart des gays & lesbiennes
    ne vivent pas leur orientation
    sexuelle comme ayant résulté d’un
    choix volontaire.
    Dans une échantillon représentatif
    de 662 adultes lesbiennnes, gays &
    bisexuels, 88 % des gays et 68 %
    des lesbiennes déclarèrent n’avoir
    pas le moindre choix quant à leur
    orientation sexuelle, tandis que
    7 % des gays et 15 % des
    lesbiennes déclarèrent l’existence
    d’une faible latitude de
    choix.Seulement 5 % des gays et
    16 % des lesbiennes ressentirent
    l’existence d’une possibilité de
    choix conséquente. »

    http://www.apa.org/about/offices/ogc/amicus/windsor-us.pdf

  • samovar , 16 août 2013 @ 12 h 45 min

    La question nest pas de savoir si c’est une maladie mentale ou pas. La question c’est de savoir si les lobbies vont continuer à pousser pour pourrir la vie des autres …

  • samovar , 16 août 2013 @ 12 h 47 min

    Sauf qu’il me semble que les noirs d’Afrique du Sud ne sont pas (ou alors un très petit nombre) des autochtones …

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