Les 200 premiers clandestins venus d’Allemagne ont quitté Munich pour rejoindre la France

Les premiers “réfugiés” syriens et irakiens que la France s’est engagée à ramener d’Allemagne ont quitté Munich mardi soir. Au total, quatre bus ont été affrétés pour 200 migrants. Ces personnes doivent être hébergées pour un mois, dans un foyer ou un centre d’accueil à Cergy (où il n’y a sans doute pas assez d’immigrés !) ou Champagne-sur-Seine. Les familles seront ensuite réparties dans les différentes communes de France volontaires pour les accueillir. Avant de monter dans le bus, ces clandestins chantaient leur bonheur de rejoindre la France…

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12 Comments

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  • mickeymaousse , 10 septembre 2015 @ 9 h 21 min

    Oui, vous avez raison ! Que font les “syndicats” prétendument en charge de la défense des travailleurs français ?

  • mickeymaousse , 10 septembre 2015 @ 9 h 22 min

    Très juste !

  • panny , 10 septembre 2015 @ 9 h 39 min

    Dans le temps, ils nous envoyaient leurs soldats, maintenant leurs émigrés. La conquête est plus soft, prend des allures humanitaires, mais n’en est pas moins MEUTRIERE pour le pays

  • nauticat , 10 septembre 2015 @ 9 h 56 min

    bonjour Marino ,criante évidence puisque ce ne sont pas des réfugiés mais des migrants opportunistes ! Il faut poser la question à notre soi disant président : les réfugiés ,par définition ,ont vocation à retourner dans leur pays ?

  • jlriv , 10 septembre 2015 @ 15 h 07 min

    Cerise sur le gâteau : on a même pensé aux problèmes libidinaux de ces malheureux célibataires faux réfugiés : la résidence étudiante (dans une ville où il n’y a pas d’étudiants) se trouve juste en face du collège. S’il reste des places (ce qui est improbable) au Collège Privé de Fontainebleau, elles ne vont pas rester vacantes longtemps. Par ailleurs, Champagne est une ville sinistrée -la plus pauvre de la région de Fontainebleau- où le nombre d’étrangers et de Français de papiers est déjà très important. Cela dit, Syriens et Maghrébins (surtout Algériens), ça n’a jamais été les grandes amours…

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