Robert Ménard : “Je suis sévère avec la ligne politique que Marine Le Pen incarne”

Interrogé par Europe 1, Robert Ménard, maire de Béziers, se démarque une fois encore de la ligne politique de Marine Le Pen. Il estime notamment que la sortie de l’euro est “une obsession de Monsieur Philippot” :

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4 Comments

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  • Joséphine , 9 septembre 2017 @ 7 h 59 min

    Je suis sévère à l’égard de R. MENARD qui divise le FN pour mieux régner demain. Jamais je ne voterai pour lui !

    MARINE a besoin de Phillipot comme ce dernier a besoin de MARINE. Il serait temps qu’ils finissent par s’entendre avant qu’il ne soit trop tard.

  • Claude Armand Dubois , 9 septembre 2017 @ 8 h 25 min

    Robert Menard a compris que le salut ne viendra pas des partis politiques mais des hommes, et des femmes!

  • Marcus , 9 septembre 2017 @ 9 h 00 min

    Je suis d’accord avec Robert MENARD. Je pense aussi qu’il faudra un jour sortir de l’Europe des technocrates, et sans doute de l’Euro, mais pour le moment, ce n’est pas le plus important. L’électeur du FN veut entendre parler de l’identité Française, de l’insécurité, de l’immigration incontrôlée, de l’Islamisation rampante et insidieuse dans le pays et dans les écoles, des communautarismes qui imposent leur loi, etc. Ce sont là les vrais dangers qu’il faut régler d’urgence. Et on n’a pas trop entendu M. LE PEN ni PHILIPPOT en parler.

  • charles-de , 10 septembre 2017 @ 2 h 25 min

    Constatons la réalité : La France, comme beaucoup de pays d’Europe, surtout à l’Ouest, voit ses industries DISPARAITRE, ses services aussi car ses frontières sont OUVERTES à tous les vents par la POLITIQUE DE LIBRE ECHANGE exécutée sous les ordres de l’UE. La PREUVE : Le DéFICIT commercial AUGMENTE sans arrêt, la DETTE et le CHOMAGE aussi. Donc, le pays S’APPAUVRIT SANS ARRÊT. Jusqu’à quand ?
    Alors deux solutions : 1) On continue en laissant aller, jusqu’à la mort, en vendant petit à petit le pays en morceaux (autoroutes, SNCF, aéroports, entreprises etc);
    2) On réagit si on veut survivre, et ça ne pourra être que VIOLENT, comme quand on est en voiture sur une pente et qu’on passe la marche arrière.D’autant plus que ceux qui profitent de notre dégringolade ne se laisseront sûrement pas faire. Cela veut dire EN PREMIER LIEU SORTIR DU CARCAN DE L’UE, ET DONC DE L’EURO.
    Néanmoins, peut-être une TROISIèME éVENTUALITé : ATTENDRE QUE CELA PèTE, les banques, l’euro etc.

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